Neige Il verse au fossĂ© sur une route secondaire de la Manche et passe la nuit dans son camion . Dans la nuit de mardi 9 Ă mercredi 10 fĂ©vrier, unNeige neige blanche Dans la classe ce mercredi nous avons eu la grande joie de dĂ©couvrir des petits flocons de neige qui tombaient sur la cour⊠AussitĂŽt nous sommes allĂ©s nous Ă©quiper bonnet, gants, cache-couâŠet Ă nous la dĂ©couverte de la neige pour certains câĂ©tait la 1Ăšre fois. CâĂ©tait la fĂȘte sur la cour ! On a essayĂ© dâattraper des petits flocons ! Et en rentrant dans la classe nous avons chantĂ© NEIGE NEIGE BLANCHE TOMBE SUR MES MANCHES ET SUR MON TOUT PETIT NEZ QUI EST TOUT GELĂâŠ
Neige neige blanche. Tombe sur mes manches. Et sur mon tout petit nez. Qui est tout gelĂ©. Neige, neige blanche. Tombe sur ma tĂȘte. et sur mes tout gros souliers. Qui sont tout gelĂ©s. Neige, neige blanche. Viens que je te mange. Pose-toi tout doucement. comme un p'tit fondant Documents joints MP3 - 561.7 ko. Commentaires Documents Administratifs. CR conseil
-33% Le deal Ă ne pas rater Jumbee Roundnet â Jeu de plein air Ă 29,99⏠⏠⏠Voir le deal Freesby Archives du dormeur 2 participantsAuteurMessageL'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Mar 30 Juin - 233 [Suite de Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ?]La neige... Cette douce poudre blanche et froide qui tombait sur les Montagnes de l'EternitĂ©... Ces montagnes Ă©taient un lieu calme, agrĂ©able, propice pour une pĂ©riode de repos... Etait-ce pour ça que le mercenaire avait choisit de donner un rendez-vous ici ? Peut-ĂȘtre... Ou pas. Qui sait ? LĂ oĂč il se trouvait ? Un petit chalet - abandonnĂ©, tranquille et calme du moins avant que les deux compagnons y arrivent - se trouvant juste au dessus d'un petit village isolĂ© dans les montages. D'extĂ©rieur trĂšs modeste, Ă l'intĂ©rieur, il s'averait plutĂŽt confortable... Un homme d'une quarantaine d'annĂ©e se trouvait dans la piĂšce principale du chalet, la salle Ă manger. LĂ , trĂŽnait une cheminĂ©e oĂč brĂ»lait un agrĂ©able feu qui rĂ©chauffait le corps engourdit de cet homme qui Ă©tait confortablement assis dans un fauteil. PiĂšce classique pourvue d'une lĂ©gĂšre couche de rouge qui donnait un aspect rĂ©chauffant en plus du feu, c'Ă©tait vraiment un endroit agrĂ©able... Le vrai problĂšme Ă©tait le manque de chambres, qui Ă©tait censĂ© poser un problĂšme... Oui, puisqu'il n'y avait que deux chambres. Enfin, je dis bien Ă©tait censĂ©... Le mercenaire revoyait encore sa discution avec la Neko, lorsqu'ils s'Ă©taient arrĂȘtĂ© non loin du chalet... Un sourire se dessina sur son visage alors qu'il repensait Ă ses paroles, et Ă la rĂ©action de la Neko."- Je connais bien un endroit sympa, mais y a que deux chambres... On va devoir chercher ailleurs. - Je dors avec lui normalement... Je pourrais pas continuer ?" Sur le coup, le mercenaire avait bel et bien Ă©tait surpris... Mais bon, qu'est ce qu'il y pouvait aprĂšs tout, hein ? Etirant ses jambes, il passa ses bras derriĂšre sa tĂȘte, fermant ses yeux. Trois jours... Ca ne faisait que trois jours qu'ils Ă©tait ici... Enfin, l'autre gamin pouvait encore arriver n'importe quand, et heureusement. Jouer la nounou... Pas son truc. Ressortant lentement de son fauteil, il finit par se retourner, et attrapa son arsenal en laissant le feu rĂ©chauffant crĂ©piter dans la cheminĂ©e. Partant en direction de la chambre de l'Ă©tage supĂ©rieur, il entrouvrit la porte, constatant avec plaisir que rien n'avait bougĂ©. Pas un chalet abandonnĂ© pour rien me direz vous... Il envoya donc ses armes valser sur le lit, ainsi que les quelques tenues qu'il avait en plus. Allant vers une armoire dĂ©jĂ toute prĂȘte pour accueillir vĂȘtment et arme dans un double fond cachĂ©, le mercenaire prit son temps pour ranger le tout, en profitant pour ressortir un fusil Ă lunette ancien derriĂšre une planche sur le cĂŽtĂ© de l'armoire. Se positionnant avec l'arme, il vĂ©rifia la nettement de la lunette et la prĂ©sence de munitions, avant de ranger le tout. Puis, attrapant des vĂȘtements, il se glissa dans la salle de bain se trouvant Ă l'Ă©tage supĂ©rieur. Le chalet avait Ă©tait amĂ©nagĂ© comme si la partie supĂ©rieur et la infĂ©rieur n'Ă©taitent pas ensemble, permettant ainsi plus de libertĂ©. Se glissant dans un bain d'eau chaude, le mercenaire profitait de la chaleur de l'eau dans ces contrĂ©es froides. Plus qu'a attendre, ensuite il pourrait faire son boulot... Soupirant, il rejeta sa tĂȘte en arriĂšre, laissant l'eau couler dans son cou. Encore une semaine et demie, onzes jours... Rah... Il avait dĂ©jĂ envi de foncer sous sa couette et de pioncer jusqu'Ă ĂȘtre dĂ©barassĂ©... - Hmm... Comment il peut faire ses contrats avec cette gamine trop innocente sur le dos... Soupirant, il repensait au coup qu'elle lui avait fait pour avoir son manteau... Il avait refusĂ© de lui en acheter, prĂ©textant qu'elle devrait choisir ses vĂȘtements et que l'autre lui ramenerait des vĂȘtements... Cependant, elle n'Ă©tait pas stupide. Elle avait trouvĂ© le moyen de prendre la cape du mercenaire, refusant de lui la rendre, puis avait mĂȘme feind le sommeil jusqu'Ă ce qu'Hisoka cĂšde dans un souprie exaspĂ©rĂ©... La vie avec elle allait pas ĂȘtre facile... Sortant de la salle de bain alors que la vapeur d'eau s'en Ă©chappait encore, il en avait profitĂ© pour boire un peu, et maintenant changĂ© dans des vĂȘtements plus... AdaptĂ©, a ce milieu, il se contenta de descendre Ă l'Ă©tage d'en dessous, cherchant la Neko. - Alvinyyyy' ? Tu veux pas descendre au village, acheter de la nourriture, la gazette et des clopes pour moi s'te plait ? Tu serais un ange si tu faisais ça... Enfin, nan. Si tu faisais ça sans faire de connerie, sans faire peur a un marchand, sans acheter un autre manteau, sans te perdre, sans te faire enlever, sans revenir traumatiser ou autre... Tant que tu reviens juste avec ce que je t'ai demandĂ©, rapidement, et saine et sauve, sans avoir eu de problĂšme. Merci ~ Posant lentement son regard sur une fenĂȘtre, le mercenaire regarda longuement la neige tomber... Ces flocons blancs qui teintaient le sol de leur couleur pure... Soupirant, un lĂ©ger soupire s'Ă©chappa de ses lĂšvres, suivit d'un murmure inodible... - La neige... Si pure... Pourquoi le sang la tache-t-il si souvent ?,_________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Mer 1 Juil - 1223 La neige, blanche, limpide... Pur. Alvinykiosa Ă©tait lĂ , le nez collĂ© contre une vitre, ses coudes posĂ© sur le rebord de la fenĂȘtre et dans ses mains, son visage. Elle regardait les flocons tombĂ©s doucement sur le sol dĂ©jĂ recouvert d'une Ă©paisse couche de neige. La jeune NĂ©kos, pendant ses trois jours de vie avec le pote de son gardien, avait apprit Ă la rapide Ă cuisiner, mĂȘme si la plupart de ses plats finissaient cramĂ© - entiĂšrement ou non - ellle avait du aussi supportĂ© l'horrible odeur de tabac qu'Ă©manait les cigarettes de l'autre homme avec qui son gardien l'avait laissĂ©. Dans un lĂ©ger soupire, elle se redressa, sa queue faisant d'ample mouvement nerveux. Trois jours... Aucun signe de vie de son gardien. -Ani... Souffla-t-elle, regardant toujours l'Ă©paisse neige, puis les escaliers recouvert de neige et de glace qui menait Ă un petit chemin passant par une forĂȘt pas bien Ă©paisse et dĂ©boulant sur un petit village de montagne. Le chalet Ă©tait agrĂ©able, confortable et une agrĂ©able odeur de feu de bois rĂ©gnait. La NĂ©kos laissa son regard tombĂ© sur la croix noir pendant Ă son cou... Un soupire passa de nouveau ses lĂšvres tandis qu'elle fut prise d'un sursaut en entendant son fĂ©nĂ©ant collocataire lui demander, pour l'Ă©niĂšme fois d'aller au village faire les courses, prendre la gazette et des clopes. La jeune NĂ©kos en avait marre, rabbattant les oreilles de colĂšre avant de grogner quelques mots Ă l'adresse de l' peut y aller pour une fois !! Je suis pas Ă tes ordres et j'aime pas aller aux villages, les gens y sont bizarres avec leurs grandes ailes blanches et parfois noir ! Ils me regardent toujours bizarrements ! Alvinykiosa soupira un long moment avant de arrĂȘte de fumer ! J'aime pas l'odeur ! C'est mauvais pour toi et ça te fera Ă©conomiser de l'argent ! La nĂ©kos fixait son interlocuteur sur l'Ă©tage, avant de tourner le dos, grognant quelques mots entre ses dents. De toute maniĂšre, elle avait envie de sortir... Mais pour ses clopes, il pouvait rĂȘver, elle n'acheterait pas de tabac alors qu'il ne faisait aucun effort. Nombreuses fois oĂč il lui a soufflĂ© sa fumĂ©e au visage, fumĂ© Ă l'intĂ©rieur. Nombreuses fois oĂč il se foutait de sa gueule Ă©perdumment et elle se souvient d'un Ă©pisode avec un marchand de couteau. Alvinykiosa, rejetant les souvenirs du voyages balança sa tĂȘte en arriĂšre avant de fixer mĂ©chamment son collocataire du T'auras pas de clopes je te prĂ©viens. Bref, tu l'as mis oĂč ton porte-monnaie ? S'avançant vers le porte-manteau Ă l'entrĂ©e, elle enfila le sien. Rien que pour l'avoir elle avait du piquĂ© la cape de l'homme, s'enrouler dedans, se mettre dans un coin et mimer le sommeil pour qu'il daigne lui acheter un manteau chaud pour les montagnes. Si elle n'avait pas fait ça, elle Ă©tait sĂ»re que l'homme l'aurait laissĂ© greloter de froid voir mourir de froid. Enroulant aussi une Ă©charpe qu'elle avait trouvĂ© sur le lit de la chambre qu'elle occupait, la jeune NĂ©kos balaya le comptoire de la cuisine pour tomber sur le porte-monnaie de l'homme. L'attrapant rapidement et le fourrant dans une poche du manteau, elle ouvrit la porte, refermant un peu plus le col contre son vais. Finit-elle par dire avant de refmer la porte derriĂšre elle et de prendre le chemin du village. Pendant qu'elle marchait dans la neige craquant sous ses pieds, elle se souvenait quand les deux compaires s'Ă©taient arrĂȘtĂ© dans un village. La jeune femme avait littĂ©ralement flashĂ© sur un couteau de bouchĂ© dans une vitrine, l'homme cĂ©dant Ă son 'caprice' voulant bien payĂ© le couteau. Alvinykiosa eut la malchance de cĂ©der Ă sa part de sadisme en regardant le marchand d'une voie et d'un regard qui ne disait rien de bon et de dire "Je pourrais l'essayer ? *w*" le marchand ayant prit peur dans la demi-seconde qui suit, et, quelques part, c'Ă©tait normal. La jeune femme arriva au village, passant dans plusieurs magasins pour prendre de la viande Ă griller, du poisson, des lĂ©gumes, du pains, de la charcuterie en tout genre. Elle finit dans une petite boutique de tabac pour prendre un paquet de cigarettes. Alvinykiosa Ă©tait trop gentille et ce fut dans un soupire qu'elle revient les bras chargĂ©s de sac comportant ses achats, dans la poche de son manteau le porte-monnaie ainsi que le paquet de clope que l'homme ne verrait suremet pas de si tĂŽt. Alvinykiosa poussa la porte, tapant ses chaussures, secouant la tĂȘte pour enlever la neige et les flocons avant d'enlever manteau et Ă©charpe ainsi que chaussure, dĂ©posant ses sacs sur le comptoire. -Je suis de retour ! Dit-elle, passant dans la cuisine pour ranger les provisions et la nourriture, elle mit de cĂŽtĂ© ce qu'elle allait cuisiner pour le dĂźner. Alvinykiosa restait pensive, jetant de temps Ă autres quelques regards aux fenĂȘtres, espĂ©rant voir la forme de son gardien qui lui manquait atrocement en ce moment. Pourquoi ? Ca, elle ne le savait pas vraiment... Gardien ? Plus ? Statut indĂ©finis pour un Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Mer 1 Juil - 2146 - Ehh beh, t'es pas rapide...Toujours affalĂ© dans son fauteuil, Hisoka soupira avant de se lever pour aller rĂ©cupĂ©rer la gazette, puis retourna s'assoire prĂȘt de la cheminĂ©e... Le feu doux rĂ©chauffait les lieux, le tout dans une agrĂ©able fond d'odeur de bois brĂ»lĂ©, qui Ă©tait accompagnĂ©e de la douce odeur de la nourriture qui chauffe... Enfin, pour l'instant douce, car le mercenaire Ă©tait dĂ©jĂ convaincu que le repas allait finir brĂ»lĂ©. La sensation de chaleur au travers de ces vĂȘtements... Le froid ne l'atteignait pas. Le contact du papier frais dans ses mains... Il frĂ©mit. Puis, lĂąchant un soupire, il regarda lentement Ă l'extĂ©rieur... La neige tombait encore. Douce, lĂ©gĂšre, libre, froide... Flocons par flacon, c'est ainsi que cette Ă©tendue blanche perdurait. Refermant ses yeux un instant, il songea Ă l'extĂ©rieur, au petit village... Il ne put rĂ©primer un sourire en s'imaginant la Neko grelottant, appeurĂ©e par les anges Ă l'extĂ©rieur. Sadisme ? Un peu. Pas seulement. Pourquoi ne sortait-il pas acheter ses cigarettes ? Pourquoi n'allait-il pas se procurer des munitions, des armes, des contrats, des info ou autre ? La rĂ©ponse Ă©tait simple... Dans des petites contrĂ©es comme celle ci, un peu coupĂ©e du monde dans le froid de la montagne, sa tĂȘte Ă©tait encore connu... Il avait fait beaucoup de bruit ici, commettant crime comme contrat, meurtre comme massacre... Mais surtout, il avait Ă©tĂ© prit dans un grand combat oĂč il avait faillit perdre la vie, et qui avait parcourut toute la montagne en peu de temps... Ce faire attraper ? Reconnaitre ? Risquer les problĂšmes Ă lui et la Neko, alors que c'Ă©tait sa seule garantie pour rĂ©cupĂ©rer son Ă©pĂ©e indĂšme ? Jamais de la vie. Bon, il devait bien avouer que sa lui Ă©vitait de se trainer dehors par ce froid, mais ! Il avait une excuse. Reprenant un sourire amusĂ© qui lui permit de dissimuler son air prĂ©occupĂ©, il se retourna vers la gazette, parcourant les titres d'article un Ă un, du gros titre ou plus petit. Mais... Rien. Aucune nouvelle concernant un jeune homme masquĂ©, un assassin, ou un utilisateur d'ombre, encore moins d'un homme mystĂ©rieux portant une Ă©pĂ©e et utilisant deux flingues... Mit appart un avi de recherche provenant du pays des Neko. Si l'avi Ă©tait encore lĂ , il n'Ă©tait pas mort... Bonne nouvelle. Se tournant vers la cuisine, il rĂ©flĂ©chit un instant... Jusqu'Ă ce qu'un grand sourire se peine sur son visage. Pourquoi la rassurer alors qu'elle trĂ©pignait d'impatience et tremblait d'effroie Ă l'idĂ©e qu'il soit mort ? Non, il allait bien Ă©videment garder tout cela pour lui... Refermant la gazette avant de l'envoyer sur la table, le mercenaire se releva lentement, faisant craquer sa nuque briĂšvement. Puis, partant en direction de la cuisine, il observa un long moment les mouvements de la jeune femme, visant surtout Ă la dĂ©concentrer et la mettre mal Ă l'aise, pour se moquer encore une fois d'elle... Bon, ok, il pouvait rien manger aprĂšs, mais, c'Ă©tait marrant de lui faire remarquer sa cuisine dĂ©plorable... Puis, plus sĂ©rieusement - ou pas -, il s'avança vers elle, la regardant d'un doux regard innocent, en Ă©tant presque crĂ©dible dans son rĂŽle d'homme pur et saint, si on en oubliait ses maniĂšres et son caractĂšre... Ainsi que ses paroles. - Mes cloooopes... =3Et oui, les clopes avant tout... Reprenant sa position habituel, il regarda la Neko de haut, un sourire aux coins des lĂšvres. - Puisque j'aurais rien de mangeable se soir, j'voudrais au moins un truc agrĂ©able a consommer ~_________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Mer 1 Juil - 2344 Rabbattant ses oreilles vers l'arriĂšre brutalement en entendant la remarque de l'homme quand elle venait de rentrer, Alvinykiosa grogna quelques mots entre ses crocs avant de s'inquiĂ©ter plutĂŽt de sa cuisine plutĂŽt que des remarques qu'on lui faisait. Elle sortit deux assiettes comme Ă son habitude et mit la table pendant qu'elle laissait la poĂȘle pour cuire la viande chauffer avec une noisette de beurre. Elle finit de mettre la table et retourna dans sa cuisine quand son exĂ©crable collocataire arriva, la regardant faire toujours avec insistance ce qui avait le don de la mettre mal Ă l'aise et de lui faire foirer sa cuisine. Alvinykiosa ferma quelques instants les yeux, essayant de ce concentrer pour ne pas penser Ă cet homme qui s'avançant pour demander ses clopes, ses yeux se tournĂšrent vers l'homme avant de lui faire face, s'appuyant prĂ©s de la cuisiniĂšre et des plaques qui chauffaient doucement. -Je te l'ai dit non ? Je n'en n'ai pas achetĂ©. Elle mentait mal, fallait l'avouer, mais elle ne voulait pas qu'il fume Ă l'intĂ©rieur et que l'odeur du tabac empeste tout le rez de chaussĂ©, jetant un oeil Ă la viande et entendant la seconde remarque, elle Ă©teignit les plaques dans un soupire, sortit de la charcuterie, du pain et passa Ă cĂŽtĂ© de l'homme, montant quelques marches de l'escalier grinçant menant Ă l' t'es pas content... Bref, j'ai pas envie de manger, je suis fatiguĂ©e... Je vais me coucher. Montant les autres marches dans un lĂ©ger silence, Alvinykiosa soupira, ouvrit la porte de la chambre avant de laisser sa voie ferme rĂ©sonner. VĂ©xĂ©e ? Oui, un peu. Elle faisait des efforts pour essayer de s'amĂ©liorer et quoiqu'elle faisait, elle se prenait les mĂȘmes rĂ©flexions chaque fois qu'elle s'approchait de la cuisine. Elle en avait marre... Qu'il cuisine si il n'aimait pas ce qu'elle faisait ! Qu'il fasse pour qu'on rigole. -Bonne nuit. Finit-elle en fermant la porte, se laissant tomber sur le lit dans un soupire. Sur le dos, elle passa un bra ssous sa tĂȘte pour lui servir d'oreiller et de son autre main, elle prit doucement la croix noir Ă son cou et la portĂ© Ă ses yeux. Alvinykiosa la regarda tristement avant de murmurer le surnom qu'elle avait donnĂ© Ă son gardien. AprĂšs quelques minutes, elle se mit sur le cĂŽtĂ©, regardant le rĂ©veil affichant l'heure et l'interrupteur. D'une main, elle Ă©teignir la lumiĂšre, de l'autre, elle enleva ses vĂȘtements et se glissa sous les draps. Ses yeux ouverts toute la nuit fixant le rĂ©veil, elle ne rĂ©ussit pas Ă dormir de la nuit, comme les nuits prĂ©cĂ©dentes, regardant les heures dĂ©filĂ©es, Ă©coutant les bruits du chalets et espĂ©rant entendre la porte s'ouvrir signalant le retour de son gardien. MĂȘme en petite tenue, elle serait sortit en furie de la chambre, lui sautant au cou. Il lui manquait... Fallait l'avouer. Mais oĂč Ă©tait-il ? Avec qui ? Que faisait-il ? Quand allait-il rentrer ? L'avait-il oubliĂ© ? Ses trois questions torturaient son petit esprit toute la nuit, comme les prĂ©cĂ©dentes. Vers 6h du matin, elle rĂ©ussit Ă s'endormir pour se rĂ©veiller Ă 7h ou 8h. Ses rĂȘves tourmenter par l'image de son gardien, ses paroles et des chimĂšres crĂ©er de toutes piĂšces. Des fantasmes si on peut dire ceci... Mais je ne rentrerais pas dans les dĂ©tails, laissant ce qui est Ă Alvinykiosa Ă Alvinykiosa. _________________ Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Jeu 2 Juil - 025 Bingo, en plein dans le mile... Attrapant ce que le Neko avait eu la 'bontĂ©' de lui laisser, il se servit charcuterie et pain, ce contentant de manger avec un sourire satisfait aux lĂšvres... La pauvre, s'il lui en fallait si peu... Attrapant un verre d'eau, il laissa le liquide gelĂ© couler dans sa gorge, lui remettant les idĂ©es en place. Attrapant un autre bout de pain, il se contenta de le grignotter en prenant son temps, profitant de ce repas seul, au calme... Terminant son bref repas, il rangea tout ce qu'il restait, avant de monter Ă son tour les premiĂšres marches de l'escalier, laissant le feu brĂ»ler dans la cheminĂ©e. Cet endroit Ă©tait calme... C'Ă©tait agrĂ©able, revigorant pour la pauvre carcasse de ce mercenaire solitaire malmenĂ© par la vie. S'arrĂȘtant doucement, il fit demi-tour, retournant au rez de chaussĂ©. Un bref regard vers la porte. Un doux soupire. Il s'avança, dĂ©posa sa main sur la poignĂ©e... Sentant dĂ©jĂ le froid l'envahir, il ne put que frissonner en sentant cette caresse glacĂ©e parcourire son Ă©chine, et ouvrit sans bruit la porte. Le froid. La solitude. Le noir. Les TĂ©nĂšbres. Le milieu de vie classique du mercenaire... Glissant sa main dans sa poche, il attrapa son bandeau qu'il avait retirĂ© aprĂšs son premier jour de voyage avec la Neko. Nouant le tissu noir autour de ses yeux rouges sang, il inspira longuement l'air froid de cette nuit gelĂ©e. Le fait d'avoir sĂ©journĂ© ici ne lui avait pas fait que des ennemis... Sans bruit, il laissa le froid le prendre au corps, son souffle devenant une buĂ©e glacĂ©e. Se dirigeant vers la ville, il emprunta un petit chemin passant non loin de celle ci, arrivant dans un grand bĂątiment perdu dans la montagne... Un sourire. Le lieu propice pour exercer sa seconde nature... Il rentra sans une seule hĂ©sitation, poussant les grandes portes, sentant la chaleur des lieux l'enivrer... Il sentait dĂ©jĂ l'appelle de cette passion qu'il avait pour ça... Les parfums des femmes semblaient fade, leur rire Ă©tait dĂ©pourvu de toute mĂ©lodie... Une seule chose attirait vraiment le mercenaire ici. Le bruit des des dĂ©s, les voix qui fusent, les mises qui haussent... Le battement des cartes, les voix calmes et posĂ©es qui pariraient leur vie sur le poker. Le tintement des piĂšces perdues, de celle lancĂ©es dans un dernier espoir, un dernier pari... La douceur des jeux de hasard. Laissant Ă©chapper un rire mauvais caractĂ©ristique, le mercenaire fila s'assoire Ă une table de poker, se retrouvant avec des vieilles connaissances... Tous des pourris. Un sourire sur son visage. Il attrapa ces cartes, sans pouvoir les voir... VoilĂ ce qu'Ă©tait le hasard. Il avait un don pour ça... Une fois quelques parties jouĂ©es - la plupart gagnĂ©e - il s'avança vers les lancĂ©s de dĂ©s... Il y resta la plus grosse partie de la nuit. Puis, ressortant dans ce froid infernal, il retourna simplement vers le petit chalet, son porte-feuille plus remplit... Montant cette fois ci rĂ©ellement Ă l'Ă©tage aprĂšs s'ĂȘtre dĂ©barassĂ© de la neige sur son corps, il se contenta d'aller nettoyer ses armes, changer les munitions, charger ses flingues, et tout le blabla habituel... Au final, il ne ferma pas l'oeil, comme il avait prit l'habitude de faire. Au petit matin, lorsque la Neko se leva, il Ă©tait en train de bailler bruyament au rez de chaussĂ©. Osant lui accorder un regard - il avait retirĂ© son bandeau - il ne put retenir un Ă©clat de rire, avant de lui faire glisser sur la table de quoi prendre son petit dĂ©jeunĂ©, puis sortir de la cusine, s'installant face Ă elle Ă table. - Eh bah, t'a l'air d'avoir bien dormie... T'es su-blime se matin. L'autre serait ravi de te voir dans cet Ă©tat tiens, il part quelques jours pour te sauver, il se retrouve avec un zombie pour l'accueillir... Charmant. Soupirant longuement, il lança un regard Ă la Neko, avant de refermer ses yeux de sang. - Mange, t'en as besoin. Soit au moins en forme quand il only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Jeu 2 Juil - 050 Comme prĂ©vu, la nuit avait Ă©tĂ© longue et son heure de sommeil bien courte pour regĂ©nĂ©rer les batteries de la NĂ©kos. Sortant du lit tel un zombie, les yeux cernĂ©s, elle attrapa rapidement quelques fringues qui traĂźnaient, les mettant de maniĂšre nĂ©gligĂ©. AprĂšs un rapide passage dans la salle de bain, une bonne douche froide et un coiffage de cheveux rapidement. Alvinykiosa traĂźna des pieds dans les escaliers, baillant bruyamment et s'Ă©tirant dans un gĂ©missement de douleur et d'inconfort. La jeune NĂ©kos s'asseya brutalement sur une chaise, entendant d'une oreille une voie d'homme rire... Se moquant de son Ă©tat sans aucun doute. Alvinykiosa, pas d'humeur Ă le supporter vu son Ă©tat, grinça des dents et rabbata ses oreilles sur son crĂąne immĂ©diatement, grognant lĂ©gĂšrement avant de fusiller de son regard de zombie l'homme qui s'en fichait royalement. A croire qu'il adorait l'emmerder... La jeune nĂ©kos posa son menton sur la table, laissant ses bras pendre pitoyablement en-dessous. La femme regarda son interlocuteur qui lui mit sous le nez de la nourriture, rien qu'a l'odeur, son estomac se tordit brutalemment et elle se redressa vivement, repoussant l' zombie, j'aimerais t'y voir toi... Je dors plus depuis trois jours... Le mal de crĂąne, une migraine indescriptible prit aussitĂŽt la tĂȘte d'Alvinykiosa qui se leva de table, allant s'affaler brutalement sur le canapĂ©, se tournant vers le dossier de celui-ci, sa queue bougeant nerveusement de colĂšre et d'attente ainsi d'inquiĂ©tude. Comment elle pouvait dormir de toute façon ? Elle savait mĂȘme pas si il Ă©tait encore en vie... La jeune femme grogna de nouveau, passant une main sur son front lĂ©gĂšrement fiĂšvreux... Dans un lĂ©ger soupire, elle se releva en grognant, allant chercher un verre de lait bien frais. Elle se traĂźna jusque dans la cuisine, d'un pas lent et las, elle tatonna pour trouver la poignet du frigo, l'ouvrit un peu difficilement, ses forces manquait faute de sommeil et de nourriture. Son ventre arriver tout de mĂȘme Ă grogner malgrĂ© la force avec lequel il s'Ă©tait contractĂ© Ă la moindre odeur de nourriture. Alvinykiosa chercha des yeux la bouteille de lait qu'elle avait achetĂ© hier, l'enlevant du frigo, elle l'ouvrit, dĂ©tacha la petite capsule emprisonnant ce dĂ©licieux breuvage laiteux pour boire la bouteille en une gorgĂ©e. Le chaton jeta la bouteille, ferma le frigo d'un lĂ©ger coup de talon et se traĂźnant jusqu'au canapĂ©, se laissa tomber dessus. Alvinykiosa Ă©mit un grognement, se tournant vers l'homme avant de soupirer. Elle ne voulait n'y entendre une rĂ©flexion sur son comportement, ni sur son physique, ni mĂȘme sur la couleur de ses pelotte de laine. Elle voulait juste essayer de se reposer, essayer d'ĂȘtre au calme et de ne plus entendre la moindre rĂ©flexion sortant de la bouche de cet a des clopes dans mon manteau, va fumer dehors et laisse-moi tranquille, ca me fera des vacances. Reposant sa tĂȘte contre le canapĂ©, elle se stoppa, se demandant, un peu en retard je vous l'accorde, comment s'appellait l'homme. Alvinykiosa releva de nouveau sa tĂȘte, cherchant de son regard fatiguĂ© son Tu t'appelles comment ? Nan pas que j'y tienne de l'importance Ă savoir ton nom, d'ailleurs ça m'arrange, je prĂ©fĂšre te donner un autre comme GĂ©raldine ou Bernadette. Ouais c'est bien GĂ©raldine !... Mais... Tu connais mon prĂ©nom alors que je connais pas le tiens, c'est bizarre, rhaaa saletĂ© de mal de crĂąne ! Bref... Je dois te donner un surnom ou je vais savoir ton nom ? La jeune NĂ©kos avait remit sa tĂȘte sur le divan, ne cherchant mĂȘme plus Ă voir le visage ou mĂȘme la forme de son interlocuteur, elle Ă©tait d'humeur massacrante et exĂ©crable. Son gardien ne revenait pas, elle avait pas dormit depuis son dĂ©part et elle avait un sombre crĂ©tin pour lui faire remarquer qu'elle ne savait pas cuisiner et qu'elle ne servait Ă rien d'autres que coursiĂšre pour faire les courses et lui chercher ses clopes. Son mal de crĂąne l'a fit de nouveau grogner et grimacĂ©, et, espĂ©rant un peu de gentillesse, elle tourna la tĂȘte vers l' curiositĂ©, mĂȘme si je connais la rĂ©ponse, t'aurais rien contre le mal de crĂąne ou un somnifĂšre ? Autant croire aux miracles dans ce cas prĂ©sent... Alvinykiosa se promettait que si il lui donnait un mĂ©dicament quelconque qui pourrait lui servir dans son Ă©tat, elle essaye de faire un repas comestible et encaisse toutes ses rĂ©flexions pendant les deux jours Ă venir sans broncher. Remettant sa tĂȘte contre le dossier du canapĂ© et fermant ses paupiĂšres pour tenter de s'endormir, peine perdu, sa migraine ne la quittait Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Jeu 2 Juil - 1411 Des pas dans la neige. Le bruissement de cette douce couche de flocon blanc qui craque Ă chaque pas. Silhouette noire sur un fond blanc. Silencieuse. Pas un bruit. Juste le son des flocons qui tombe sur cette couche de neige, et les battements du coeur de cette personne... Une tenue noire, ressemblant Ă une camisole recouverte de sangle attachĂ©e. Un visage fin, pĂąle, portant encore quelques lĂ©gĂšres traces de blessure, nottament une estafilade sur la joue droite. Regard sombre, cernĂ©, un oeil bleu pĂąle, l'autre masquĂ© par un cache oeil. Des cheveux noirs corbeau, courts, retombant sur le front de cet individu. Une Ă©pĂ©e dans le dos, large, effrayante. Un dĂ©tail qui rendait cette silhouette encore plus repoussante. Marchant entre les anges, cette personnes ne parlait pas, ne les regardaient mĂȘme pas, malgrĂ© quelque uns de ces ĂȘtres ailĂ©s qui le dĂ©visageait... ... Un soupire. Le mercenaire partit chercher une petite boite sur la table. Fouillant rapidement, il en sortir un simple cachet, et attrapa un verre d'eau. S'approchant de la jeune Neko avant de lui faire gober le tout sans lui demander son avi, il haussa les Ă©paules, et se dirigea vers le manteau de la jeune femme. Glissant sa main dans la poche du vĂȘtement, il attrapa le paquet de clope, et l'ouvrit lentement. Tirant deux cigarettes, il en glissa une entre ces lĂšvres, l'autre dans sa poche. - Un truc contre les maux de tĂȘte. Je prend pas de somnifĂšre, mais j'ai quelques trucs pour les douleurs, mal de crĂąne ou autre. S'avançant vers la porte, il dĂ©posa sa main sur la poignĂ©e, avant de briĂšvement se retourner vers la Neko. - Hisoka. Ouvrant la porte pour ensuite s'engouffrer dehors, il s'adossa aussitĂŽt Ă un mur du petit chalet, tirant un briquet de sa poche. Allumant sa clope, il tirant une grande bouffĂ©e de cette fumĂ©e revigorante, laissant ce goĂ»t amer et ocre envahir sa bouche. Un soupire de soulagement s'Ă©chappa de ses lĂšvres. Immobile, silencieux, il laissa la fumĂ©e s'Ă©chapper de ces lĂšvres, montant lentement vers le ciel gris de cette journĂ©e froide, comme les autres. Les montagnes de l'Ă©ternitĂ©... Lieu de souvenir et de souffrance pour ce mercenaire ĂągĂ© et fatiguĂ© de la vie. Ecrasant le mĂ©got de sa cigarette qu'il avait grillĂ© en un temps record dans la neige, il se redressa ensuite, tirant la deuxiĂšme de sa poche, l'enchaĂźnant aussitĂŽt. Il pouvait tenir avec une part jour, mais Ă cause de la Neko, il n'avait pas fumĂ© depuis un moment dĂ©jĂ ... Haussant les Ă©paules, il releva la tĂȘte vers le ciel, perdant son regard de sang dans les nuages gris. Une fois sa seconde clope grillĂ©e elle aussi, il retourna Ă l'intĂ©rieur, allant jeter ces mĂ©gots dans la poubelle. Relevant le nez, il en profita pour attraper un morceau de pain qu'il mangea rapidement, avant d'aller s'enfoncer dans le fauteuil le plus proche, sa joue droite dans sa main, le regard perdu dans le vide. ...Il avait quittĂ© le petit village. Toujours aucun bruit, ce silence parfait. Des battements de coeur lent, interminable... Une solitude bien trop lourde pour ce jeune homme. S'arrĂȘtant pour s'assoire sur un petit rocher couvert de neige, il ne prettait mĂȘme plus attention au froid. Une main sur le visage, son regard triste perdu dans la neige blanche, trop pure pour lui. Il resta longuement ici, perdu face Ă sa solitude glacĂ©e, bien plus que cette neige dans laquelle il errait sans fin. Puis, dans un effort, il finit par reprendre sa route... En appercevant un petit chalet, il fermant lentement son oeil, s'approchant de la porte. Un soupire. Devait-il vraiment rentrer ? Sa main se perdit sur la poignĂ©e froide... Il hĂ©sitait. Peut-ĂȘtre que oui, peut-ĂȘtre que non, qui sait... Lachant un soupire, sans rouvrire son oeil, il se contenta d'attendre sans bruit, d'ĂȘtre prĂȘt Ă choisir. _________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Ven 3 Juil - 1931 Alvinykiosa se recrovillait doucement, ayant avalĂ© le mĂ©dicament, dans un dernier ronronnement de soulagement, elle ferma ses paupiĂšres. S'apprĂȘtant Ă dormir lorsqu'une Ă©trange impression traversa son esprit, rapidement, la jeune femme leva la tĂȘte, fronçant les sourcils. Une aura... Imperceptible, les oreilles de la Neko dresser vers la porte. Dans un mouvement, elle sauta sur ses pieds, courrant Ă moitier vers la porte. La jeune neko soupira quelques instants, faisant signe Ă l'autre de ne pas faire de bruit. Est-ce une impression ? Non... Les narines de la jeune femme humĂšrent l'air en silence, cet odeur, non, pas de doutes, c'est lui. Elle posa sa main sur la poignets, l'ouvrant brutalement, dans un Ă©norme sourire qui dĂ©forma son visage, la neko sauta sur l'homme, enserrant son cou dans ses bras, laissant la tĂȘte de l'homme se loger contre elle. Alvinykiosa laissa ses yeux se fermer, son corps se collant contre celui de son gardien enfin revenu. Son odeur, sa prĂ©sence... Un bruit sourd, et les deux personnes tombĂšrent dans la neige, Alvinykiosa se mettant Ă ronronner bruyamment, laissant sa queue battre et fendre l'air de gaiĂ©tĂ©. Elle avait enfouis sa tĂȘte dans la nuque de l'homme, laissant sa respiration chaude et rĂ©guliĂšre se perdre contre cette peau, qu'elle avait, subitement, envie de mordre Ă pleine dent. Ce qu'elle se retint de faire. Humant l'odeur suave de l'homme, ses ronrons semblant ĂȘtre une douce berceuse. Alvinykiosa sentit, dans ce paysage froid et blanc, un feu de bois devenu brasier, se rallumant au creux d'elle, une douce chaleur la prenant tandis qu'elle ressera ses bras contre le cou de l'homme, passant une main dans ses cheveux corbeau pour jouer avec quelques mĂšches. Laissant entrevoir quelques mots, entendre quelques syllabes et son souffle chaud lĂ©cher la peau tiĂšde de l' ~ La neige, le froid, mĂȘme dans ce moment tiĂšde d'un Ă©trange sentiment et chaud de retrouvaille, la jeune NĂ©kos frissonna brutalement. Ses ronrons cessant dans un miaulement de froid. Alvinykiosa se releva, restant Ă quatre patte au-dessus de son gardien. Ses yeux de feux se perdant dans son oeil. La jeune femme avait montĂ© qu'il lui avait manquĂ©, Ă©normĂ©ment mĂȘme. Lentement, elle embrassa le front de son gardien, heureuse de le revoir en un morceau, mĂȘme si la neige froide avait fondu dans son dos et que l'eau glacĂ© coulait doucement le long de sa colonne vertĂ©brale, lui arrachant un frisson horriblement dĂ©sagrĂ©able qu'elle encaissa sans rien laisser paraĂźtre. La jeune femme Ă©tait heureuse de le revoir, restant ainsi un petit moment avant de se relever, glissant Ă l'oreille, juste avant de se remettre sur pied, quelques mots qu'elle avaient hĂąte de lui dire. Depuis qu'Hisoka Ă©tait entrĂ© dans sa vie, elle voulait le hurler pour qu'il comprenne de ne plus jamais la laisser avec ce t'aime Ani ! Je t'aime...Le second avait Ă©tĂ© murmurer, pourquoi le rĂ©pĂ©ter ? C'Ă©tait un mystĂšre, mĂȘme pour elle. Lentement, la jeune femme quitta le corps de son gardien, se relevant, Ă©pousstant rapidement la neige de ses vĂȘtements. Puis le froid la prit au corps, brutalemment, ses pieds, dans la neige, lui rappella rapidement qu'elle dĂ©testait celle-ci. Alvinykiosa sauta sur un coin sans neige, sur le paillason du chalet, essuyant maladroitement ses pieds gĂȘler. La jeune neko tourna la tĂȘte vers l'intĂ©rieur du chalet, cherchant Hisoka des yeux pour lui annoncer la bonne Ă©tait vivant, il Ă©tait de retour. Il Ă©tait lĂ . Croisant les bras, Alvinykiosa avait envie de se coller contre son gardien et de plus le lĂącher. La jeune femme le regarda se relever, un sourire indĂ©lĂ©bile prĂ©sent sur ses lĂšvres. Elle ne pouvait pas l'enlever, mĂȘme avec tout ses efforts, elle Ă©tait heureuse de le revoir. L'invitant Ă venir Ă l'intĂ©rieur chauffer du chalet. Alvinykiosa attrapa un pull qui traĂźnait pour se rĂ©chauffer, filant dans la cuisine pour prĂ©parer quelques choses de chaud pour le petit groupe. Ensuite, elle sauterait de nouveau sur son gardien pour ne plus le lĂącher, non mais ! Il Ă©tait partit, il allait devoir supporter son cĂŽtĂ© chaton en manque de cĂąlin et tendresse pendant deux ou trois semaines. Les yeux de feux de la jeune femme regardait un placard, celle-ci en Ă©quilibre sur un tabouret bancal qu'elle avait rapidement trouvĂ©. Elle prit un sachet de cafĂ©, de thĂ© et Ă cĂŽtĂ© des plaques chauffantes, il y avait dĂ©jĂ la boĂźte de chocolat en poudre et le lait. FidĂšle Ă elle mĂȘme, sa boisson chaude prĂ©fĂ©rer Ă©tait le chocolat chaud accompagnĂ©, gĂ©nĂ©ralement, de chantilly et de fruit frais qu'elle dĂ©vorait au coin du feu. Alvinykiosa fit chauffer de l'eau, prĂ©para une tasse de thĂ©, une autre de cafĂ© et sa tasse de chocolat Chaud avec, imprimer en couleur pĂ©tante, un chaton. La jeune femme prit le plateau avec elle, allant rejoindre son gardien et Hisoka dans le salon, posant ce qu'elle tenait dans les mains sur la petite tables avant de sauter sur son gardien. Se mettant sur ses genoux, face Ă lui. Ses genoux encadrant les jambes de l'homme, elle le regarda avant de lui sourire. Allant lover sa tĂȘte contre l'Ă©paule de l'homme, ronronnant, laissant sa queue de chat faire des mouvments ? CĂąlin powa ! Et il n'aurait pas d'autres choix de toute la tĂȘte, faisant face Ă son gardien, elle prit une mine boudeuse et sĂ©rieuse quelques secondes, aprĂšs avoir montrĂ© d'un coup de tĂȘte les diffĂ©rentes tasses posĂ© sur le plateau Ă portĂ© de main. Reposant son regard de feu sur l'homme, elle soupira avant de dĂ©clarer d'une voie me laisse plus avec LUI ! Il a Ă©tĂ© mĂ©chant, horrible ! Il voulait me laisser mourir de froid dehors ! J'ai du lui attrapĂ© sa cape pour qu'il daigne m'acheter un manteau T___T Il pue la cigarette ! Il arrĂȘte pas de fumer ! Il est missant et critique toujours ma cuisine... MĂȘme si je fais tout cramer, c'est pas gentiiiiiiiiiiiiiil T___T Me laisse plus avec lui T_T_________________ Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Sam 4 Juil - 2024 Alors que la jeune fille Ă©tait encore dans la cuisine, les deux hommes en profitait pour parler, le jeune assassin prenant son temps pour retirer correctement de son dos l'Ă©pĂ©e de son compaire...- Tch, t'as Ă©tĂ© long. - Ah ? J'ai hĂ©sitĂ© Ă te laisser jouer la nounou plus longtemps pourtant... - Tsss ! S'pĂšce d'enflure, t'aurais bien aimĂ© hein ! - Bingo, mais j'ai Ă©tĂ© obligĂ© de revenir plus tĂŽt que prĂ©vu. Ah, au faite, reprend ça. - Yeaaaah ! Mon Ă©pĂ©e d'amooooooooooooooour <3- ... - Tu m'as manquĂ© tu sais ? x3 - Hem... Si j'te dĂ©range hein... - Haha, dĂ©solĂ© ~ - Elle est efficace. J'aime bien son poids et sa forme. - Et encore, j'connais un coin pas loin oĂč on peut trouver encore mieux ! Faudra que j't'y emmĂšne, tu feras pas long feu sans armes de ciconstance tu sais. - Peut-ĂȘtre...Lentement, l'assassin ferma ses yeux, sa joue calĂ©e dans sa main, coude sur la table. Pensif, il repensait briĂšvement Ă son combat qui suivit le dĂ©part de la Neko et du mercenaire. Un long soupire... La libertĂ©... Celle ci serait bien ephĂ©mĂšre. Soupirant longuement, il rĂ©flĂ©chissait Ă tout cela... Ouvrant les yeux en sentant la Neko venir dĂ©poser les boissons sur la table, une lĂ©gĂšre surprise le saisit lorsqu'il la sentit ce placer sur ces genoux. Il avait oubliĂ© tout ça, en si peu de temps... Aurait-il rĂ©ellement dĂ»t revenir comme ça ? Sa vie Ă©tait incompatible avec cette Neko trop innocente et gentille... Soupirant doucement, il se contenta de passer ses bras autour de la taille de la jeune femme. La chaleur de son corps, sa tĂȘte dans le cou de l'assassin... Il referma lentement son oeil bleu pĂąle. Puis, la jeune femme se dĂ©colla, avant de commencer Ă se plaindre du comportement d'Hisoka... Bizzarement, ça ne surpris pas le jeune homme, qui regarda briĂšvement le mercenaire. Ce dernier ce contenta de rouler des yeux avec un sourire amusĂ©, avant d'attraper la tasse de thĂ© pour boire tranquillement. Un lĂ©ger sourire se dessina sur les lĂšvres de l'assassin, qui soupira - amusĂ© - avant de passer sa main dans les cheveux de la Neko, lui caressant la tĂȘte comme Ă son habitude. - Ma pauvre, t'a dut passer de sacrĂ©es journĂ©es... Je te laisserais plus seule... Lui souriant, il attrapa sa tasse de cafĂ©, et laissant l'amertume agrĂ©able de la boisson couler dans sa gorge. C'Ă©tait agrĂ©able d'ĂȘtre rĂ©chauffĂ© ainsi par ce doux mĂ©lange, le tout dans un chalet accueillant, oĂč il retrouvait en plus sa protĂ©gĂ©e... Alvinykiosa... Une personne dont il ne pouvait plus se passer, bien qu'il hĂ©site Ă prĂ©sent Ă l'impliquer plus dans sa vie bien trop sombre pour cette Neko souriante. - Haha, au moins le cafĂ© est commestible ~- HĂ©hĂ©hĂ©hĂ© ! Tu vois, on est deux ! - Je plaisante, j'attendrais tout Ă l'heure pour donner mon avis sur la cuisine, tu le sais bien... Resserant sa prise autour de la taille de la Neko, le jeune homme laissa son regard contempler le visage de la Neko, un lĂ©ger sourire aux coins des lĂšvres. Puis, refermant son oeil en se rejetant au fond de la chaise, il soupira, passant une main dans les cheveux de la jeune femme. - Tu m'as manquĂ© tu sais... - ... Je sors, pas envi de tenir la chandelle pendant votre moment Ă©motion -,- - Va rĂ©pĂ©rer ton endroit oĂč je pourrais m'acheter des armes si t'a le temps, savoir s'ils ont des trucs intĂ©ressant. - Okay, mais dĂ©brouille toi pour que se soit finit quand je reviens. Soit vous arrĂȘtez, soit vous allez dans la chambre, mais je veux pas vous voir comme ça toute la journĂ©e moi ! - Mon pauvre, tu manques d'affection, c'est ça ? - La ferme - - ... Et voilĂ , dĂ©barassĂ© de lui â« Alors, tu te remets de ton petit sĂ©jour avec lui ? [Rep pourriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie â«]_________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Dim 5 Juil - 1551 Ses yeux regardĂšrent Hisoka partir, un lĂ©ger sourire triomphant sur les lĂšvres, la jeune femme se tourna vers son gardien, passant ses bras autour de sa nuque, approchant son visage du sien, son regard se durcit quelques instants, avant qu'elle se mette Ă sourire tendrement. Plus jamais, elle ne voulait plus jamais ĂȘtre sĂ©parer de lui, que ce soit Hisoka qui s'occupe d'elle en l'harcelant ou un autre, non, elle ne voulait plus... Doucement, elle se releva, se retirant des genoux de son gardien, s'affalant sur un fauteuil en face, attrapant sa tasse de chocolat chaud pour commença Ă la siroter, la douce odeur du chocolat l'enivrait et celle du lait la rendait folle... La jeune neko bu en silence, laissant le crĂ©pitement des flammes de la cheminĂ© le briser. Puis, Alvinykiosa leva les yeux vers l'homme, reposant sa tasse sur la table, inquiĂšte pour toi... J'avais aucun signe de vie... Et mĂȘme si Hisoka en avait, il m'en parlait pas. A croire que cela l'amusait de savoir des choses que je ne savais pas alors que je voulais les savoir au plus vite... La neko fixait le fond de sa tasse avant de se lever, souriant faiblement, elle attrapa le plateau et se dirigea vers la cuisine. Il falait qu'elle en parle. Posant le plateau avec sa tasse, Alvinykiosa posa une mains sur son crĂąne. Il fallait qu'elle en parle, de ce miroir, du corbac, de sa mort... De l'accident mĂȘme. Hisoka n'avait donnĂ© que de vagues dĂ©tails sur ce qui c'Ă©tait passĂ©, elle, elle n'avait pas dit, ni Ă lui, ni Ă quelqu'un d'autres ce qu'elle avait vĂ©cu. Doucement, elle ferma ses yeux, revoyant ce théùtre, mais l'ambiance mĂ©lancolique qui y rĂ©gnait avait disparut, tout Ă©tait noir, des lumiĂšres bleutĂ©s menant Ă la scĂšne sombre oĂč seul le miroir brisĂ© en haut Ă droite semblait briller. Encore lĂ ... Pourquoi ? Alvinykiosa revient vers le salon, regardant la cheminĂ© puis son gardien, dans un lĂ©ger soupire, elle s'appprocha, se mettant dans son dos, glissant ses bras autour du cou de son gardien. Glissant ses lĂšvres prĂ©s de l'oreille de l'homme, sans avoie une envie particuliĂšre de le titiller... Bien qu'il fallait l'avouer, ça l'a l'accident... Le corbac et moi on a eut une petite discussion. Elle m'a demandĂ© d'abrĂ©ger ce qui restait de sa vie... Je l'ai fait. Il suffisait de briser un miroir dans lequel on se reflĂ©tait. Alvinykiosa passa une main sur l'oeil qui pouvait voir de l'homme, fermant les siens en mĂȘme temps. Projetant dans son esprit cette vision de ce théùtre plonger dans les tĂ©nĂšbres, ces lumiĂšres bleutĂ©s et ce chemin vers cette scĂšne dĂ©pourvus de leurs marrionettes. Le miroir brisĂ©, oĂč plus rien ne se reflĂšte que le nĂ©ant. A cĂŽtĂ©, la porte des trois arcanes dans l'ombre, bien sceller. La jeune femme laissa le temps Ă son gardien de voir toute la piĂšce avant d'enlever ses doigts lentement. La neko resserra son emprise, un frisson glaciale lui parcourant l'Ă©chine de maniĂšre dĂ©sagrĂ©able. Alvinykiosa enfouis son visage dans le cou de l'homme. Doucement, elle respirait son odeur, lentement, elle se souvenait des mots du corbac lui demandant d'abrĂ©ger ce qui restait de son existence, lui laissant son corps et ses pouvoirs. Elle aurait voulu lui demander beaucoup de chose, mais elle avait fait ce qu'elle lui avait demandĂ©. Maintenant, et Ă jamais, le corbac et elle Ă©tait devenu deux personnes distincte. La neko se redressa, desserrant son emprise avant de sourire, reprenant un peu du poil de la bĂȘte. D'un rapide coup d'oeil, elle regarda l'horloge accrocher Ă un mur, il faudrait peut-ĂȘtre prĂ©parer Ă manger... HĂ© voilĂ , ils allaient pouvoir se moquer tout les deux de ses dons culinaires inexistant. Une de ses mais se perdit dans les cheveux corbeau de son gardien, s'abaissant de nouveau au niveau de sa joue pour lui laisser un petit baiser. Se dirigeant vers la cuisine, elle laissa sa voie s' vais essayer de faire quelques choses de comestible... Sinon il va encore se foutre de moi. C'Ă©tait un calvaire ses jours avec lui T__T L'est vraiment missant ! Il m'envoyait faire les courses tout le temps, les personnes ailĂ©s du village arrĂȘtait pas de me mal voir ! T___T J'avais l'impression qu'il voulait me mangeeeeeeeeer T____T Et lui, il s'en foutait royal ! Il me riait au nez en disant que j'Ă©tais aussi, probablement, le seul chaton de tout le village. Alvinykiosa chouinait Ă moitiĂ© dans son coin, se souvenant de chaque moment passĂ© avec Hisoka. Du rĂ©veil sur la moto et du sursaut plus qu'Ă©norme qu'elle avait eut... Jusqu'au moment oĂč Ani venait de revenir. La jeune neko secoua la tĂȘte avant d'ouvrir le frigo que disposait la cuisine, sortant de la viande Ă faire griller. Personellement, elle n'avait pas envie de manger de la viande et elle sortit des pattes Ă faire cuir. PrĂ©parant la poĂȘle et l'eau pour faire cuire les pattes. Doucement, elle s'adossa contre un rebord de la cuisine, regardant les plaques chauffer doucement. Dans un lĂ©ger rire elle se remit Ă s'adresser Ă son est vraiment trop mĂ©chant ! Il a pas arrĂȘtĂ© de m'en faire baver ! T_T C'est la premiĂšre fois que je cuisine et il se plaignait juste de la qualitĂ© mĂ©diocre ou que je faisais tout brĂ»lĂ©. Il a jamais essayĂ© de prendre ma place... T_________T C'est pas ma faute si je n'ai jamais cuisinĂ© avant ! Mon crĂ©ateur m'a juste appris Ă parler de toute maniĂšre... Elle Ă©touffa un miaulement de rĂ©signation... Alvinykiosa passa une main sur son visage, puis dans ses cheveux, tournant la tĂȘte pour regarder son gardien. Un sourire sur ses m'as manquĂ© toi !_________________ Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Mar 7 Juil - 1752 * Les ĂȘtes ne faisant que tuer comme nous finisse par mourrire d'une maniĂšre ou d'une autre... Le Corbac n'Ă©chappait pas Ă la rĂ©gle... * Il regarda longuement la silhouette de la jeune femme dans la cuisine, alors qu'elle se plaignait encore d'Hisoka et du temps passĂ© avec lui... Si elle savait ce que c'Ă©tait de souffrire de la solitude, elle ne l'aurait surement pas prit aussi mal... Enfin, elle Ă©tait encore jeune et innocente aprĂšs tout... Quelque part, il l'enviait... Oui, malgrĂ© certain problĂšme, il l'enviait de pouvoir sourire et d'ĂȘtre capable d'executer ses dĂ©sirs sans hĂ©siter... * Un sacrifice... Finalement, elle a eu raison... ComdamnĂ© Ă mourire, autant le faire en offrant ce qui nous reste de vie Ă cette innocence enfantine... * Fermant les yeux pour rejeter sa tĂȘte en arriĂšre, il soupira longuement, visualisant de maniĂšre brĂšve ce fameux miroire, avant de regarder sa main, paume ouverte.. Fermant lentement son poing dans un soupire, il ouvrit lentement son oeil bleu pĂąle, le posant sur la S'il n'a pas essayĂ©, c'est juste car il ne sait pas cuisiner. Lui comme moi, on a Ă©tĂ© formĂ© pour tuer depuis qu'on est gamin, alors la cuisine... Mit appart mettre le feu au chalet, on ira pas loin tu sais. Plaçant sa main devant ces lĂšvres pour Ă©touffer un baillement, il s'enfonça un moment dans le fauteuil oĂč il se trouvait, profitant d'un peu de confort pour son corps brisĂ© aprĂšs son voyage. Un peu de repos ici... Ca ne lui ferait pas de mal. Enfin, seulement accompagnĂ© d'entraĂźnements, comme il l'avait prĂ©vu. RĂ©cupĂ©rer un arsenal, s'entraĂźner avec Hisoka, laisser le temps Ă la Neko de s'habituer Ă la vie... Puis il verrait en fonction des mouvements des Datenshi. En gros, c'Ă©tait son plan pour leur sĂ©jour ici. - Toi aussi tu m'as manquĂ©... J'arrivais plus Ă dormir sans mon p'tit chaton blottit contre moi tu sais ?Ironie ? Ou pas, qui sait ? Toujours est-il qu'un sourire amusĂ© se dessina aux coins des lĂšvres du jeune homme, qui se releva en s'Ă©tirant. Il Ă©tait dĂ©jĂ un peu plus Ă l'aise ici... Et le faite qu'il ne se balade plus avec un masque bizzare le soulageait un peu. MĂȘme s'il devrait le remettre plus ou moins souvent. Passant une main dans ces cheveux, il descendit celle ci jusqu'Ă sa nuque, la massant doucement... Puis, doucement, il s'avança vers la cuisine, se glissant sans bruit derriĂšre la jeune femme. Elan d'affection... Il enlaça ces Ă©paules douces de ses bras, tirant la Neko contre lui, laissant sa tĂȘte venir contre celle pouvue d'oreilles de chat de la jeune fille. - Ca va brĂ»ler... DĂ©posant une petite pichnette sur le front de la Neko dĂšs qu'elle tourna la tĂȘte vers les plaques, il lui tira la langue. Moquerie, puisqu'elle venait Ă peine de commencer Ă lancer ses plats, mais il se doutait qu'elle stressait assez pour se laisser avoir. Soupirant doucement, il laissa ses bras relacher ce doux corps qu'il aurait aimĂ© avoir contre lui indĂ©finiment. S'adossant Ă un rebord tournĂ© en direction des plaques, il ferma doucement son oeil, lĂąchant un nouveau mais bref soupire. Puis, rouvrant son oeil, il passa sa main dans les cheveux de la jeune Neko, puis sur sa joue, de maniĂšre brĂšve, avant de lui accorder un lĂ©ger sourire. Passer un peu de temps avec elle... Ca lui avait manquĂ©, quoiqu'il dise. - Au moins, le temps est passĂ© plus vite que si tu t'Ă©tais ennuyĂ©e non ? Et puis, c'Ă©tait pas si long, je me suis dĂ©pĂȘchĂ©...Se dĂ©collant doucement du rebord, il dĂ©posa doucement sa main sur l'Ă©paule de la Neko, puis la remonta jusqu'au cheveux de la demoiselle, caressant sa tĂȘte comme il avait l'habitude de le faire. Souriant lĂ©gĂšrement, il s'Ă©loigna, se tournant vers elle le temps de lui adresser quelques mots. - Je vais me laver, j'en ai pas pour longtemps... Tes affaires que t'avais laissĂ© son dans mon sac. Si t'es d'accord, on pourrait marcher un peu aprĂšs, non ? Je viens de revenir, j'ai pas envi de me lancer dans des entraĂźnements infernaux avec Hisoka ou d'aller acheter des armes, ça attendra demain. Sans attendre de rĂ©ponse, la silhouette sombre du jeune homme se glissa dans la salle de bain. Il soupira pour la Ă©niĂšme fois, pouvant enfin se laisser aller Ă la fatigue du voyage... A peine sortit de son combat qu'il avait enfourchĂ© sa moto, honnĂȘtement, c'Ă©tait pas dans le genre reposant... Laissant son dos tomber contre la porte, il dĂ©posa les vĂȘtements qu'il avait prit pour la suite dans un coin, avant de commencer Ă retirer ce qu'il portait. DĂ©faisant sangle par sangle cette espĂšce de camisole renforcĂ©e qu'il portait et qui lui donnait un parfait air de malade mental tout droit sortit de l'asile, il laissa enfin la tenue tomber sur le sol, puis la dĂ©posa dans un coin, et partit faire couler l'eau de son bain - non pas douche Ă cause d'une envie de se dĂ©tendre un peu - et entreprit de terminer d'enlever ses vĂȘtements pour ce glisser dans l'eau chaude, qui pourrait avec un peu de chance le soulager de la fatigue et de la douleur de son corps jusqu'Ă ce soir. _________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Jeu 9 Juil - 145 L'eau chaude avait crĂ©er une lĂ©gĂšre brume qui s'Ă©tait dĂ©versĂ© dans toute la piĂšce crĂ©ant un Ă©cran opaque de brume d'eau. La porte de la salle de bain s'ouvrit lentement, sans bruit, tandis qu'Alvinykiosa s'y glissait sans bruit, laissant ses yeux experts et son ouĂŻe fine entendre le corps de son gardien entrer dans l'eau. ImmĂ©diatement ensuite, elle enleva ses propres vĂȘtements avec prĂ©cautions, les laissant en tas avec ceux de celui qu'elle appellait, ou plutĂŽt, surnommait Ani. La jeune Neko sentit un frisson froid et dĂ©sagrĂ©able la traverser, la chaleur de la salle de bain faisant chauffer un peu ses joues leurs donnant une jolie couleur rouge pĂąle. Ce fut Ă pas de velour, qu'elle s'approcha de la baignoire, jetant un oeil sur l'homme, ce fut quand il ferma ses yeux quelques instants pour soupirer qu'elle se glissa dans l'eau brĂ»lante, soupirant de plaisir et se recrovillant en face d'Ani, se plaçant entre les jambes allongĂ©s de celui-ci, laissant sa queue s'enrouler autour de ses genoux. L'eau chaude contre sa peau tiĂšde lui fit un bien fou, ses muscles se dĂ©tendant un Ă un. Dans un mouvement de rotation, elle fit craquer sa nuque involontairement, soupirant avant de regarder son reflet dans l'eau, as eut une super idĂ©e pour le bain... Ca fait un bien fou ! Alvinykiosa soupira, remontant son regards vers l'homme qui avait virĂ© de sa couleur pĂąle de peau lĂ©gĂšrement rĂ©chauffer par la chaleur pour un pivoine bien prononcer. BĂ©gĂ©yant quelques mots et ne pouvant pas parler sous le choc d'avoir la jeune femme dans son bain sans aucune gĂȘne. Non, elle ne savait pas ce que cela signifiait, elle Ă©tait simplement dans le bain avec une personne qu'elle aimait, pour elle, c'Ă©tait normal. Arquant un sourcil, Alvinykiosa plissa des yeux pour regarder son gardien qui semblait Ă©touffer de chaleur ou alors pas en forme. Doucement, elle se leva, se penchant sur un cĂŽtĂ© de la baignoire pour attraper un petit canard jaune fluo avec le bec orange. Elle le mit Ă l'eau, le laissant flotter sur l'eau chaude gaiement, balançant et tanguant au grĂ©s du faible courant de l'eau dans lequel baignait Alvinykiosa regardant, d'un air joueur son petit canard toute contente et toute fiĂšre de l'avoir acheter. Remontant ses yeux vers l'homme, elle dĂ©signa le petit canard d'un te prĂ©sente coin-coin ! Je l'ai achetĂ© dans un petit magasin... Il y avait aussi des tortues roses et bleu et des grand lĂ©zards orange. La jeune femme regarda en plissant ses yeux son gardien avant de soupirer, se dĂ©tendant un peu plus dans l'eau. Quelques questions Ă©mergĂšrent dans son esprit, mais elle n'osa pas les poser, se demandant si ce n'Ă©tait pas indiscret... Pourquoi Ă©tait-il rouge ? Elle ne faisait que prendre un bain avec lui... Rien de mal... Etait-il malade ? Pas bien ? Avait-il trop chaud ? C'Ă©tait vrai que l'eau Ă©tait bouillante, mais il avait les robinets juste Ă cĂŽtĂ©, il aurait bien pu rajoutĂ© de l'eau froide dans ce cas-lĂ . Alvinykiosa lĂącha un lĂ©ger soupire, laissant sa queue sortir de l'eau doucement, faisant mine d'ĂȘtre la tĂȘte d'un animal allant retrouver coin-coin qui voguait sur l' es tout rouge Ani... Tu as mal quelques parts ? Trop chaud peut-ĂȘtre ? Elle baissa lĂ©gĂšrement les oreilles, espĂ©rant qu'il allait bien. Jamais, l'idĂ©e que prendre un bain avec un homme quand on est une femme est malsain ne lui traversa l'esprit. AprĂšs tout, elle n'en savait rien de tout ça ! Rien du sexe ou autre pratique douteuse, elle n'Ă©tait que puretĂ©... Pour l'instant, je Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Sam 11 Juil - 1719 - T... Tu... Qu... Rouge, complĂštement rouge. Sans aucune gĂȘne, elle Ă©tait venu dans l'eau avec lui, dans son innocence bien trop grande. Incapable de bouger, incapable de dire quoique se soit, il osa Ă peine accorder un regard au visage de la Neko, et dĂ©tourna attivement le regard, encore et toujours pivoine... Lui dont les contacts actuel c'Ă©tait limitĂ© Ă des calins et quelques bisoux Ă©changĂ©s avec la Neko, se retrouver avec elle, nue Ă nue dans une baignoire Ă©troite... N'Ă©tait pas quelque chose qui l'enchantait Ă vrai dire. Il Ă©tait plus que mal Ă l'aise, mais n'osait mĂȘme pas bouger, de peur d'agraver sa situation ou autre. Il ne dit rien, il ne laissa rien ressentir, il garda juste son regard fuyant tourner sur le cĂŽtĂ©. DĂ©posant ses bras sur le rebord de la baignoire, il les croisa, et glissa doucement sa tĂȘte entre eux. LĂąchant un long soupire, il ferma les yeux, dĂ©jĂ complĂštement dĂ©passĂ© par tout cela. Quand mĂȘme, tout aussi innocente qu'elle soit, elle qui avait dĂ©jĂ eu des problĂšmes aux Pays des Neko sur ce point, venir comme ça, sans aucune gĂȘne dans le bain du jeune homme Ă©tait... DĂ©placĂ© ? Enfin... Il n'y pouvait malheureusement rien, et soupira longuement, lĂ©gĂšrement dĂ©sĂ©pĂ©rĂ©, sans non plus le montrer de maniĂšre forte, pour que la Neko ne s'imagine pas des choses complĂštement Ca va, ça va, ne t'inquiĂšte pas... Je vais qui Ă©tait vrai, sans l'ĂȘtre au fond... Oui, dans la forme, il allait bien. Mais dans le fond, non il se retrouvait avec une Neko nue dans son bain, alors qu'il Ă©tait tout juste capable d'offrire des calins, et elle n'avait aucune gĂȘne Ă le faire. Autant cela aurait juste Ă©tait pour le provoquer ou autre, il aurait pu la renvoyer dehors, mais lĂ ... Elle Ă©tait trop pure et innocente pour qu'il puisse le faire... Ătre ainsi, c'Ă©tait vraiment humiliant, et vraiment gĂȘnant... Il venait tout juste de revenir en plus... Comment il Ă©tait censĂ© rĂ©ussir Ă refaire des cĂąlins Ă la jeune Neko qui jouait avec son canard aprĂšs ça, hein ? Tch... Lentement, il passa une main sur son visage, puis la glissa devant ses lĂšvres, Ă©touffant un long baillement. ComprĂ©hensible, puisqu'il n'avait pas dormit depuis un bon moment dĂ©jĂ . Enfin, rien d'important... Refermant doucement ses yeux, pour le moment, il voulait surtout oublier la situation dans laquelle il Ă©tait. Mais comment oublier sa au fond, hein ? LĂąchant un Ă©nimĂšre soupire - surement pas le dernier - il s'enfonça dans l'eau, tĂȘte y comprit pour se raffraichir les idĂ©es un instant. Puis, rejetant les cheveux qui tombait devant son oeil capable de voir, il se massa distraitement la nuque, avant de repdnre sa position inutiale. Un nouveau soupire. Pourquoi devait-il vraiment se retrouver dans ce genre de situation...? Mais surtout, ce qui l'inquiĂštait le plus comment pourrait-il ĂȘtre Ă l'aise aprĂšs que la Neko lui ai fait ce coup ? HonnĂȘtement, dormir dans le mĂȘme lit qu'elle aprĂšs ça... Ca devenait plus que gĂȘnant. Enfin... LĂąchant encore un long soupire, il ferma son oeil, laissant sa tĂȘte se recroqueviller dans ses bras. _________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Dim 19 Juil - 2302 La jeune NĂ©kos jouait paisiblement dans son bain qu'elle partageait sans gĂȘnes avec l'homme. A vrai dire, elle ne savait pas ce que cela signifiait, ni ce que cela avait d'important. Depuis ses premiers jours, et ses premiers bains, elle les avaient passĂ© sous les yeux de son crĂ©ateurs consencieux, toujours Ă l'affut du moindres dĂ©faults. Voyeurisme ? PerversitĂ© ? Ou simple devoir professionel ? Nul ne le sait et nul ne le saura un jour. Mais ses concepts corrompus par l'esprit de l'Homme n'atteingnait et n'avait pas encore sa place dans celui d'Alvinykiosa qui incarnait l'insouciance et la puretĂ© de l'innocence. De ce fait, de sa simple innocence, elle n'Ă©tait ni Homme ni bĂȘte, simplement un chaton Ă©garĂ© dans un monde noir et sombre oĂč, avant, elle avait une place de prĂ©dateur et se retrouvait dĂ©sormais au milieu de cette chasse, ne sachant ni sa place, ni ce qu'elle reprĂ©sentait rĂ©ellement. Doucement, son petit canard jaune au bec orange glissa le long de l'eau vers l'homme, cogna son petit bec contre la peau pĂąle du dit Ani avant que la queue tremper de la jeune femme vienne l'enlacer et l'emmener sous l'eau sous ses paroles d'une voie qu'elle avait dĂ©formĂ© exagĂ©rement et tremble misĂ©rable devant le terrible monstre de la baignoire !Une bulle d'air s'Ă©chappa du petit canard tandis que le "monstre" reprĂ©senter par la queue de la nĂ©kos emmenait jusqu'au fond de la baignoire le pauvre et misĂ©rable canard de bain. AprĂšs quelques minutes, le "monstre" dessera sa prise et coin-coin - ainsi Ă©tait le nom du canard - ressurgit Ă la surface de l'eau, reprennant sa balade au grĂ©s du faible courrant de la baignoire. Les yeux de chats de la femme s'Ă©taient posĂ© sur l'homme, tandis qu'elle dĂ©taillait sa posture et essayant de comprendre Ă ce qu'il pensait. AprĂšs un lĂ©ger soupire, son regard avait glisser sur son reflet dans l'eau. A cette simple vue, elle porta une main juste en-dessous de son reflet, regardant cette main qui, jadis, ne lui avait pas appartenue. Simple copie ? Ou rĂ©elle personne ? C'Ă©tait une question qui torturait son esprit par moment et auquel personne ne semblait apte ou prĂȘt Ă y brouilla son reflet quelques instants, relevant les yeux vers 'Ani'. Elle lĂącha un bref soupire, et tandis qu'il regardait ailleur, elle sortit de l'eau lentement attrapa une bouteille de savon qui traĂźnait. Sentant comme une gĂȘne dans l'air, elle prĂ©fĂ©ra se laver dans la cabine de douche dont la parois en verre Ă©taient lĂ©gĂšrement opaque, n'offrant qu'une vue floue sur la personne Ă l'intĂ©rieur. Ouvrant les robinets, l'eau froide raffrachis les idĂ©es du jeune chaton tandis qu'il se lavait minutieusement, n'oubliant ni oreilles, ni queues, ni cheveux. AprĂšs quelques minutes, elle ressortit dĂ©goulinante d'eau les yeux fermĂ©s, cherchant Ă tatons une serviette. Alvinykiosa lĂąchait un miaulement d'inconfort en sentant le savon lui piquer les yeux et une fois qu'il fut enlever, elle cligna quelques instants, retrouvant cette vue floutĂ© par la vapeur d'eau rĂ©pendu dans la salle de bain. Ses prunelles noisettes regardĂšrent 'Ani', elle lui dĂ©cocha un de ses magnifiques sourire dont elle avait le secret, se glissant en face de lui, s'accroupissant Ă sa hauteur. D'une main, elle Ă©carta quelques mĂšches humides du front de son gardien, dĂ©posant un lĂ©ger baiser sur celui-ci avant de sourire, Ă©touffant un bĂȘte vais te laisser te laver tranquille et prĂ©parer Ă cheveux corbeaux de l'homme relever par Alvinykiosa retombĂšrent se plaquer contre son front, la femme se relevant et dans des bruits d'eau elle sortit de la salle de bain, laissant ses vĂȘtements en tas ave ceux d' petit pas pressĂ©, Alvinykiosa parcourus le couloir reliant la salle de bain et les chambres, passant par la mezanine qui donnait sur le reste du chalet et le rez-de-chaussĂ©e. Jetant un oeil pour voir Hisoka, le chaton se stoppa, laissant sa queue faire de bref et rapide mouvement pour s'essorer. Quelques minutes passĂšrent tandis que son regard, retrouvant sa couleur de feu, traĂźnassait encore dans les piĂšces qu'elle surplombait. Un frisson glacial lui parcourut l'Ă©chine, lui indiquant que c'Ă©tait le moment d'aller enfiler de nouveaux vĂȘtements. Chose qu'elle fit, en commençant par se rendre dans la chambre qu'elle allait partager, dĂ©sormais, avec son gardien. Alvinykiosa ferma la porte de la chambre, laissant la serviette enrouler autour de son buste tomber lentement sur le sol aprĂšs avoir parcourus et survoler ses formes. La jeune neko se dirigea vers un miroir accrocher sur la porte d'un placard refermant les quelques vĂȘtements qu'elle avait pus achetĂ© avec l'argent d'Hisoka, Ă son insu, bien entendu. Ses yeux parcourus sont corps, elle regardait ses quelques cicatrices au niveau de ses membres, plus prĂ©cisement juste derriĂšre les Ă©paules un peu au-dessus des homoplates et, en bas, juste au-dessus des cuisses tournĂ© vers l'extĂ©rieur de celles-ci. La jeune femme passa une main sur son ventre avant de se tourner, attrapant ses longs cheveux pour dĂ©gager son dos; immadiatement, ses prunelles de feux se stoppĂšrent sur son tatouage la marque d'AshVritt. Elle la regarda longuement, en silence. Un soupire brisa ses quelques minutes, Alvinykiosa jetta un oeil sur la porte, pui revient sur son dos Ă nu dans le miroir. La jeune neko soupira de nouveau, laissant ses cheveux lui barrer les yeux. D'un lĂ©ger mouvement de tĂȘte, elle dĂ©gagea son regard et ouvrit le ne fallut pas plus d'une vingtaine de minute pour qu'elle ressorte de la chambre, ses cheveux coupĂ©s maladroitement. Un T-shirt, un pantalon avec des bretelles rouges accrochĂ©s dessus, ses pieds nus comme Ă son habitude et, au bout de sa queue, un des bracelets qu'elle avait piquĂ© Ă Hisoka, adorant son style cuir noir et pique. Autour de son cou, elle finissait d'accrocher un Ă©norme collier ou pendouillait une clochette, assez grosse il fallait l'avouer. AprĂšs un rapide coup d'oeil, pour voir ou Ă©tais Hisoka, elle se dirigea vers la cuisine et s'attela, comme elle l'avait dit, au dĂźner. Sifflotant de maniĂšre plutĂŽt gaie et aussi concentrer qu'a chaque fois ou elle cuisinait... Pour en faire des plats cramĂ©s, certe, mais la volontĂ© de bien faire Ă©tait au moins lĂ . Spoiler________________________________________Au mĂȘme moment, dans une autre contrĂ©e, sur le pont reliant deux montagnes de l'Ă©ternitĂ©, une jeune elfe Ă©tait lĂ , un sourire dĂ©mentiel sur le visage, marchant sur le pont d'un pas mi-dansant, mi-trottant. Lentement, doucement, elle souriait, ricanait, prise de folie et on le savait rien qu'a son regard sans cesse agitĂ©. TantĂŽt attirer par une crĂ©ature imaginaire tantĂŽt par un oiseau qui venait de pousser son cri strident ou tantĂŽt, par de la poussiĂšre qu'elle chassait vainement d'un mouvement de main. La jeune elfe, ses oreilles sortant de sa chevelure rouge mĂ©chĂ© de noir et ses yeux vĂ©rons, couleur fauves, s'arrĂȘta brutalement. A sa ceinture, deux lames, sur ses vĂȘtements, 5 Ă 6 mĂštres de chaĂźnes entourait et ornait ses habits. L'elfette, changeant brutalement d'humeur, persiffla au vent, ses yeux colĂ©reux posĂ© sur une personne dont la cape voletait au grĂ© des vent glaciales des que vous me voulez ? Le temps tourne et je dois y aller !L'homme, endrapĂ© dans sa lourde cape brune sourit doucement, ne bougeant pas et ne cillant pas devant ce regard destructeur que lui lançait cette temps, toujours le temps... Tu es une vĂ©ritable pendule sur pattes !L'elfe pencha la tĂȘte sur le cĂŽtĂ©, son regard colĂ©rique virant vers sa folie habituel, son expression crispĂ© dans la colĂšre se dĂ©forma pour de l'intĂ©rĂȘt et du exact ! Et je dois rejoindre mes aiguilles qui m'attendent...Elle montra, d'un doigt, un versant de montagne, un petit village qui ressemblait Ă une tache noir de lĂ oĂč se trouvait les deux personnes. L'homme, aprĂšs un rapide regard sur le village, reposa ses yeux sur la femme qui s'Ă©tait dangeureusement approchĂ© de quelques grandes tu me dĂ©ranges moucheron ? Ce n'est ni ton heure, ni ton endroit, ni moi qui toi te tuer ! Tic... Tac... Je suis une pendule qui ne doit pas ĂȘtre en retard, veuillez bien m' se glissa vers le cĂŽtĂ©, son regard dĂ©mentiel pris d'une lueur de sadisme. L'homme se retourna lentement, la stoppant dans son Ă©lan de reprendre sa quelqu'un pour voie avait Ă©tĂ© ferme, et ses quelques mots suffit Ă arrĂȘter l'elfette qui se retourna lentement, son regard froid et noir se posant sur l'homme. Puis, quelques secondes plus tard, il se dĂ©forma de nouveau pour de la folie et de l' donc ? Une tours ? Un fou ? Un roi ? Hoho ! Voudrais-tu que je fasse tomber les reines ? Mais non, mais non, je n'ai pas le droit de faire ça...Elle prit une voie triste d'enfant vexĂ© et déçue. L'homme sourit Ă voir la femme lunatique changer aussi rapidement d' un homme, un dressa les oreilles, souriant de son sourire sadique et dĂ©mentiel, son regard intĂ©resser scrutant le visage de l' ? Qui ? ArrĂȘte de me faire patienter ! Le temps coule et j'aimerais pas le rater !L'homme, aprĂšs avoir rĂ©primer un ricanement moqueur, fouilla dans une poche de sa lourde et Ă©paisse cape, sortant un avis de recherche venant des terres NĂ©kossienne visiblement. Il le dĂ©plia devant les yeux brillant et pĂ©tillant de l'elfe qui trĂ©pignait d'impatience, battant des mains, oui ! Oh oui ! J'irais le tuer !Elle Ă©tait heureuse, elle fit volte-face, et prit son chemin de son pas mi-dansant, mi-trottant, chantant Ă tue-tĂȘte sa contine funĂȘbre. LĂąchant, de temps en temps, des ricanements d'enthousiasme et parlant Ă allons de nouveau tuer Sarrios ! Tic, tac, tic, tac... Le temps s'accĂ©lĂšre pour cet ĂȘtre sa fin est proche...Elle marqua une pause, s'arrĂȘtant... HĂ©sitant, elle tourna la tĂȘte en arriĂšre, l'homme encapuchonner avait disparut, elle sourit de plus pas !Spoiler_________________ Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Mer 22 Juil - 1647 Sortant de l'eau aprĂšs ses 'mĂ©saventures' assez gĂȘnantes avec la jeune Neko, notre Ombre avait prit le temps de se laver, et attrapa distraitement une serviette. SĂ©chant son corps, il enfila rapidement ses affaires, composĂ©e d'un pantalon simple et lĂ©ger, et d'un T-shirt noir Ă manches longues. Cette tenue lui suffisant tant qu'il Ă©tait Ă l'intĂ©rieur, reprit sa serviette, entreprenant de finir de sĂšcher ses cheveux dĂ©goulinants d'eau. La serviette encore sur le visage, il stoppa un instant ses moments, repensant Ă la Neko qui Ă©tait venue partager son bain... Une rougeur apparaissant sur son visage, il chassa rapidement ces pensĂ©es de son esprit, terminant de sĂ©cher ses cheveux. Entrouvrant la fenĂȘtre de la salle de bain pour Ă©vacuer la vapeur, il resta un instant dans cette piĂšce, adossĂ© Ă un mur, bras croisĂ©s, regard perdu sur le sol. Il Ă©tait censĂ© avoir Ă©tĂ© conditionnĂ© pour ne pas ĂȘtre affectĂ© par tout ce qui concernĂ© le sexe opposĂ© et ses charmes, et tout ce qui Ă©tait sentiment liĂ© Ă un attachement plus ou moins fort... Alors pourquoi c'Ă©tait-il retrouvĂ© aussi gĂȘnĂ© ? Pourquoi son coeur c'Ă©tait-il emballĂ© ainsi...? Serait-il en faite un echec ? Mais, surtout... Il rĂ©alisait seulement maintenant qu'il ressentait quelque chose de bien trop fort envers la Neko pour ĂȘtre une simple relation de gardien / protĂ©gĂ©e... Soupirant, il passa une main sur son visage, rejetant sa tĂȘte en arriĂšre. Il savait qu'il c'Ă©tait beaucoup attachĂ©e Ă elle - surement trop - mais... Il n'avait jamais Ă©tait honnĂȘte avec lui mĂȘme jusqu'au bout. Fermant son oeil, il laissa sa main retomber le long de son corps, pour glisser sur le surface lisse du mur derriĂšre lui. Le faite d'aimer n'allait-il pas l'empĂȘcher de bien la protĂ©ger ? Il ne savait pas. Il ne savait plus. Il se posait trop de questions, sans doute... La vapeur ayant quittĂ© la piĂšce, il resta encore un moment, jusqu'Ă ce que son corps finisse par frissoner Ă cause de l'air extĂ©rieur glacial qui c'Ă©tait infiltrĂ© par la fenĂȘtre. Se dĂ©collant enfin du mur, il s'approcha de la fenĂȘtre qu'il referma lentement, puis se dirigea vers la porte, sortant de la piĂšce sans bruit, refermant silencieusement la porte aprĂšs son passage. Passant une main sur son visage, et relevant une mĂšche de cheveux du mĂȘme mouvement, le jeune homme s'avança dans la salle, jetant un oeil en direction de la cuisine, pour ensuite marcher en direction de la fenĂȘtre. DĂ©posant doucement sa main sur la vitre, il laissant son regard se perdre dans cette Ă©tendue blanche, observant les quelques flocons de neige prĂ©sents tomber doucement sur le sol... Se retournant sans prĂ©venir, il repartit en direction de la cuisine, s'approchant sans un bruit de sa belle protĂ©gĂ©e... L'observant un instant, il ferma ses yeux avec un lĂ©ger sourire ironique sur les lĂšvres, puis glissa sa tĂȘte dans le cou de la jeune femme, y dĂ©posant un baiser. - Je sors, profite d'ĂȘtre seule pour te concentrer sur la cuisine. Je suis sur que tu vas faire un plat super. A tout de suite L'enlaçant au niveau de la taille, le jeune homme lui rendit son baiser sur le front de tout Ă l'heure, essayant surtout de ne pas repenser Ă la scĂšne... Puis, se dĂ©collant Ă contrecoeur de cette douce chaleur que dĂ©gageait le corps de cette belle Neko dont il c'Ă©tait secretement Ă©prit, il lui adressa un bref signe de la main, avant d'attraper une veste assez Ă©paisse trainant sur une chaise, pour se glisser Oh ? Pas dans le lit ? Bizzare... Elle t'a pas comblĂ© hein ? =/ - Toujours avec ton humeur douteux... Alors, t'a repĂ©rĂ© des trucs intĂ©ressant ? - Ah ça ! T'imagine mĂȘme pas ! Les anges de ce coin ont un de ces tours de poitrines ! Et un dĂ©hanchĂ© sublime ! Vraiment superbes, j'regrette pas d'ĂȘtre venu moi ! - ... Je te parlais des armes... - ... Oh... Ah, ouais aussi. Une paire de flingue, qui ressemble Ă Ebony et Ivory. T'en aura besoin, puisque Ebony et Ivory ne sont pas dans leurs vraies forme. - Hmm...? - Quand l'utilisateur peut contenir, elles changent de formes et deviennent plus puissantes. Mais tu verras quand t'en sera lĂ . Pour l'instant, faut dĂ©jĂ revoir tout ton style de combat. - Demain. On commencera demain. - Hmm... Comme tu veux. Viens, j'voudrais te montrer un endroit. Une zone non-frĂ©quentĂ©e oĂč on pourra surement s' mettant en marche, les deux hommes discutaient briĂšvement, rĂ©ussissant Ă avoir une discution Ă peu prĂȘt sĂ©rieux entre deux remarques stupides d'Hisoka, qui ne s'en lassait pas. Montant assez haut dans les montagnes, les deux hommes arrivĂšrent ainsi sur un petit plateau, non loin d'une forĂȘt de sapin couvert de neige. Lieu agrĂ©able et bien Ă©loignĂ©, il semblait parfaitement appropriĂ© pour un entraĂźnement assez violent malgrĂ© tout. Se mettant d'accord pour utiliser ce lieu, les deux hommes redescendirent donc la montagne, et ne tardĂšrent pas Ă arriver au chalet. Retirant la neige sur sa veste et ces chaussures, notre Ombre leva le nez en voyant Hisoka rentrer comme tel, commençant dĂ©jĂ avec ses remarques... Un lĂ©ger sourire se dessina sur ses lĂšvres, alors qu'il entra Ă son tour, retirant sa veste pour la dĂ©poser sur le dossier d'une chaise trainant non loin. - Whaaa t'a pas fait cramer le chalet, bravo ! On mange quoi ? - La politesse, tu connais ? - M'en fou, la politesse ça se mange pas. _________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Marche sur le sang. Pv Miss Corbac» Miss Corbac et ses trois facettes Le corbeau, le chaton, la folie.» Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre]» Corbac» Dracos Maniak - Le CorbacPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumFreesby Archives du dormeurSauter vers
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