Neige neige blanche Tombe sur mes manches Et sur mon tout petit nez Qui est tout gelĂ©. Neige, neige blanche Tombe sur ma tĂȘte Et sur mes gros souliers Qui sont tout mouillĂ©s. Neige, neige blanche Viens que je te mange, Pose-toi tout doucement Comme un p’tit fondant Yum ! The post FYW 228: Meilleurs voeux appeared first on French Your Way.
l'as tu vu? L'as-tu vu, l'as-tu vu, Le petit bonhomme, le petit bonhomme? L'as-tu vu, L'as-tu vu, Le petit bonhomme au chapeau pointu ? On l'appelle PĂšre NoĂ«l. Par la cheminĂ©e, par la cheminĂ©e, On l'appelle PĂšre NoĂ«l, Par la cheminĂ©e il descendra du ciel. Il apporte des joujoux. Il en a plein sa hotte, il en a plein sa hotte. Il apporte des joujoux. Il en a plein sa hotte et c'est pour nous ! mon beau sapin Mon beau sapin, roi des forĂȘts Que jÂŽaime ta verdure! Quand par lÂŽhiver, bois et guĂ©rets Sont dĂ©pouillĂ©s de leurs attraits Mon beau sapin, roi des forĂȘts Tu gardes ta parure. J’ai mis volontairement que la premiĂšre strophe Noel jazz NoĂ«l, c'est comme un rythme de jazz Ça commence tout doucement On n'entend que la contrebasse Comme le cƓur d'un petit enfant Et sur ce rythme lĂ  NoĂ«l Chantez tous avec moi NoĂ«l Chantez tout bas tout bas NoĂ«l NoĂ«l Joyeux NoĂ«l yeah !!! Neige blanche Neige, neige blancheTombe sur mes manches Et sur mon tout petit nezQui est tout neige blancheTombe sur ma tĂȘteEt sur mes tout grands souliersQui sont tout neige blancheViens que je te mangePose-toi tout doucementComme un p'tit fondant.
Neige neige blanche, Tombe sur mes manches Et sur mon toup petit nez Qui est tout gelĂ©. Neige, neige blanche, Tombe sur ma tĂȘte Et sur mes tout gros souliers Qui sont tout mouillĂ©s. Neige, neige blanche, Viens, que je te mange, Pose-toi tout doucement Comm'un p'tit fondant. InterprĂšte 100 Contes, Fables Et Petites Histoires Label EMI
Programmation pour les poupons et trottineurs Voici plusieurs idĂ©es rattachĂ©es Ă  la neige blanche qui reprĂ©sente souvent une toute premiĂšre dĂ©couverte pour les poupons et une source de joie pour les trottineurs. AMÉNAGEMENT Au plafond Suspendre des lumiĂšres blanches et de beaux flocons en mur De belles images ou photos d’enfants jouant dans la neige, plastifiĂ©es et affichĂ©es Ă  la hauteur des poupons et trottineurs. Une affiche Ouvrir affiche thĂ©matique-poupons-On explore la neige Chaque semaine, vous trouverez une affiche/photo Ă  imprimer pour accompagner les programmations des poupons et des trottineurs. Plastifier l’affiche et l’installer au mur, Ă  la vue des enfants. Une fois la programmation terminĂ©e, glisser l’image dans un bac ou un cartable. À la fin de l’annĂ©e, vous aurez un bel imagier que vous pourrez admirer avec les poupons et les trottineurs. VoilĂ  une belle façon de faire un lien avec des Ă©vĂšnements passĂ©s. ACTIVITÉS DE ROUTINE ET TRANSITION Bac de mitaines, chapeaux, foulards Pour permettre aux enfants de s’amuser Ă  apprendre Ă  s’habiller seuls, prĂ©parer un bac de mitaines, chapeaux et foulards. Choisir des mitaines et des chapeaux beaucoup plus grands pour faciliter le jeu d’habillage. Les inviter Ă  se regarder devant le miroir. Les photographier, ce sera rigolo! La mĂ©tĂ©oDans une fenĂȘtre, plastifier des photos ou des images reprĂ©sentant un flocon de neige, un soleil et de la pluie Ă  l’aide de Mac-Tac. Quand il neige Ă  l’extĂ©rieur, encourager les enfants Ă  venir observer la neige qui tombe. Indiquer l’image correspondante du doigt et leur dire Aujourd’hui, il neige. » Bouteilles de dĂ©couvertesPlacer dans des bouteilles en plastique plusieurs Ă©lĂ©ments vous rappelant la neige des brillants avec de l’eau, des boules de ouate, du riz, de la vraie neige, de la peinture blanche
 Lors des moments de transition, sortir votre bac de bouteilles de dĂ©couvertes et les observer avec les poupons et les trottineurs. ACTIVITÉS SENSORIELLES le toucher Il tombe des boules Donner les suces aux poupons et trottineurs et lancer dans les airs tout plein de boules de ouate. Vous amuser par la suite Ă  remplir et vider des plats en plastique. Vous pouvez ajouter des camions pour les trottineurs. Ils aimeront les faire rouler dans la neige ». À la fin, coller les boules de ouate sur un papier Mac-Tac. Variante Remplacer les boules de ouate par de grosses boules de papier chiffonnĂ©. ACTIVITÉS SENSORIELLES le toucher Un bac de neige Ă  l’intĂ©rieur Les poupons aiment beaucoup manipuler la neige, mais leurs doigts viennent rapidement gelĂ©s Ă  l’extĂ©rieur. Pour cette raison, vous amuser Ă  manipuler de la neige Ă  l’intĂ©rieur de votre local. Installer de grandes serviettes au sol et y dĂ©poser votre bac de neige. Laisser les poupons explorer la neige avec leurs mains. Par la suite, ajouter des accessoires des pingouins ou des ours polaires, des contenants Ă  remplir, des emporte-piĂšces, des articles de jeu pour la pĂąte Ă  modeler, etc. Penser Ă  offrir des bĂątons de bois pour les plus grands. ACTIVITÉS SENSORIELLES le toucher et gouter CrĂšme fouettĂ©e Parce qu’elle ressemble Ă  la neige et parce qu’elle offre une belle texture et un gout exquis, la crĂšme fouettĂ©e est tout indiquĂ©e pour la manipulation. En dĂ©poser directement sur la table de chaque poupon ou trottineur et les laisser explorer le tout. Variante Utiliser de la crĂšme glacĂ©e Ă  la vanille qui est froide comme la neige. ACTIVITÉS D’ARTS PLASTIQUES Boule de neige DĂ©poser sur le sol un grand carton de forme ronde ou dĂ©poser un petit carton sur le sol pour chaque poupon ou trottineur. Avec un pinceau, couvrir le rond d’une fine couche de peinture blanche mĂ©langĂ©e avec de la colle. Debout autour du rond, inviter les poupons et trottineurs Ă  saupoudrer la boule, par exemple, de brillants argentĂ©s ou bleus. DĂ©chirer des bouts de mouchoirs en papier ou de papier de soie et les lancer sur la boule. Accrocher votre belle boule de neige au plafond. Pour remplacer la colle commerciale, il est possible de mĂ©langer de la farine et de l’eau pour obtenir une colle sans danger pour les poupons qui portent tout Ă  leur bouche. Pour d’autres recettes, j’ai trouvĂ© ce lien intĂ©ressant. Peinture Une belle façon de faire ressortir de la peinture blanche comme la neige est de peinturer sur un carton de couleur foncĂ©e, un carton bleu marin ou noir par exemple. DĂ©corer le vestiaire Pour chaque enfant, dĂ©couper une forme de mitaine dans du carton. Les poupons et les trottineurs colorient et dĂ©corent leur mitaine. Relier les mitaines ensemble deux par deux avec une ficelle et les accrocher dans le vestiaire. ACTIVITÉS SOCIOAFFECTIVES ET MORALES Personnage Imprimer et plastifier des photos des enfants ou de leurs personnages prĂ©fĂ©rĂ©s et laisser les poupons les insĂ©rer debout dans la neige Des personnages plastifiĂ©s pour le bac de neige intĂ©rieur. ACTIVITÉS COGNITIVES Chaud et froid En profiter pour parler de ce qui est chaud et de ce qui est froid avec les un poupon ou un trottineur touche Ă  la neige, lui dire que c’est l’heure du diner, lorsque les enfants mangent de la soupe qui est servie tiĂšde, leur dire que c’est les enfants manipuler de gros glaçons tout en leur disant que c’est les enfants boivent du lait tiĂšde, leur dire que c’est expliquer que la crĂšme glacĂ©e et les sucettes glacĂ©es sont des aliments froids. Bouteille chaude et bouteille froideToujours dans le but d’explorer la diffĂ©rence entre le chaud et le froid, voici une activitĂ© Ă  rĂ©aliser avec des bouteilles d’eau en plastique. Dans la premiĂšre bouteille, dĂ©poser de l’eau froide et dans la deuxiĂšme, de l’eau tiĂšde. VĂ©rifier la tempĂ©rature. Permettre aux poupons et aux trottineurs de manipuler les deux bouteilles en leur signalant qu’une bouteille est chaude alors que l’autre est froide. Imagier qui se rattache Ă  l’activitĂ© CrĂ©er un imagier comprenant des photos de glace, de neige, de chocolat chaud et de soupe. Regarder les images en disant c’est froid » ou c’est chaud » pour chacune. ACTIVITÉS PHYSIQUES ET MOTRICES Glisser et grimper Trouver une petite montagne de neige. Il y a souvent des monticules au parc. Aller y glisser avec les poupons et trottineurs. Inutile de chercher une grosse montagne d’autant plus que les petites collines sont parfaites pour faire grimper les trottineurs. Bonshommes de neige motricitĂ© fine Faire de petits bonshommes de neige de la mĂȘme hauteur que vos poupons et trottineurs. Sortir votre bac de chapeaux et foulards et montrer aux enfants comment ils peuvent les habiller. Le lancer de la boule Ă  l’intĂ©rieurLancer des boules de neige est amusant. Voici une version pour en lancer, mais bien au chaud dans le local. Chiffonner du papier blanc pour en faire des boules. Les dĂ©poser au sol. Placer une boite ou un panier Ă  linge un peu plus loin. Encourager les poupons et les trottineurs Ă  lancer les boules dans la boite. Variante boules de papierDĂ©poser des boules de papier chiffonnĂ© un peu partout dans le local pour encourager les enfants Ă  se dĂ©placer. Ils s’amuseront Ă  se promener un peu partout pour recueillir les boules et Ă  remplir et Ă  vider la boite par la suite. ACTIVITÉS EXTÉRIEURES Les flocons de neige Offrir Ă  chacun un carrĂ© de tissu noir tel que de la feutrine pour attraper et observer les beaux flocons de neige. Pour les petits poupons, prendre un grand morceau de tissu noir et le dĂ©poser par terre. Assoir les poupons directement sur le tissu pour que ceux-ci puissent regarder les flocons tomber. Comme dans le sable Fournir des seaux et des pelles pour jouer dans la neige. Luges pour toutous Dans la cour, permettre aux enfants de sortir avec leur toutou. DĂ©poser les toutous dans les luges. Les trottineurs s’amuseront Ă  les tirer sur la neige. Il est aussi possible de fabriquer des luges Ă  l’aide de boites de carton. Fixer une corde Ă  chaque boite et les trottineurs pourront les tirer. Un fort pour les poupons et trottineurs C’est une bonne idĂ©e de bĂątir un fort avec des cĂŽtĂ©s solides et d’une hauteur sĂ©curitaire; le fort cachera les enfants du vent froid. DĂ©poser une grande couverture chaude au fond du fort. Fabriquer de petits bancs Ă  l’aide d’annuaires tĂ©lĂ©phoniques recouverts de gros ruban collant de couleur vendu dans les quincailleries. Y offrir des bacs remplis de jouets qui sont faciles Ă  manipuler avec des mitaines. Ajouter une petite radio pour faire jouer de la musique douce ainsi que des livres plastifiĂ©s
 ACTIVITÉS LANGAGIÈRES Animer un livre de lecture Titre T’choupi fait un bonhomme de neigeAuteur Thierry CourtinMaison d’édition NathanCollection T’choupiPrix 11,95 $ AprĂšs avoir lu le livre aux poupons et aux trottineurs, aller dehors fabriquer un beau bonhomme de neige. Comme T’choupi et son papa, photographier votre bonhomme de neige. Une petite comptine Le petit flocon de neige Je suis un petit floconTout menu, tout blanc, tout voltige dans l'air lĂ©ger,Je me balance au bout des suis un petit floconTout menu, tout blanc, tout rond. Une petite chanson Neige blanche Neige, neige blancheTombĂ©e sur ma mancheEt sur mon doux petit nezQui est tout gelĂ© PrĂ©senter des photos de la neige qui tombe pour associer des images Ă  la chanson. Neige, neige blancheTombĂ©e sur ma tĂȘteEt sur mes gros souliersQui sont tout mouillĂ©sNeige, neige blancheViens que je te mangePose-toi tout doucementComme un petit fondant Chantal MilletteÉducatrice* n'est aucunement responsable du contenu de cet article. Toutes les informations mentionnĂ©es sont la responsabilitĂ© de son auteur et se dĂ©gage de toute responsabilitĂ© ou de tout litige dĂ©coulant de l'affichage dudit article.
Neige Il verse au fossé sur une route secondaire de la Manche et passe la nuit dans son camion . Dans la nuit de mardi 9 à mercredi 10 février, un
Neige neige blanche Dans la classe ce mercredi nous avons eu la grande joie de dĂ©couvrir des petits flocons de neige qui tombaient sur la cour
 AussitĂŽt nous sommes allĂ©s nous Ă©quiper bonnet, gants, cache-cou
et Ă  nous la dĂ©couverte de la neige pour certains c’était la 1Ăšre fois. C’était la fĂȘte sur la cour ! On a essayĂ© d’attraper des petits flocons ! Et en rentrant dans la classe nous avons chantĂ© NEIGE NEIGE BLANCHE TOMBE SUR MES MANCHES ET SUR MON TOUT PETIT NEZ QUI EST TOUT GELÉ

Neige neige blanche. Tombe sur mes manches. Et sur mon tout petit nez. Qui est tout gelĂ©. Neige, neige blanche. Tombe sur ma tĂȘte. et sur mes tout gros souliers. Qui sont tout gelĂ©s. Neige, neige blanche. Viens que je te mange. Pose-toi tout doucement. comme un p'tit fondant Documents joints MP3 - 561.7 ko. Commentaires Documents Administratifs. CR conseil
Il neige ici aujourd'hui. Voulez-vous apprendre une chanson enfantine traditionnelle que l'on chante en France et au QuĂ©bec? Cliquez ici pour l'entendre Neige, neige blanche Et voici les paroles Neige, neige blanche Tombe sur mes manches Et sur mon tout petit nez Qui est tout gelĂ©. Neige, neige blanche Tombe sur ma tĂȘte Et sur mes tout grands souliers Qui sont tout mouillĂ©s. Neige, neige blanche Viens que je te mange Pose-toi tout doucement Comme un p'tit fondant. Snow, white snow, my dear snow Fall on my sleeves below And on my wee little nose I feel that it froze. Snow, white snow, my dear snow Fall on my head just so, And on my big shoes, I fret They've become so wet. Snow, white snow, my dear snow Come, I'll eat you just so Land oh so softly on me
NEIGE NEIGE BLANCHE N eige, neige blanche Tombe sur ma tĂȘte Et sur mon tout petit nez Qui est tout gelĂ©. Neige, neige blanche Tombe sur mes manches 10 janvier 2010 7 10 /01 /janvier /2010 1130 La neige tombe Toute blanche dans la nuit brune, La neige tombe en voletant, Ô pĂąquerettes ! une Ă  une, Toutes blanches dans la nuit brune. Qui donc lĂ -haut plume la lune ? Ô frais duvet ! flocons flottants ! Toute blanche dans la nuit brune, La neige tombe en voletant. La neige tombe monotone Monotonement dans les cieux, Dans le silence qui chantonne La neige tombe monotone. Et file, tisse, ourle et festonne, Un suaire silencieux. La neige tombe monotone Monotonement dans les cieux. Jean Richepin PubliĂ© par Jolie Tendresse - dans Saisons- Nature - PoĂšmes-Comptines 7 janvier 2010 4 07 /01 /janvier /2010 1845 Il a neigĂ© la veille Il a neigĂ© la veille et, tout le jour, il gĂšle. Le toit, les ornements de fer et la margelle Du puits, le haut des murs, les balcons, le vieux banc, Sont comme ouatĂ©s, et, dans le jardin, tout est blanc. Le grĂ©sil a figĂ© la nature, et les branches Sur un doux ciel perlĂ© dressent leurs gerbes blanches. Mais regardez. Voici le coucher de soleil. A l'occident plus clair court un sillon vermeil. Sa soudaine lueur fĂ©erique nous arrose, Et les arbres d'hiver semblent de corail rose. François CoppĂ©e - Promenades et IntĂ©rieurs PubliĂ© par Jolie Tendresse - dans Saisons- Nature - PoĂšmes-Comptines 2 janvier 2010 6 02 /01 /janvier /2010 1215 Neige, neige blanche Neige, neige blanche Tombe sur mes manches Et sur mon tout petit nez Qui est tout gelĂ©. Neige, neige blanche Tombe sur ma tĂȘte Et sur mes gros souliers Qui sont tout mouillĂ©s. Neige, neige blanche Viens que je te mange Pose-toi tout doucement Comme un p'tit fondant. Tradition Ecouter la mĂ©lodie PubliĂ© par Jolie Tendresse - dans Saisons- Nature - PoĂšmes-Comptines 27 dĂ©cembre 2009 7 27 /12 /dĂ©cembre /2009 2015 Il neige ll neige, il neige, De gros flocons Comme du coton, Qui tombent sur les toits tout blancs, Et les petits oiseaux peureux Se pelotonnent entr'eux Avec des airs frileux, En fermant les yeux. Il neige, il neige, Tout est couvert d'un blanc manteau de neige ! Il neige, il neige, Comme il fait froid Par les durs frimas, Qui glacent nos Ăąmes d'effroi ! Et se sentant trĂšs malheureux Les jeunes cƓurs amoureux, Deux Ă  deux Se rĂ©chauffent entr'eux. Il neige, il neige, Tout passe, tout s'efface sous la neige ! Hermann Bemberg PubliĂ© par Jolie Tendresse - dans Saisons- Nature - PoĂšmes-Comptines 13 dĂ©cembre 2009 7 13 /12 /dĂ©cembre /2009 1215 La danse des flocons blancs La neige fait danser Tous ses flocons lĂ©gers. Vient se mĂȘler le vent Au bal des flocons blancs. Prend la main d'un flocon Et danse en tourbillon. L'emporte loin d'ici Et en fait son ami. Tradition PubliĂ© par Jolie Tendresse - dans Saisons- Nature - PoĂšmes-Comptines 25 novembre 2009 3 25 /11 /novembre /2009 1730 L'automne A toute autre saison je prĂ©fĂšre l'automne; Et je prĂ©fĂšre aux chants des arbres pleins de nids La lamentation confuse et monotone Que rend la harpe d'or des grands chĂȘnes jaunis. Je prĂ©fĂšre aux gazons semĂ©s de pĂąquerettes OĂč la source Ă©grenait son collier d'argent vif, La clairiĂšre dĂ©serte oĂč, tristes et discrĂštes, Les feuilles mortes font leur bruit doux et plaintif. Plus de moissons aux champs, ni de foin aux vallĂ©es; Mais le seigle futur rit sur les bruns sillons, Et le saule penchant ses branches dĂ©solĂ©es Sert de perchoir nocturne aux frileux oisillons. Et, depuis le ruisseau que recouvrent les aulnes Jusqu'aux sommets oĂč, seuls, les ajoncs ont des fleurs, Les feuillages divers qui s'Ă©tagent par zones Doublent le chant des bruits de l'hymne des couleurs. Et les pommiers sont beaux, courbĂ©s sous leurs fruits roses, Et beaux les ceps sanglants marbrĂ©s de raisins noirs; Mais plus beaux s'Ă©croulant sous leurs langues dĂ©closes, Les chĂątaigniers vĂȘtus de la pourpre des soirs. Ici c'est un grand feu de fougĂšre flĂ©trie D'oĂč monte dans le ciel la fumĂ©e aux flots bleus, Et, comme elle, la vague et lente rĂȘverie Du pĂątre regardant l'horizon nĂ©buleux. Plus loin un laboureur, sur la lande muette, S'appuie Ă  la charrue, et le soleil couchant DĂ©tache sur fond d'or la fiĂšre silhouette Du bouvier et des bƓufs arrĂȘtĂ©s en plein champ. L'on se croirait devant un vitrail grandiose OĂč quelque artiste ancien, saintement inspirĂ©, Aurait reprĂ©sentĂ© dans une apothĂ©ose Le serf et l'attelage et l'araire sacrĂ©. François FabiĂ© PubliĂ© par Jolie Tendresse - dans Saisons- Nature - PoĂšmes-Comptines 9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 1830 Automne Profitons bien des jours d'automne OĂč, dans les cieux, Semble errer la langueur Plaintive des adieux. Profitons bien des jours d'automne. Je me souviens de tendres choses Que se racontaient les amants; Ils faisaient d'Ă©ternels serments. Tout bas Quand fleurissaient les roses ! Profitons bien des jours d'automne OĂč, dans les cieux, Semble errer la langueur Plaintive des adieux. Profitons bien des jours d'automne. HĂ©las ! Le destin qui nous pousse Est quelquefois si rigoureux ! Reviendrez vous, beaux amoureux, Quand reviendra la saison douce ? Profitons bien des jours d'automne ! Paul Collin PubliĂ© par Jolie Tendresse - dans Saisons- Nature - PoĂšmes-Comptines 4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 1700 Automne Automne au ciel brumeux, aux horizons navrants. Aux rapides couchants, aux aurores pĂąlies, Je regarde couler, comme l'eau du torrent, Tes jours faits de mĂ©lancolie. Sur l'aile des regrets mes esprits emportĂ©s, - Comme s'il se pouvait que notre Ăąge renaisse ! - Parcourent, en rĂȘvant, les coteaux enchantĂ©s, OĂč jadis sourit ma jeunesse ! Je sens, au clair soleil du souvenir vainqueur, Refleurir en bouquet les roses dĂ©liĂ©es, Et monter Ă  mes yeux des larmes, qu'en mon cƓur, Mes vingt ans avaient oubliĂ©es ! Armand Silvestre PubliĂ© par Jolie Tendresse - dans Saisons- Nature - PoĂšmes-Comptines 22 octobre 2009 4 22 /10 /octobre /2009 1800 L'Automne Sois le bienvenu, rouge Automne, Accours dans ton riche appareil, Embrase le coteau vermeil Que la vigne pare et festonne. PĂšre, tu rempliras la tonne Qui nous verse le doux sommeil; Sois le bienvenu, rouge Automne, Accours dans ton riche appareil. DĂ©jĂ  la Nymphe qui s'Ă©tonne, Blanche de la nuque Ă  l'orteil, Rit aux chants ivres de soleil Que le gai vendangeur entonne. Sois le bienvenu, rouge Automne. ThĂ©odore de Banville - Les cariatides PubliĂ© par Jolie Tendresse - dans Saisons- Nature - PoĂšmes-Comptines 17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 1500 Les feuilles mortes Tombent, tombent les feuilles rousses, J’entends la pluie sur la mousse. Tombent, tombent les feuilles molles, J’entends le vent qui s’envole. Tombent, tombent les feuilles d’or, J’entends l’étĂ© qui s’endort. Tombent, tombent les feuilles mortes, J’entends l’hiver Ă  ma porte. Pernette ChaponniĂšre PubliĂ© par Jolie Tendresse - dans Saisons- Nature - PoĂšmes-Comptines
Neige neige blanche - Comptines et chansons de Noël Titounis - YouTube.
Une tourmente de neigeUne tourmente de neige-Une tourmente de neigeLe petit cierge – Conte de PĂąquesHistoire vraieD’oĂč vient le malLe filleul – LĂ©gende populaireLes deux vieillardsLe grain de blĂ©Les pĂȘchesLucernePage de copyrightUne tourmente de neige LĂ©on TolstoĂŻ -Une tourmente de neigeI Vers sept heures du soir, aprĂšs avoir bu du thĂ©, je quittai le relais. J’ai oubliĂ© son nom, mais c’était, je m’en souviens, dans le territoire des Kosaks du Don, prĂšs de Novotcherkask. Il commençait dĂ©jĂ  Ă  faire nuit lorsque, me serrant dans ma chouba et m’abritant sous le tablier, je m’assis Ă  cĂŽtĂ© d’Aliochka dans le traĂźneau. DerriĂšre la maison du relais, il semblait qu’il fĂźt doux et calme. Quoiqu’on ne vĂźt pas tomber la neige, pas une Ă©toile n’apparaissait, et le ciel bas pesait, rendu plus noir par le contraste, sur la plaine blanche de neige qui s’étendait devant nous. À peine avions-nous dĂ©passĂ© les indĂ©cises silhouettes de moulins dont l’un battait gauchement de ses grandes ailes, et quittĂ© le village, je remarquai que la route devenait de plus en plus malaisĂ©e et obstruĂ©e de neige. Le vent se mit Ă  souffler plus fort Ă  ma gauche, Ă©claboussant les flancs, la queue et la criniĂšre des chevaux, soulevant sans rĂ©pit et Ă©parpillant la neige dĂ©chirĂ©e par les patins du traĂźneau et foulĂ©e par les sabots de nos bĂȘtes. Leurs clochettes se moururent. Un petit courant d’air froid, s’insinuant par quelque ouverture de la manche, me glaça le dos, et je me rappelais le conseil que le maĂźtre de poste m’avait donnĂ© de ne point partir encore, de peur d’errer toute la nuit et de geler en route. — N’allons-nous pas nous perdre ? dis-je au yamchtchik. Ne recevant pas de rĂ©ponse, je lui posai une question plus catĂ©gorique — Yamchtchik, arriverons-nous jusqu’au prochain relais ? Ne nous Ă©garerons-nous pas ? — Dieu le sait ! me rĂ©pondit-il sans tourner la tĂȘte. Vois comme la tourmente fait rage ! On ne voit plus la route. Dieu ! petit pĂšre ! — Mais dis-moi nettement si, oui ou non, tu espĂšres me conduire au prochain relais, repris-je ; y arriverons-nous ? — Nous devons y arriver
 dit le yamchtchik. Il ajouta quelques paroles que le vent m’empĂȘche d’entendre. Retourner, je ne le voulais pas ; mais, d’un autre cĂŽtĂ©, errer toute la nuit, par un froid Ă  geler, en pleine tourmente de neige, dans une steppe dĂ©nudĂ©e comme l’était cette partie du territoire des Kosaks du Don, cela manquait de gaietĂ©. De plus, quoique, dans cette obscuritĂ©, je ne pusse pas bien examiner le yamchtchik, je ne sais pourquoi il me dĂ©plaisait et ne m’inspirait pas la moindre confiance. Il Ă©tait assis au milieu du traĂźneau ; sa taille Ă©tait trop haute, sa voix trop nonchalante, son bonnet, un grand bonnet dont le sommet ballottait, n’était point d’un yamchtchik ; il stimulait ses chevaux, non point Ă  la maniĂšre usitĂ©e, mais en tenant les guides dans les deux mains et comme un laquais qui aurait pris la place du cocher ; et surtout ses oreilles qu’il cachait sous un foulard
 Bref, il ne me plaisait guĂšre, et ce dos rĂ©barbatif et voĂ»tĂ© que je voyais devant moi ne me prĂ©sageait rien de bon. — Pour moi, dit Aliochka, il vaudrait mieux retourner ; il n’y a rien d’amusant Ă  s’égarer. — Dieu ! Petit pĂšre ! vois-tu quelle tourmente ? On ne voit plus trace de route. Ça vous aveugle les yeux
 Dieu ! Petit pĂšre ! grognait le yamchtchik. Un quart d’heure ne s’était pas encore Ă©coulĂ©, lorsque le yamchtchik arrĂȘta ses chevaux, confia les guides Ă  Aliochka, retira gauchement ses jambes de son siĂšge, et, faisant craquer la neige sous ses grandes bottes, se mit en quĂȘte de la route. — Eh bien ! oĂč vas-tu ? Nous nous sommes donc perdus ? lui criai-je. Mais le yamchtchik ne me rĂ©pondit pas ; il dĂ©tourna son visage pour l’abriter du vent qui lui frappait dans les yeux, et s’en alla Ă  la dĂ©couverte. — Eh bien ! quoi ? as-tu trouvĂ© ? lui dis-je, lorsqu’il fut de retour. — Rien ! me rĂ©pondit-il brusquement, avec une impatience nuancĂ©e de dĂ©pit, comme s’il avait perdu la route par ma faute. Et, glissant lentement ses grandes jambes dans sa chanceliĂšre, il disposa les guides dans ses moufles gelĂ©es. — Qu’allons-nous faire, maintenant ? demandai-je lorsque nous nous fĂ»mes remis en route. — Et que faire ? Allons oĂč Dieu nous poussera. Nous recommençùmes Ă  courir du mĂȘme petit trot, tantĂŽt sur la croĂ»te glacĂ©e qui craquait, tantĂŽt sur la neige qui s’éparpillait et qui, en dĂ©pit du froid, fondait presque aussitĂŽt sur le cou. Le tourbillon d’en bas allait toujours en augmentant, et d’en haut commençait Ă  tomber une neige rare et sĂšche. Il Ă©tait clair que nous allions Dieu savait oĂč, car, aprĂšs un quart d’heure de marche, nous n’avions pas rencontrĂ© une seule borne de verste. — Eh bien ! qu’en penses-tu ? fis-je au yamchtchik. Arriverons-nous jusqu’au relais ? — Auquel ? Nous regagnerons celui que nous venons de quitter, si nous laissons les chevaux libres ; ils nous ramĂšneront. Quant Ă  l’autre, c’est peu probable, et nous risquons de nous perdre. — Eh bien ! retournons alors, dis-je, puisque
 — Retourner, alors ? rĂ©pĂ©ta le yamchtchik. — Mais oui ! mais oui ! retourner. Il rendit les brides, et les chevaux coururent plus vite. Quoique je n’eusse point senti le traĂźneau tourner, le vent changea ; bientĂŽt, Ă  travers la neige, nous aperçûmes des moulins. Le yamchtchik recouvra un peu d’énergie et se mit Ă  causer. — Il n’y a pas longtemps, disait-il, c’était aussi par une tourmente, ils venaient de l’autre relais, et ils se virent obligĂ©s de coucher dans les meules
 Ils ne furent rendus que le matin
 Il est heureux encore qu’ils aient trouvĂ© des meules, car autrement ils se seraient tous gelĂ©s il faisait un froid !
 Songez que, malgrĂ© les meules, un d’eux s’est gelĂ© les pieds et qu’il est mort en trois semaines. — Mais Ă  prĂ©sent, le froid est supportable, il fait plus doux, fis-je on pourrait peut-ĂȘtre aller. — Doux, oui, il fait doux, mais la tourmente !
 Maintenant que nous lui tournons le dos, elle nous semble moins terrible, mais elle fait rage toujours. On pourrait l’affronter avec un coullier ou quelque autre, parti Ă  ses risques et pĂ©rils ; car ce n’est pas peu de chose que de geler son voyageur comment pourrais-je rĂ©pondre de Votre Honneur ? II En ce moment on entendit derriĂšre nous les clochettes de plusieurs troĂŻkas elles nous eurent bientĂŽt rejoints. — C’est la cloche des coulliers, dit mon yamchtchik, il n’y en a qu’une seule de ce genre au relais. La cloche de la premiĂšre troĂŻka rendait en effet un son remarquablement joli. Le vent nous l’apportait trĂšs clairement, pur, sonore, grave et lĂ©gĂšrement tremblĂ©e. Comme je l’appris par la suite, c’était une invention de chasseur trois clochettes, une grande au milieu, avec un son qu’on appelle cramoisi, et deux petites, choisies dans la tierce. Cet accord de tierces et de quinte tremblĂ©e qui rĂ©sonnaient dans l’air Ă©tait d’un effet singuliĂšrement saisissant et d’une Ă©trange beautĂ© au milieu de cette steppe solitaire et dĂ©solĂ©e. — C’est la poste qui court, dit mon yamchtchik, quand la premiĂšre troĂŻka fut Ă  cĂŽtĂ© de nous
 Et dans quel Ă©tat se trouve la route ? Peut-on passer ? cria-t-il au dernier des yamchtchiks. Mais celui-ci stimula ses chevaux sans rĂ©pondre. Les sons de la cloche s’éteignirent brusquement, emportĂ©s par le vent, aussitĂŽt que la poste nous eĂ»t dĂ©passĂ©s. Sans doute mon yamchtchik Ă©prouva quelque honte — Et si nous allions, barine ? me dit-il. D’autres y ont bien passĂ©. Et d’ailleurs leur trace est toute fraĂźche. J’y consens ; nous faisons de nouveau face au vent, et nous glissons en avant dans la neige profonde. J’examine la route par cĂŽtĂ©, pour ne point perdre la trace laissĂ©e par les traĂźneaux de poste. Pendant deux verstes, cette trace apparaĂźt visiblement ; puis je ne remarque plus qu’une lĂ©gĂšre inĂ©galitĂ© Ă  l’endroit oĂč ont mordu les patins. BientĂŽt il me devient impossible de rien distinguer est-ce la trace des traĂźneaux ? Est-ce tout simplement une couche de neige amoncelĂ©e par le vent ? Mes yeux se fatiguent de cette fuite monotone de la neige sur les arbres, et je me mets Ă  regarder droit devant moi. La troisiĂšme borne de verste, nous la voyons encore, mais la quatriĂšme se dĂ©robe. Et, comme auparavant, nous allons dans le vent et contre le vent, Ă  droite et Ă  gauche, nous Ă©garant si bien, que le yamchtchik prĂ©tend que nous sommes fourvoyĂ©s Ă  droite, moi je soutiens que c’est Ă  gauche, tandis qu’Aliochka dĂ©montre que nous tournons le dos au but. À plusieurs reprises nous nous arrĂȘtons. Le yamchtchik dĂ©gage ses grands pieds et part Ă  la recherche de la route, mais sans succĂšs. Moi-mĂȘme je me dirige du cĂŽtĂ© oĂč je pensais la retrouver ; je fais six pas contre le vent, et j’acquiers la certitude que partout la neige Ă©tend ses blanches couches uniformes, et que la route n’existait que dans mon imagination. Je me retournai plus de traĂźneau. Je me mis Ă  crier Yamchtchik ! Aliochka ! » mais je sentais que ces cris, Ă  peine sortis de ma bouche, le vent aussitĂŽt les emportait quelque part dans le vide. Je courus Ă  l’endroit oĂč j’avais laissĂ© le traĂźneau il n’était plus lĂ . J’allai plus loin, rien. Je rougis de me rappeler le cri dĂ©sespĂ©rĂ©, suraigu, que je poussai encore une fois Yamchtchik ! » tandis que le yamchtchik Ă©tait Ă  deux pas. Il surgit tout Ă  coup devant moi, avec sa figure noire, un petit knout, son grand bonnet inclinĂ© sur le cĂŽtĂ©, et me conduisit au traĂźneau. — Estimons-nous heureux qu’il fasse doux, dit-il ; car s’il gelait, malheur Ă  nous !
 Dieu ! Petit pĂšre !
 — Laisse aller les chevaux, ils nous ramĂšneront, dis-je en remontant dans le traĂźneau. Nous ramĂšneront-ils, eh ! yamchtchik ? — Mais sans doute. Il lĂącha les guides, fouetta trois fois de son knout le korennaĂŻa, et nous partĂźmes au hasard. Nous fĂźmes ainsi une demi-lieue. Soudain, devant nous, retentit le son bien connu de la clochette de chasseur. C’étaient les trois troĂŻkas de tout Ă  l’heure, qui venaient maintenant Ă  notre rencontre ; elles avaient dĂ©jĂ  rendu la poste, et s’en retournaient au relais, avec des chevaux de rechange attachĂ©s par-derriĂšre. La troĂŻka du courrier, dont les grands chevaux faisaient sonner la sonnette de chasseur, volait en tĂȘte. Le yamchtchik gourmandait ses chevaux avec entrain. Dans le traĂźneau du milieu, maintenant vide, s’étaient assis deux autres yamchtchiks, qui parlaient gaiement et Ă  voix haute. L’un d’eux fumait la pipe ; une Ă©tincelle qui pĂ©tilla au vent Ă©claira une partie de son visage. En le regardant, je me sentis honteux d’avoir peur, et mon yamchtchik eut sans doute la mĂȘme impression, car nous dĂźmes tous deux en mĂȘme temps Suivons-les ! » III Sans mĂȘme laisser passer la troisiĂšme troĂŻka, mon yamchtchik tourna, mais si gauchement qu’il heurta du brancard les chevaux attachĂ©s. Trois de ceux-ci, faisant un saut de cĂŽtĂ©, rompirent leur longe et s’échappĂšrent. — Vois-tu ce diable louche, qui ne voit pas oĂč il conduit
 sur les gens ! Diable !
 cria d’une voix enrouĂ©e et chevrotante un yamchtchik vieux et petit, autant que j’en pus juger d’aprĂšs sa voix et son extĂ©rieur, celui qui conduisait la troĂŻka de derriĂšre. Il sortit vivement du traĂźneau et courut aprĂšs les chevaux, tout en continuant de profĂ©rer contre mon yamchtchik de grossiĂšres et violentes injures. Mais les chevaux n’étaient pas d’humeur Ă  se laisser prendre. Un instant aprĂšs, yamchtchiks et chevaux avaient disparu dans le blanc brouillard de la tourmente. La voix du vieux retentit. — Wassili-i-i !
 amĂšne-moi l’isabelle, car autrement on ne les rattra-a-apera pas ! Un de ses compagnons, un gars de trĂšs haute taille, sauta du traĂźneau, dĂ©tacha et monta un des chevaux de sa troĂŻka, puis, faisant craquer la neige, disparut au galop dans la mĂȘme direction. Nous, cependant, avec les deux autres troĂŻkas, nous suivĂźmes celle du courrier qui, sonnant de sa clochette, courait en avant d’un trot relevĂ©, et nous nous enfonçùmes dans la plaine sans route. — Oh oui ! il les rattrapera, dit mon yamchtchik, en parlant du vieux qui s’était jetĂ© Ă  la poursuite des chevaux Ă©chappĂ©s
 S’il ne les a pas encore rejoints, c’est que ce sont des chevaux emballĂ©s, et ils l’entraĂźneront Ă  tel endroit que
 il n’en sortira pas ! Depuis que mon yamchtchik trottait derriĂšre la poste, il devenait plus gai et plus expansif ; et moi, n’ayant pas encore envie de dormir, je m’empressai d’en profiter. Je me mis Ă  le questionner d’oĂč venait-il ? qui Ă©tait-il ? J’appris bientĂŽt qu’il Ă©tait de mon pays, du gouvernement de Tonia. C’était un serf du village de KirpitchnoĂŻĂ©. Le peu de terre qu’il y possĂ©dait ne rapportait presque plus rien depuis le cholĂ©ra. Il avait deux frĂšres, le plus jeune Ă©tait soldat. Ils n’avaient de pain que jusqu’à la NoĂ«l, et travaillaient comme ils pouvaient pour vivre. Le cadet, mariĂ©, dirigeait la maison. Quant Ă  mon yamchtchik, il Ă©tait veuf. Chaque annĂ©e, il venait de leur village des artels de yamchtchiks. Lui n’avait jamais auparavant fait ce mĂ©tier, et c’était pour venir en aide Ă  son frĂšre qu’il s’était engagĂ© Ă  la poste. Il vivait lĂ , grĂące Ă  Dieu, pour cent vingt roubles en papier par an, dont cent qu’il envoyait Ă  sa famille
 Cette vie lui conviendrait assez Seulement, les coulliers sont trop mĂ©chants, et le monde est toujours Ă  gronder par ici. » — Pourquoi donc m’injuriait-il, ce yamchtchik-lĂ  ? Dieu ! Petit pĂšre ! Est-ce que je les lui ai fait partir exprĂšs, ses chevaux ? Suis-je donc un brigand ? Pourquoi est-il allĂ© Ă  leur poursuite ? ils seraient bien revenus tout seuls. Il fatiguera ses chevaux et se perdra lui-mĂȘme, rĂ©pĂ©tait le petit moujik de Dieu. — Qu’est-ce donc qui noircit, lĂ -bas ? demandai-je en remarquant un point noir dans le lointain. — Mais c’est un oboze. VoilĂ  comment il fait bon marcher, continua-t-il quand nous arrivĂąmes plus prĂšs des grandes charrettes, couvertes de bĂąches et roulant Ă  la file
 Regarde donc, on ne voit pas un homme, tous dorment. Le cheval intelligent sait lui-mĂȘme oĂč il faut aller ; rien ne le ferait dĂ©vier
 Et nous aussi, fit-il, nous connaissons cela. Le spectacle Ă©tait Ă©trange, de ces immenses charrettes, entiĂšrement recouvertes de bĂąches, et blanches de neige jusqu’aux roues, et qui marchaient toutes seules. Dans la premiĂšre charrette seulement, deux doigts soulevĂšrent un peu la bĂąche neigeuse ; un bonnet en sortit quand nos clochettes rĂ©sonnĂšrent auprĂšs de l’oboze. Un grand cheval pie, le cou allongĂ©, le dos tendu, s’avançait d’un pas Ă©gal sur la route unie ; il balançait, sous la douga blanchie, sa tĂȘte et sa criniĂšre Ă©paisse ; quand nous fĂ»mes Ă  cĂŽtĂ© de lui, il dressa l’une de ses oreilles que la neige avait obstruĂ©e. AprĂšs avoir roulĂ© une demi-heure, le yamchtchik se tourna vers moi. — Eh bien ! qu’en pensez-vous, barine ? Marchons-nous bien droit ? — Je ne sais pas, rĂ©pondis-je. — Le vent soufflait d’abord par ici, le voilĂ  maintenant par là
 Non, nous n’allons pas du bon cĂŽtĂ©, nous errons encore, conclut-il d’une voix tout Ă  fait tranquille. On voyait que, malgrĂ© sa peur, il se sentait pleinement rassurĂ© – en compagnie la mort est belle – depuis que nous allions en nombre ; et puis, il ne conduisait plus, il n’avait plus charge d’ñmes. C’était de son air le plus calme qu’il relevait les erreurs des yamchtchiks, comme si la chose ne l’eĂ»t pas du tout regardĂ©. Je remarquai effectivement que parfois la troĂŻka de tĂȘte m’apparaissait de profil, tantĂŽt Ă  gauche, tantĂŽt Ă  droite ; il me parut mĂȘme que nous tournions sur un petit espace. Du reste, ce pouvait ĂȘtre une pure illusion de mes sens ; c’était ainsi qu’il me semblait parfois que la premiĂšre troĂŻka montait ou descendait une pente, alors que la steppe Ă©tait partout uniforme. Au bout de quelque temps, je crus apercevoir au loin, sur l’horizon, une longue ligne noire et mouvante, et bientĂŽt je reconnus clairement ce mĂȘme oboze que nous avions dĂ©passĂ©. La neige couvrait toujours les roues bruissantes, dont quelques-unes ne roulaient plus ; les gens dormaient toujours sous les bĂąches, et le premier cheval, Ă©largissant ses narines, flairait la route et dressait l’oreille comme tantĂŽt. — Vois-tu comme nous avons tournĂ© sur place ? Nous voici revenus au mĂȘme point, dit mon yamchtchik mĂ©content. Les chevaux des coulliers sont de bons chevaux, ils peuvent les fatiguer ainsi sans but, tandis que les nĂŽtres seront certainement fourbus, si nous marchons de la sorte toute la nuit. Il toussota. — Retirons-nous donc, barine, de cette compagnie. — Pourquoi ? Nous arriverons bien quelque part. — OĂč donc arriverons-nous ? Nous allons passer la nuit dans la steppe
 Vois comme cela tournoie ! J’étais surpris que, bien qu’ayant visiblement perdu la route et ne sachant plus oĂč il allait, le yamchtchik de tĂȘte, loin de rien faire pour se retrouver, poussĂąt des cris joyeux sans ralentir sa course, mais je ne voulais pas les quitter. — Suis-les ! dis-je. Mon yamchtchik obĂ©it, mais en stimulant son cheval avec encore moins d’entrain qu’auparavant ; et il n’engagea plus de conversation. IV Cependant la tourmente devenait de plus en plus forte. D’en haut la neige tombait aussi, sĂšche et menue. Il commençait, semblait-il, Ă  geler ; un froid plus vif piquait le nez et les joues ; plus frĂ©quemment, sous la chouba, s’insinuait un petit courant d’air glacĂ©, et bien vite nous nous serrions dans nos fourrures. Parfois le traĂźneau heurtait contre de petites pierres nues et gelĂ©es, d’oĂč la neige avait Ă©tĂ© balayĂ©e. Comme j’en Ă©tais Ă  ma sixiĂšme centaine de verstes sans m’ĂȘtre arrĂȘtĂ© une seule fois pour coucher, et bien que l’issue de notre fourvoiement m’intĂ©ressĂąt fort, je fermai les yeux malgrĂ© moi et je m’assoupis. Une fois, en ouvrant la paupiĂšre, je fus frappĂ©, Ă  ce qu’il me sembla d’abord, par une lumiĂšre intense qui Ă©clairait la plaine blanche ; l’horizon s’était Ă©largi, le ciel bas et noir disparut tout Ă  coup ; je voyais les raies blanches et obliques de la neige tremblante ; les silhouettes des troĂŻkas de l’avant apparaissaient plus nettement. Je regardai en haut, les nuages semblaient s’ĂȘtre dispersĂ©s, et la neige tombante couvrait entiĂšrement le ciel. Pendant que je dormais, la lune s’était levĂ©e ; Ă  travers la neige et les nuages transparents, sa clartĂ© brillait, froide et vive. Je ne voyais distinctement que mon traĂźneau, mes chevaux, le yamchtchik et les trois troĂŻkas ; dans la premiĂšre, celle du courrier, se tenait toujours, assis sur le siĂšge, un seul yamchtchik qui menait au trot rapide ; deux yamchtchiks occupaient la seconde, lĂąchant les guides et se faisant un abri de leurs caftans, ils ne cessaient point de fumer la pipe, Ă  en juger d’aprĂšs les Ă©tincelles. On n’apercevait personne dans la troisiĂšme troĂŻka ; le yamchtchik dormait Ă©videmment au milieu. Lorsque je me rĂ©veillai, je vis pourtant le premier yamchtchik arrĂȘter ses chevaux et se mettre en quĂȘte de la route. Nous fĂźmes halte. Le vent grondait avec plus de violence ; une masse effroyable de neige tourbillonnait dans l’air. La lueur de la lune, voilĂ©e par la tourmente, me montrait la petite silhouette du yamchtchik qui, un grand knout Ă  la main, sondait devant lui la neige, puis, aprĂšs des allĂ©es et venues, se rapprochant du traĂźneau dans l’obscure clartĂ©, se remettait d’un bond sur son siĂšge ; et de nouveau j’entendis, dans le souffle monotone du vent, les cris aigus du postillon et le tintement des clochettes. Toutes les fois que le yamchtchik de la premiĂšre troĂŻka partait Ă  la recherche de la route ou de meules, une voix dĂ©gagĂ©e s’élevait du second traĂźneau ; c’était l’un des deux yamchtchiks qui lui criait Ă  tue-tĂȘte — Écoute, Ignachka ! on a tournĂ© trop Ă  gauche, prends donc Ă  droite ! Ou bien — Qu’as-tu donc Ă  tourner sur place ? Cours sur la neige telle quelle, et tu arriveras pour sĂ»r. Ou encore — Va donc Ă  droite, Ă  droite, mon frĂšre ! Vois-tu lĂ -bas ce point noir ? c’est sans doute une borne. Ou — Peut-on s’égarer de la sorte ? Pourquoi t’égares-tu ? DĂ©tĂšle donc le pie et laisse-le aller en avant, il te ramĂšnera certainement sur la route, et cela vaudra beaucoup mieux. Quant Ă  dĂ©teler son propre cheval, quant Ă  chercher lui-mĂȘme la route par la neige, il s’en serait bien gardĂ© ; il ne mettait mĂȘme pas le nez hors de son caftan. Et lorsque, en rĂ©ponse Ă  un de ses conseils, Ignachka lui cria de passer devant, puisqu’il savait de quel cĂŽtĂ© se diriger, le conseiller riposta que, s’il avait eu avec lui des chevaux de coullier, il serait en effet allĂ© en avant et qu’il aurait certainement retrouvĂ© la route, tandis que mes chevaux, ajouta-t-il, ne marcheraient pas en tĂȘte pendant la tourmente ce ne sont point des chevaux Ă  cela ». — Alors ne m’ennuie pas davantage, rĂ©pondit Ignachka, en sifflant gaiement ses chevaux. Le second moujik, assis dans le traĂźneau avec le conseilleur, n’adressait pas une seule parole Ă  Ignachka et ne se mĂȘlait en rien de cette affaire, bien qu’il ne dormĂźt pas encore, Ă  en juger par sa pipe inextinguible et par la conversation cadencĂ©e et ininterrompue que j’entendais pendant les haltes. Il racontait un conte. Une fois seulement, comme Ignachka s’arrĂȘtait pour la sixiĂšme ou septiĂšme fois, il manifesta son dĂ©pit de voir interrompre le plaisir de la course. — Eh ! lui cria-t-il. Qu’as-tu Ă  t’arrĂȘter encore ? Crois-tu qu’il veut trouver le chemin ?
 Une tourmente, on te dit ! À cette heure, l’arpenteur lui-mĂȘme ne dĂ©couvrirait pas la route. Il vaudrait mieux aller tant que nos chevaux nous porteront. Faut espĂ©rer que nous ne gĂšlerons pas jusqu’à la mort. Va toujours. — C’est cela ! Et le postillon qui, l’an dernier, a gelĂ© jusqu’à la mort ? rĂ©pondit mon yamchtchik. Celui de la troisiĂšme troĂŻka dormait toujours. Une fois, pendant un arrĂȘt, le conseilleur le hĂ©la — Philippe ! Eh ! Philippe ! Et, ne recevant pas de rĂ©ponse, il remarqua — Ne se serait-il pas gelĂ© ? Ignachka, tu devrais aller voir. Ignachka, qui trouvait du temps pour tout, s’approcha du traĂźneau et secoua le dormeur. — VoilĂ  dans quel Ă©tat l’a mis une seule bouteille de vodka
 Si tu es gelĂ©, dis-le alors ? fit-il en le secouant de plus belle. Le dormeur poussa un grognement entrecoupĂ© d’injures. — Il vit, frĂšres, dit Ignachka, qui revint prendre sa place en avant et de nouveau fit trotter ses bĂȘtes, et mĂȘme si rapidement que le petit cheval de gauche de ma troĂŻka, sans cesse fouettĂ© sur la croupe, tressautait souvent d’un petit galop maladroit. V Il devait ĂȘtre Ă  peu prĂšs minuit, lorsque le petit vieux et Wassili revinrent avec les chevaux. Comment avaient-ils pu les rattraper, au milieu d’une steppe dĂ©nudĂ©e, par une tourmente aussi sombre ? C’est ce que je n’ai jamais pu comprendre. Le petit vieux, agitant ses coudes et ses jambes, trottait sur le korennaĂŻa. Il avait attachĂ© Ă  la bride les autres chevaux. Quand nous fĂ»mes de front, il recommença Ă  injurier mon yamchtchik. — Vois-tu ce diable louche ? Vrai ! — Eh ! oncle Mitritch ! cria le conteur du second traĂźneau. Es-tu vivant ? Viens prĂšs de nous. Mais le vieux Ă©tait trop occupĂ© Ă  dĂ©vider ses injures pour rĂ©pondre. Lorsqu’il lui sembla que le compte y Ă©tait, il s’approcha du second traĂźneau. — Tu les as donc rattrapĂ©s ? lui demanda-t-on ? — Et comment donc ? Certainement ! On le vit abaisser sa poitrine sur le dos du cheval, puis il sauta sur la neige, courut au traĂźneau sans s’arrĂȘter et s’y laissa tomber en enjambant le rebord. Le grand Wassili reprit, sans mot dire, sa place dans le traĂźneau de tĂȘte avec Ignachka et l’aida Ă  chercher la route. — Est-il mal embouchĂ© ! Dieu ! Petit pĂšre ! Longtemps, longtemps nous glissons sans nous arrĂȘter Ă  travers ces dĂ©serts blancs, dans la clartĂ© froide, transparente et vacillante de la tourmente. J’ouvre les yeux, toujours ce mĂȘme bonnet grossier et ce dos couverts de neige, et cette mĂȘme douga basse, sous laquelle, entre le cuir des brides, se balance, toujours Ă  la mĂȘme distance, la tĂȘte du korennaĂŻa, avec sa criniĂšre noire que le vent soulĂšve Ă  temps Ă©gaux d’un seul cĂŽtĂ©. Par-delĂ  le dos, Ă  droite, apparaĂźt toujours le mĂȘme pristiajnaĂŻa bai, Ă  la queue nouĂ©e court, et le palonnier qui frappe rĂ©guliĂšrement le traĂźneau. En bas, toujours la mĂȘme neige fine que les patins dĂ©chirent, et que le vent, qui la balaye obstinĂ©ment, emporte toujours de mon cĂŽtĂ©. En avant, courent toujours les mĂȘmes troĂŻkas. À droite et Ă  gauche, tout est blanc, tout file devant les yeux. C’est en vain que l’Ɠil cherche un objet nouveau pas une borne, pas une meule, rien, rien. Tout est blanc partout, blanc et immobile. TantĂŽt, l’horizon paraĂźt indĂ©finiment reculĂ©, tantĂŽt il se resserre Ă  deux pas. TantĂŽt un mur blanc et haut surgit subitement Ă  droite et court le long du traĂźneau, tantĂŽt il disparaĂźt pour reparaĂźtre Ă  l’avant ; il fuit, il fuit et de nouveau s’évanouit. Regardes-tu en l’air, il te semble voir clair au premier moment, et qu’à travers le brouillard les petites Ă©toiles scintillent. Mais les petites Ă©toiles s’enfuient plus haut, plus haut, loin de ton regard, et tu ne vois plus que la neige qui tombe sur ton visage et sur le col de ta chouba. Immobile et uni, le ciel est partout clair et blanc, sans couleur. On dirait que le vent change de direction. TantĂŽt soufflant de face, il remplit les yeux de neige ; tant soufflant de biais, il rabat rageusement sur la tĂȘte le col de la chouba, et, comme par moquerie, en soufflette le visage ; ou bien il chante par-derriĂšre dans quelque fissure. On entend les craquements lĂ©gers et continus des sabots et des patins, et le tintement mourant des clochettes, alors que nous glissons dans la neige profonde. Parfois, quand nous allons contre le vent, quand nos traĂźneaux courent sur la terre gelĂ©e et nue, nous distinguons nettement le sifflement aigu d’Ignat, et les trilles de la sonnerie qui s’allient Ă  la quinte tremblĂ©e ; cette musique Ă©gaie tout Ă  coup la morne solitude, puis, redevenant uniforme, accompagne, avec une justesse insupportable, un motif, toujours le mĂȘme, qui malgrĂ© moi chante dans ma tĂȘte. Un de mes pieds commençait Ă  se geler ; lorsque je me tournais pour me couvrir mieux, la neige, tombĂ©e sur mon col et sur mon bonnet, me coulait dans le dos et me faisait frissonner ; mais en somme, dans ma chouba attiĂ©die par ma propre chaleur, je ne souffrais point trop du froid, et je me laissais aller au sommeil. VI Images et souvenirs dĂ©filaient rapidement devant moi. Le conseiller, qui crie toujours du second traĂźneau, quel moujik doit-ce ĂȘtre ?
 Il doit ĂȘtre roux, fort, les jambes courtes, pensĂ©-je, et semblable Ă  FĂ©dor Philippitch, notre vieux sommelier
 » Et je revois aussitĂŽt l’escalier de notre grande maison, et cinq dvorovi qui, marchant pĂ©niblement, traĂźnent un piano avec des serviettes. Je revois FĂ©dor Philippitch qui, ayant retroussĂ© les manches de son veston en nankin, porte une pĂ©dale, court en avant, ouvre les portes, pousse, tire par la serviette, se faufile entre les jambes, gĂȘne tout le monde et, d’une voix affairĂ©e, ne cesse de crier — Tirez de votre cĂŽtĂ©, les premiers ! C’est bien cela, la queue en l’air
 en l’air ; passe-la donc dans la porte, c’est cela !

\n\n \n \n\n \n neige neige blanche tombe sur mes manches
Neigeblanche Neige, neige blanche Tombe sur mes manches Et sur mon tout petit nez Qui est tout gelØ Neige, neige blanche Tombe sur ma tƒte Et sur mes tout petits pieds Qui sont tout mouillØ. Le petit flocon de neige Je suis un petit flocon Tout menu, tout blanc, tout rond, Je voltige dans l’air lØger, Je me balance au bout des branches,
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 ExceptĂ© ces quinze jours. Les voilĂ  en vacances ! Il faut profiter !!!! Pourri par le travail et l’exigence de la survie, Karl ne baisse pas la garde et s’inquiĂšte pour tout. Anna, elle, aimerait jouir de tout et ne pas se laisser dĂ©ranger par rien ». Oublier, ne serait-ce que le temps de cette brĂšve parenthĂšse, la maison, les tracas et leurs soucis d’argent. Arriveront ils Ă  vivre, un peu ? Mise en scĂšne Christian JĂ©hanin Avec Morgane JĂ©hanin et Germain Nayl Technique MĂ©lodie Cosquer / GaĂ«l JĂ©hanin Spectacle Ă  jouer partout, en intĂ©rieur comme en extĂ©rieur. Tout public. DurĂ©e 55 minThéùtre Meilleurs souvenirs de Grado Spectacle, ThéùtreDinan 22100Le 24/09/2021 Souviens-toi de vivre »  Grado, 1972. Ce pourrait ĂȘtre aujourd’hui. Karl bosse Ă  l’usine, Anna s’occupe du gosse », toute l’annĂ©e
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 Au 3Ăšme jour, le dĂ©couragement le conduisit Ă  s’ennuyer ferme
 C’est alors que, sur les conseils du TRÈS HAUT », il concĂ©da une cĂŽte Ă  sa voisine. Au 4Ăšme jour, initiant sa complice au plaisir de la danse, ce qui n’est pas de la tarte ils dĂ©couvrirent le plaisir du langage du corps, par le jeu
 et Ă©prouvĂšrent de bien douces sensations. Au 5Ăšme jour, ils s’aperçurent qu’ils n’étaient pas seuls. EntravĂ©s par les barriĂšres de l’interdit, ils durent inventer la maniĂšre de les faire tomber
 Au 6Ăšme jour, l’espace libĂ©rĂ©, reste Ă  aller Ă  la rencontre d’autrui
 Au 7Ăšme jour, il fera jour
 De & Avec GaĂ«l & Morgane JĂ©hanin Regard complice Christian JĂ©hanin Musiques originales JoĂ«l Simon Technique MĂ©lodie Cosquer Petite forme de Danse/Théùtre. À jouer et danser partout, en intĂ©rieure comme en extĂ©rieur. Tout public. DurĂ©e 30 minThéùtre Il se fait tard Spectacle, Chorale - ChantSaint-CarnĂ© 22100Le 11/09/2021MĂ©lange de théùtre, de danse et de chant, ce spectacle propose de partir pour un voyage Ă  la fois poĂ©tique et burlesque Trois jeunes gens, trois riens, un peu perdus sur le quai d'une gare dĂ©saffectĂ©e, attendent un train qui ne passera plus... Pour se rĂ©conforter, ils dĂ©cident alors de s'inventer un avenir idĂ©al oĂč le partage, l'art, la connaissance et l'amour sont rois... Ce spectacle traite du temps suspendu et de la quĂȘte de sens et de dĂ©sir quand plus aucun train ne vient vous aider Ă  vivre
 Mis en scĂšne Christian JĂ©hanin Musique JoĂ«l Simon Avec MĂ©lodie Cosquer, GaĂ«l JĂ©hanin et Morgane JĂ©hanin Spectacle Ă  jouer partout, en intĂ©rieur comme en extĂ©rieur. A partir de 10 ans DurĂ©e 1h15Théùtre Meilleurs souvenirs de Grado Spectacle, ThéùtreLangrolay-sur-Rance 22490Le 17/09/2021 Souviens-toi de vivre »  Grado, 1972. Ce pourrait ĂȘtre aujourd’hui. Karl bosse Ă  l’usine, Anna s’occupe du gosse », toute l’annĂ©e
 ExceptĂ© ces quinze jours. Les voilĂ  en vacances ! Il faut profiter !!!! Pourri par le travail et l’exigence de la survie, Karl ne baisse pas la garde et s’inquiĂšte pour tout. Anna, elle, aimerait jouir de tout et ne pas se laisser dĂ©ranger par rien ». Oublier, ne serait-ce que le temps de cette brĂšve parenthĂšse, la maison, les tracas et leurs soucis d’argent. Arriveront ils Ă  vivre, un peu ? Mise en scĂšne Christian JĂ©hanin Avec Morgane JĂ©hanin et Germain Nayl Technique MĂ©lodie Cosquer / GaĂ«l JĂ©hanin Spectacle Ă  jouer partout, en intĂ©rieur comme en extĂ©rieur. Tout public. DurĂ©e 55 minThéùtre Demain il fera jour. Théùtre, Danse - Bal - CabaretLanvallay 22100Le 08/09/2021Au commencement, l’homme naquit et dĂ©couvrit son corps. Au 2Ăšme jour, il cĂ©lĂ©bra l’Eden, mais dĂ©couvrit les interdits
 Au 3Ăšme jour, le dĂ©couragement le conduisit Ă  s’ennuyer ferme
 C’est alors que, sur les conseils du TRÈS HAUT », il concĂ©da une cĂŽte Ă  sa voisine. Au 4Ăšme jour, initiant sa complice au plaisir de la danse, ce qui n’est pas de la tarte ils dĂ©couvrirent le plaisir du langage du corps, par le jeu
 et Ă©prouvĂšrent de bien douces sensations. Au 5Ăšme jour, ils s’aperçurent qu’ils n’étaient pas seuls. EntravĂ©s par les barriĂšres de l’interdit, ils durent inventer la maniĂšre de les faire tomber
 Au 6Ăšme jour, l’espace libĂ©rĂ©, reste Ă  aller Ă  la rencontre d’autrui
 Au 7Ăšme jour, il fera jour
 De & Avec GaĂ«l & Morgane JĂ©hanin Regard complice Christian JĂ©hanin Musiques originales JoĂ«l Simon Technique MĂ©lodie Cosquer Petite forme de Danse/Théùtre. À jouer et danser partout, en intĂ©rieure comme en extĂ©rieur. Tout public. DurĂ©e 30 minThéùtre Meilleurs souvenirs de Grado Spectacle, ThéùtreLanvallay 22100Le 12/09/2021 Souviens-toi de vivre »  Grado, 1972. Ce pourrait ĂȘtre aujourd’hui. Karl bosse Ă  l’usine, Anna s’occupe du gosse », toute l’annĂ©e
 ExceptĂ© ces quinze jours. Les voilĂ  en vacances ! Il faut profiter !!!! Pourri par le travail et l’exigence de la survie, Karl ne baisse pas la garde et s’inquiĂšte pour tout. Anna, elle, aimerait jouir de tout et ne pas se laisser dĂ©ranger par rien ». Oublier, ne serait-ce que le temps de cette brĂšve parenthĂšse, la maison, les tracas et leurs soucis d’argent. Arriveront ils Ă  vivre, un peu ? Mise en scĂšne Christian JĂ©hanin Avec Morgane JĂ©hanin et Germain Nayl Technique MĂ©lodie Cosquer / GaĂ«l JĂ©hanin Spectacle Ă  jouer partout, en intĂ©rieur comme en extĂ©rieur. Tout public. DurĂ©e 55 minThéùtre Il se fait tard Spectacle, Chorale - ChantQuĂ©vert 22100Le 17/07/2021MĂ©lange de théùtre, de danse et de chant, ce spectacle propose de partir pour un voyage Ă  la fois poĂ©tique et burlesque Trois jeunes gens, trois riens, un peu perdus sur le quai d'une gare dĂ©saffectĂ©e, attendent un train qui ne passera plus... Pour se rĂ©conforter, ils dĂ©cident alors de s'inventer un avenir idĂ©al oĂč le partage, l'art, la connaissance et l'amour sont rois... Ce spectacle traite du temps suspendu et de la quĂȘte de sens et de dĂ©sir quand plus aucun train ne vient vous aider Ă  vivre
 Mis en scĂšne Christian JĂ©hanin Musique JoĂ«l Simon Avec MĂ©lodie Cosquer, GaĂ«l JĂ©hanin et Morgane JĂ©hanin Spectacle Ă  jouer partout, en intĂ©rieur comme en extĂ©rieur. A partir de 10 ans DurĂ©e 1h15Théùtre Demain il fera jour. Théùtre, Danse - Bal - CabaretLangrolay-sur-Rance 22490Le 27/08/2021Au commencement, l’homme naquit et dĂ©couvrit son corps. Au 2Ăšme jour, il cĂ©lĂ©bra l’Eden, mais dĂ©couvrit les interdits
 Au 3Ăšme jour, le dĂ©couragement le conduisit Ă  s’ennuyer ferme
 C’est alors que, sur les conseils du TRÈS HAUT », il concĂ©da une cĂŽte Ă  sa voisine. Au 4Ăšme jour, initiant sa complice au plaisir de la danse, ce qui n’est pas de la tarte ils dĂ©couvrirent le plaisir du langage du corps, par le jeu
 et Ă©prouvĂšrent de bien douces sensations. Au 5Ăšme jour, ils s’aperçurent qu’ils n’étaient pas seuls. EntravĂ©s par les barriĂšres de l’interdit, ils durent inventer la maniĂšre de les faire tomber
 Au 6Ăšme jour, l’espace libĂ©rĂ©, reste Ă  aller Ă  la rencontre d’autrui
 Au 7Ăšme jour, il fera jour
 De & Avec GaĂ«l & Morgane JĂ©hanin Regard complice Christian JĂ©hanin Musiques originales JoĂ«l Simon Technique MĂ©lodie Cosquer Petite forme de Danse/Théùtre. À jouer et danser partout, en intĂ©rieure comme en extĂ©rieur. Tout public. DurĂ©e 30 minThéùtre Demain il fera jour. Théùtre, Danse - Bal - CabaretTrĂ©vron 22100Le 19/09/2021Au commencement, l’homme naquit et dĂ©couvrit son corps. Au 2Ăšme jour, il cĂ©lĂ©bra l’Eden, mais dĂ©couvrit les interdits
 Au 3Ăšme jour, le dĂ©couragement le conduisit Ă  s’ennuyer ferme
 C’est alors que, sur les conseils du TRÈS HAUT », il concĂ©da une cĂŽte Ă  sa voisine. Au 4Ăšme jour, initiant sa complice au plaisir de la danse, ce qui n’est pas de la tarte ils dĂ©couvrirent le plaisir du langage du corps, par le jeu
 et Ă©prouvĂšrent de bien douces sensations. Au 5Ăšme jour, ils s’aperçurent qu’ils n’étaient pas seuls. EntravĂ©s par les barriĂšres de l’interdit, ils durent inventer la maniĂšre de les faire tomber
 Au 6Ăšme jour, l’espace libĂ©rĂ©, reste Ă  aller Ă  la rencontre d’autrui
 Au 7Ăšme jour, il fera jour
 De & Avec GaĂ«l & Morgane JĂ©hanin Regard complice Christian JĂ©hanin Musiques originales JoĂ«l Simon Technique MĂ©lodie Cosquer Petite forme de Danse/Théùtre. À jouer et danser partout, en intĂ©rieure comme en extĂ©rieur. Tout public. DurĂ©e 30 minThéùtre Il se fait tard Spectacle, Chorale - ChantPleslin-Trigavou 22490Le 18/09/2021MĂ©lange de théùtre, de danse et de chant, ce spectacle propose de partir pour un voyage Ă  la fois poĂ©tique et burlesque Trois jeunes gens, trois riens, un peu perdus sur le quai d'une gare dĂ©saffectĂ©e, attendent un train qui ne passera plus... Pour se rĂ©conforter, ils dĂ©cident alors de s'inventer un avenir idĂ©al oĂč le partage, l'art, la connaissance et l'amour sont rois... Ce spectacle traite du temps suspendu et de la quĂȘte de sens et de dĂ©sir quand plus aucun train ne vient vous aider Ă  vivre
 Mis en scĂšne Christian JĂ©hanin Musique JoĂ«l Simon Avec MĂ©lodie Cosquer, GaĂ«l JĂ©hanin et Morgane JĂ©hanin Spectacle Ă  jouer partout, en intĂ©rieur comme en extĂ©rieur. A partir de 10 ans DurĂ©e 1h15Théùtre Il se fait tard Spectacle, Chorale - ChantSaint-Samson-sur-Rance 22100Le 10/09/2021MĂ©lange de théùtre, de danse et de chant, ce spectacle propose de partir pour un voyage Ă  la fois poĂ©tique et burlesque Trois jeunes gens, trois riens, un peu perdus sur le quai d'une gare dĂ©saffectĂ©e, attendent un train qui ne passera plus... Pour se rĂ©conforter, ils dĂ©cident alors de s'inventer un avenir idĂ©al oĂč le partage, l'art, la connaissance et l'amour sont rois... Ce spectacle traite du temps suspendu et de la quĂȘte de sens et de dĂ©sir quand plus aucun train ne vient vous aider Ă  vivre
 Mis en scĂšne Christian JĂ©hanin Musique JoĂ«l Simon Avec MĂ©lodie Cosquer, GaĂ«l JĂ©hanin et Morgane JĂ©hanin Spectacle Ă  jouer partout, en intĂ©rieur comme en extĂ©rieur. A partir de 10 ans DurĂ©e 1h15CinĂ©ma en plein air Pour enfants, CinĂ©ma, FĂȘteMonteils 12200Le 20/07/2021C'est le film "Petite maman" drame, 1h12 de CĂ©line Sciamma, avec JosĂ©phine Sanz, Gabrielle Sanz, Nina Meurisse, qui sera projetĂ© "Nelly a 8 ans et vient de perdre sa grand-mĂšre. Elle part avec ses parents vider la maison d'enfance de sa mĂšre, Marion. Nelly est heureuse d'explorer cette maison et les bois qui l'entourent oĂč sa mĂšre construisait une cabane. Un matin la tristesse pousse sa mĂšre Ă  partir. C'est lĂ  que Nelly rencontre une petite fille dans les bois. Elle construit une cabane, elle a son Ăąge et elle s'appelle Marion. C'est sa petite maman". Tarif 5€ En cas d'intempĂ©ries, repli dans la salle des fĂȘtes de – Flying Orkestar- Chez les Zythonautes Concert, MusiqueValence 26000Le 07/08/2021LibĂ©rĂ©s depuis la chute du mur, le gang du FLYING ORKESTAR, originaire de Boukravie, court toujours Ă  travers l'Occident, poursuivi sans cesse par le KGB pour entrave aux bonnes meurs et fautes de goĂ»t
 crimes qu'ils n'ont Ă©videmment jamais Horellou "IdentitĂ©" Project + Cor Caroli Jazz - Blues, Musique, ConcertLe Puy-en-Velay 43000Le 25/09/202110e Automne Jazz En Velay Gael Horellou IdentitĂ© vous invite Ă  dĂ©couvrir une ode au mĂ©tissage, entre langueurs blues et percussions festives, ce sera un concert aux saveurs Ă©picĂ©es ! Avec une premiĂšre partie assurĂ©e par le groupe Cor À TRAVERS CHANTS - CONCERT FUSION MOYEN ÂGE/JAZZ Musique, Chorale - Chant, Jazz - BluesSaissac 11310Le 06/08/2021Depuis plus de 20 ans, l’Association L’Eau Vive», inonde de culture la Montagne Noire. Le festival Guitares Ă  travers Chants» est durablement inscrit dans l’agenda culturel des spectateurs aux oreilles affĂ»tĂ©es, avides de retrouver de grands interprĂštes dans le cadre idyllique de nos villages. Ensemble Convivencia Tout public Raimon de Miraval, un troubadour en Jazz. C’est un concert fusion entre musique mĂ©diĂ©vale et jazz, deux Ă©coles partageant un systĂšme d’écriture similaire et accordant une place prĂ©pondĂ©rante Ă  l’improvisation. Les chansons de Raimon de Miraval, un des plus grands troubadours de son temps, y seront servies dans leur version originale par Convivencia et proposĂ©es Ă  l’inspiration de deux brillants jazzmen et improvisateurs, GaĂ«l Horellou, saxophone et Thierry Gomar, percussions digitales et vibraphone. Dans un rendu chaleureux tonique et parfois Ă©lectrique, ces chants de mĂ©ditation amoureuse nous apparaissent Ă©ternels, intemporels et surprennent le mĂ©lomane du XXIĂšme siĂšcle. Distribution Friederike Schulz soprano, viĂšle Ă  archet Irina Olshevskaya soprano Bernard Revel oud, guitare mĂ©diĂ©vale, guitare Ă©lectrique, chant GaĂ«l Horellou saxophone Olivier[...]Hiboux - Les 3 points de suspension Spectacle, MusiqueAix-en-Provence 13090Du 24/09/2021 au 26/09/2021Hiboux est aussi une histoire chorale qui vous raconte et vous invente. Autour d’une table ronde, trois musiciens/comĂ©diens et un conseiller funĂ©raire explorent les relations qui nous unissent aux disparus. Ils invitent le spectateur Ă  plonger dans un monde oĂč vivants et morts bricolent, Ă  partir de leurs hĂ©ritages, pour leur permettre de mieux vivre ensemble. On y parle avec tendresse et humour de la mort, de croyances, de rites et cĂ©rĂ©monies, de spiritisme, de passĂ© et de futur, d’immortalitĂ© et d’éternitĂ©. Hiboux sera l’occasion d’enterrer collectivement un spectateur, d’échanger avec Gilles Deleuze, Thomas Edison ou Victor Hugo et de rencontrer le fantĂŽme que nous allons devenir. Et l’avantage de faire un spectacle sur la mort, c’est que personne ne sait ce qu’il y a aprĂšs, alors on peut dire ce qu’on veut. ● Le 24 septembre au 3 bis f Ă  20h ● Le 26 au Pavillon de VendĂŽme Ă  15h. ➜ Mise en scĂšne Nicolas Chapoulier ➜ Ecriture Les 3 Points de suspension ➜ Jeu JĂ©rĂŽme Colloud, Renaud Vincent, CĂ©dric Cambon ➜ CrĂ©ation musicale et habillage sonore JĂ©rĂŽme Colloud, Renaud Vincent ➜ ScĂ©nographie et costumes CĂ©dric Cambon, Gael Richard, Sophie BIG TRIO – Blues Musique, ConcertLanton 33138Le 21/08/2021Les piliers de ce groupe ont partagĂ© la scĂšne avec de nombreux Bluesmen internationaux comme Jimmy Johnson, Neal Black, Nico Wayne Toussaint, Laura Cox, Samantha Fish, Fred Chapellier. Ils nous dĂ©livrent un Blues empli d’émotions instantanĂ©es. Humour et tendresse, Ă©nergie et partage, sont les maitres mots de leurs dĂ©sirs. Si on veut que le Blues ne meure jamais, gardons le vivant ! » Ce groupe rend hommage aux grands bluesmen comme Muddy Waters, BB King, Gary Moore, Stevie Ray Vaughan pour n'en citer que quelques uns. Des bluesmen plus rĂ©cents sont aussi Ă  l'honneur Warren Haynes, Keb’ Mo, Kenny Wayne Shepherd ou King King. Guital Guitare/Chant, Xabi Fischer Piano/Hammond, JĂ©rome Auricchio Basse, Alain Fischer de VendĂŽme Musique, Jazz - Blues, Patrimoine - Culture, Festival gĂ©nĂ©ralisteVendĂŽme 41100Le 21/08/2021Festival de VendĂŽme. Cet Ă©tĂ©, l’Association du ChĂąteau de VendĂŽme "Berceau des Bourbons" accueille dans son Ă©crin les musiciens du Festival de Guitare de VendĂŽme pour quatre concerts. En plein air et dans les jardins suspendus du chĂąteau... Quatre samedis, ça vous dit ? Au programme de ces 4 jours samedi 26 juin BAZAR ET BÉMOLS » chanson française et humour. Samedi 10 juillet LA ZONDA » chansons latines nuancĂ©es de swing. Samedi 7 aoĂ»t GaĂ«lle SOLAL, guitare classique, Samedi 21 aoĂ»t DR CHARLESTON » jazz de la Nouvelle OrlĂ©ans. Retenez vite vos places pour une ascension sur des rythmes et des sonoritĂ©s Guitares en Picardie - Coucy-le-ChĂąteau-Auffrique Musique, Musique classique, ConcertCoucy-le-ChĂąteau-Auffrique 02380Le 30/07/2021Le festival GUITARES en PICARDIE a Ă©tĂ© créé en 2007; il est le fruit de multiples partenariats avec diffĂ©rentes communes et villes de l'Aisne; pas moins de 160 concerts autour de la guitare ont jalonnĂ© ces 9 annĂ©es, avec de grands artistes, comme Roland DYENS, Roberto AUSSEL, ValĂ©rie DUCHÂTEAU, Arnaud DUMOND, GaĂ«lle SOLAL, GĂ©rard ABITON, Alexandre BERNOUD, Laurent BLANQUART, Erik FRANCERIES, Olivier PELMOINE, des ensembles comme le duo BERIMBA, le quatuor de VERSAILLES, le duo FRANCO-BRESILIEN, le trio ALTA.... La guitare est reprĂ©sentĂ©e dans tous les styles, de la musique classique, baroque en passant par la musique populaire, puis jazz-manouche, flamenco... Guitares en Picardie, est aussi un moment important pour les Ă©lĂšves du dĂ©partement de l'Aisne qui ont constituĂ© l'Ensemble DĂ©partemental de guitares et se produisent sur plusieurs concerts Ă  chaque Ă©dition aux cĂŽtĂ©s des Guitares en Picardie - CrĂ©cy-au-Mont Musique, Musique classique, ConcertCrĂ©cy-au-Mont 02380Le 31/07/2021Le festival GUITARES en PICARDIE a Ă©tĂ© créé en 2007; il est le fruit de multiples partenariats avec diffĂ©rentes communes et villes de l'Aisne; pas moins de 160 concerts autour de la guitare ont jalonnĂ© ces 9 annĂ©es, avec de grands artistes, comme Roland DYENS, Roberto AUSSEL, ValĂ©rie DUCHÂTEAU, Arnaud DUMOND, GaĂ«lle SOLAL, GĂ©rard ABITON, Alexandre BERNOUD, Laurent BLANQUART, Erik FRANCERIES, Olivier PELMOINE, des ensembles comme le duo BERIMBA, le quatuor de VERSAILLES, le duo FRANCO-BRESILIEN, le trio ALTA.... La guitare est reprĂ©sentĂ©e dans tous les styles, de la musique classique, baroque en passant par la musique populaire, puis jazz-manouche, flamenco... Guitares en Picardie, est aussi un moment important pour les Ă©lĂšves du dĂ©partement de l'Aisne qui ont constituĂ© l'Ensemble DĂ©partemental de guitares et se produisent sur plusieurs concerts Ă  chaque Ă©dition aux cĂŽtĂ©s des Guitares en Picardie - Landricourt Musique, Musique classique, ConcertLandricourt 02380Le 21/08/2021Le festival GUITARES en PICARDIE a Ă©tĂ© créé en 2007; il est le fruit de multiples partenariats avec diffĂ©rentes communes et villes de l'Aisne; pas moins de 160 concerts autour de la guitare ont jalonnĂ© ces 9 annĂ©es, avec de grands artistes, comme Roland DYENS, Roberto AUSSEL, ValĂ©rie DUCHÂTEAU, Arnaud DUMOND, GaĂ«lle SOLAL, GĂ©rard ABITON, Alexandre BERNOUD, Laurent BLANQUART, Erik FRANCERIES, Olivier PELMOINE, des ensembles comme le duo BERIMBA, le quatuor de VERSAILLES, le duo FRANCO-BRESILIEN, le trio ALTA.... La guitare est reprĂ©sentĂ©e dans tous les styles, de la musique classique, baroque en passant par la musique populaire, puis jazz-manouche, flamenco... Guitares en Picardie, est aussi un moment important pour les Ă©lĂšves du dĂ©partement de l'Aisne qui ont constituĂ© l'Ensemble DĂ©partemental de guitares et se produisent sur plusieurs concerts Ă  chaque Ă©dition aux cĂŽtĂ©s des Guitares en Picardie - Manicamp Musique, Musique classique, ConcertManicamp 02300Le 19/08/2021Le festival GUITARES en PICARDIE a Ă©tĂ© créé en 2007; il est le fruit de multiples partenariats avec diffĂ©rentes communes et villes de l'Aisne; pas moins de 160 concerts autour de la guitare ont jalonnĂ© ces 9 annĂ©es, avec de grands artistes, comme Roland DYENS, Roberto AUSSEL, ValĂ©rie DUCHÂTEAU, Arnaud DUMOND, GaĂ«lle SOLAL, GĂ©rard ABITON, Alexandre BERNOUD, Laurent BLANQUART, Erik FRANCERIES, Olivier PELMOINE, des ensembles comme le duo BERIMBA, le quatuor de VERSAILLES, le duo FRANCO-BRESILIEN, le trio ALTA.... La guitare est reprĂ©sentĂ©e dans tous les styles, de la musique classique, baroque en passant par la musique populaire, puis jazz-manouche, flamenco... Guitares en Picardie, est aussi un moment important pour les Ă©lĂšves du dĂ©partement de l'Aisne qui ont constituĂ© l'Ensemble DĂ©partemental de guitares et se produisent sur plusieurs concerts Ă  chaque Ă©dition aux cĂŽtĂ©s des Guitares en Picardie - Sinceny Musique, Musique classique, ConcertSinceny 02300Le 22/08/2021Le festival GUITARES en PICARDIE a Ă©tĂ© créé en 2007; il est le fruit de multiples partenariats avec diffĂ©rentes communes et villes de l'Aisne; pas moins de 160 concerts autour de la guitare ont jalonnĂ© ces 9 annĂ©es, avec de grands artistes, comme Roland DYENS, Roberto AUSSEL, ValĂ©rie DUCHÂTEAU, Arnaud DUMOND, GaĂ«lle SOLAL, GĂ©rard ABITON, Alexandre BERNOUD, Laurent BLANQUART, Erik FRANCERIES, Olivier PELMOINE, des ensembles comme le duo BERIMBA, le quatuor de VERSAILLES, le duo FRANCO-BRESILIEN, le trio ALTA.... La guitare est reprĂ©sentĂ©e dans tous les styles, de la musique classique, baroque en passant par la musique populaire, puis jazz-manouche, flamenco... Guitares en Picardie, est aussi un moment important pour les Ă©lĂšves du dĂ©partement de l'Aisne qui ont constituĂ© l'Ensemble DĂ©partemental de guitares et se produisent sur plusieurs concerts Ă  chaque Ă©dition aux cĂŽtĂ©s des Chansons reprisĂ©es-Compagnie Ipisiti Musique, Culte et religion, Concert, SpectaclePlourin-lĂšs-Morlaix 29600Le 30/07/2021lĂ©tĂ©sanimesurplourinlesmorlaix Les RDV de PhilomĂšne De 19h Ă  20h pour adultes et enfants dĂšs 10 accompagnĂ© de sa guitare, GaĂ«l AbalĂ©o puise dans un riche rĂ©pertoire de Brel Ă  Bashung en passant par Piaf, The beatles, Gainsbourg, Radiohead, TĂȘtes raides... Sur rĂ©servation. Spectacle au chapeau Ă  participation libre Ă  la Chapelle Sainte PhilomĂšne Pensez Ă  rĂ©server !Festival Jazz en Place Jazz - Blues, MusiquePleudihen-sur-Rance 22690Le 26/08/2021Jeudi 26 aoĂ»t Pleudihen Sur Rance place de la mairie » 18h30 Tempo Fugit trio A la maniĂšre du trio de Chet Baker des annĂ©es 80, Tempus Fugit revisite la tradition du jazz au travers des standards du Great american Songbook, mais aussi de compositions personnelles. Le trio joue ainsi la carte d’une formule “musique de chambre” permettant une grande libertĂ© dans l’interaction et l’interprĂ©tation. » Brian Ruellan trompette, François Collet guitare, GaĂ«l Ventroux contrebasse. 20h Mega faune quartet Quartet Ă©lectrique, iconoclaste et colorĂ©, MĂ©gaFaune offre un Jazz moderne et sans barriĂšres. Un rĂ©pertoire de compositions originales et de reprises singuliĂšres, entre grands espaces et blues mordant. » Erwann Boivent guitare, Edouard Leys piano, DĂ©dĂ© Pinel contrebasse, Stephane Stanger samedis du port - Jahiner - DiaminĂ© Musique, Jazz - BluesPlobannalec-Lesconil 29740Le 14/08/2021Jahiner L'Orchestre National de la PrincipautĂ© du Jahiner "le tourmenteur" en breton s'apprĂȘte Ă  accueillir en musique la PrĂ©sidente de la PrincipautĂ©, de passage Ă  Lesconil pour une visite officielle, mais tout ne va pas se passer comme prĂ©vu... Le quintet, qui se plaĂźt Ă  s'emparer des ondes du public et du lieu, vous propose pour l'occasion un rĂ©pertoire scĂ©nique et en dĂ©ambulation. Les personnages, les costumes, ainsi que la musique de JAHINER, reprĂ©sentent le formidable mĂ©tissage culturel que connaĂźt la PrincipautĂ© du Jahiner. Une identitĂ© sonore originale pour sortir des clichĂ©s qui pourraient apparaĂźtre avec un tel instrumentarium ! DiaminĂš DiaminĂš naĂźt en 2003 en Bretagne de la volontĂ© de GaĂ«l GUILLOT et Lucia FARELLA de faire revivre les musiques et traditions festives populaires. Issu des profondeurs du Grand Sud Italien, leur rĂ©pertoire se nourrit de rythmes enfflammĂ©s, aux harmonies sensuelles, riches de la diversitĂ© des Ă©changes et portĂ©es par le vent du voyage et des Ă©nergies nomades. Avec une musique ambrĂ©e et chaleureuse, DiaminĂš va de tarentelles en Pizziche, passant par le jazz manouche, le blues, le rock
Arcabas - Rencontre au soir de sa vie Vie associative, Neige - Glisse, CinĂ©maHuez 38750Le 13/08/2021Arcabas, rencontre au soir de sa vie Un film de GaĂ«lle May. En collaboration avec l'association Notre Dame des NeigesFestival Nuits de Champagne - GaĂ«l Faye ConcertTroyes 10000Le 28/10/2021A 20h30 GAËL FAYE Lundi MĂ©chant Dans le cadre de la 34Ăšme Ă©dition du festival des Nuits de Champagne du 24 au 30 octobre 2021 "VENT DE VOUS" De Gainsbourg Ă  Brest, des nuits qui chantent Serge Gainsbourg, Jane Birkin et Miossec, en compagnie d'Alex Beaupain, Élodie FrĂ©gĂ© et LEJ. AprĂšs nous avoir enchantĂ© avec ses deux EP Rythmes & Botanique et Des fleurs, GaĂ«l Faye revient avec un nouvel album. MĂȘlant sons acoustiques et digitaux, rap et chant, on y retrouve sa plume subtile et touchante, et des morceaux inĂ©dits prĂȘts Ă  nous faire chalouper durant les saisons Ă  venir. GaĂ«l Faye explique le concept du Lundi MĂ©chant s’inspirant de la vie nocturne de Bujumbura, au Burundi, oĂč il est nĂ©. "Les gens sortent en boîtes de nuit le lundi soir, presque comme un pied de nez, en décidant de ne pas attendre le week-end pour s’amuser. Par extension, c’est devenu un symbole de liberté, un refus du monde tel qu’il est régi. Le lundi, tout est encore possible, je peux même décider de ne pas aller au boulot... C’est d’ailleurs un lundi que j’ai démissionné, après deux ans, d’un job lucratif à la City de Londres pour me lancer dans la musique. C’était un vrai Lundi Méchant,[...]Le Port en fĂȘte Concert, Jazz - Blues, Feu d'artifice, MusiqueLĂ©zardrieux 22740Le 15/08/2021JournĂ©e organisĂ©e par l'association Trieux Tonic Blues. DĂšs 11 h 30, le trio celtique Youhadenn montera sur scĂšne, pour un apĂ©ro-concert. Restauration sur place assiette d’huĂźtre, coquilles Saint-Jacques-frites-glace ou saucisse-frites-glace. À 18 h, nouvel apĂ©ro-concert avec La bande Ă  un groupe de blues de jeunes, dont ce sera la premiĂšre scĂšne. MĂȘme possibilitĂ© de restauration, Ă  partir de 19 h. À 20 h 30, un concert du fameux TrĂ©gor Blues Band, pour attendre le feu d’artifice, tirĂ© par l’équipe des pompiers, Ă  22 h 30. Concerts et feu d’artifice seront - Art et HumanitĂ© Les Ăąmes populaires » Exposition, Photographie - VidĂ©oBeaussais-sur-mer 22650Du 05/08/2021 au 22/08/2021GaĂ«lles Gestin-LigonniĂšre et Jean-Michel Haslay, vidĂ©o Louise Desbrusses. Ouvert les mercredis et jeudis de 15h Ă  18h. Les vendredis et samedis de 15h Ă  19h Mardi et dimanche sur rendez-vous Du jeudi 5 au dimanche 22 aoĂ»t 2021- Aux horaires d’ouverture de la Villa BalissadesFestival Fisel MusiqueRostrenen 22110Le 28/08/2021Samedi 28 aoĂ»t 2021 Salle des fĂȘtes de Rostrenn, ouverture du site Ă  19h30. Ô baves magiques Installations-Entresorts, promenade contemplative visuel et sonore. Avec David Gervais et GrĂ©goire Chomel, de 17h00 Ă  20h00, 39 rue Olivier Perrin. Betran ObrĂ©e Unique artiste Ă  consacrer l’entiĂšretĂ© de sa crĂ©ation musicale Ă  la langue gallĂšse, BĂšrtran ÔbrĂ©e, fin poĂšte et chanteur vertigineux, aime tisser des liens entre sa tradition et celle hĂ©ritĂ©e d’autres civilisations. Dans l’émouvant Gherizon Papilhon, il rĂ©duit les distances apparentes qui sĂ©parent les traditions bretonnes, les rythmes et modes musicaux de la MĂ©diterranĂ©e et du monde arabe. BĂšrtran ÔbrĂ©e au chant, Fabien GillĂ© Ă  l'Oud & saz, Youenn Rohaut au violon, Julien StĂ©venin Ă  la Contrebasse, GaĂ«l Martineau aux percussions. Morice tad ha merc'h Dans la famille Morice, je voudrais le pĂšre et la fille. On cĂŽtoie de plus en plus de TrĂ©gorrois dans le pays Fisel et c’est pas forcĂ©ment pour nous dĂ©plaire, tant l’énergie de ce pays ressemble Ă  la notre ! Enora Morice Ă  la Cornemuse, Philippe Morice Ă  la Bombarde. Ndiaz Riches d’une solide expĂ©rience acquise dans les festoĂč-noz, les quatre complices affirment[...]YN & Lombre MusiqueCreil 60100Le 16/10/2021YN Le duo composĂ© du batteur et percussionniste Yann Forleo et du rappeur YN, vous l’avez ? est une alliance de forces puissantes et viscĂ©rales ou comment prendre l’expression Rhythm And Poetry » au pied de la lettre. Loin de la tendance actuelle cannibalisĂ©e par les rythmiques trap, YN produit un son tribal s’inspirant aussi bien des combos rap originels que des duos power rock. Une Ă©nergie folle au service d’une musique engagĂ©e, un souffle nouveau dans l’univers hip-hop actuel, une Ă©nergie qui devient une dĂ©flagration sur scĂšne. Lombre NĂ© comme lui Ă  Rodez, Lombre se rapproche de Pierre Soulages par son noir qui devient lumineux. La noirceur saisissante des textes de cet artiste aussi bien influencĂ© par Georgio que par GaĂ«l Faye, dĂ©bouche sur une lueur et une note positive. L’écriture de son parlĂ© chantĂ© tend de plus en plus vers la notion de beau. Il n’hĂ©site pas Ă  confronter son style empreint de fraĂźcheur Ă  des mĂ©lodies percutantes. Un authentique espoir du genre !DANUBIA - MIROIR DES EAUX Manifestation culturelleStrasbourg 67000Le 28/11/2021AprĂšs avoir construit de multiples cabanes et des chĂąteaux de cartons ces derniĂšres annĂ©es, la performeuse Ramona Poenaru et le comĂ©dien GaĂ«l Chaillat nous convient Ă  un voyage gĂ©o-poĂ©tique le long du Danube. 2 888 km depuis les hauts plateaux de la ForĂȘt Noire jusqu’à la Mer Noire dans une traversĂ©e de l’Europe, des ĂȘtres et des choses, du passage du temps comme du vivant. Ce lieu de rencontre, sauvage et mystĂ©rieux se dĂ©couvre les pieds dans l’eau, dans un dispositif immersif en miroir inversĂ©, nĂ© d’une rĂ©sidence flottante sur l’un des fleuves les plus longs du continent. L’écosystĂšme de Danubia rĂ©unit un acteur, un musicien et une vidĂ©aste crĂ©ant en direct jeux sonores et mapping vidĂ©o dirigĂ© vers le sol, visible lĂ  oĂč l’eau trouve son chemin. Le public est amenĂ© Ă  prendre part Ă  cette immersion dans les remous de notre histoire commune, Ă  se faire volute d’un pays imaginaire, le temps d’un instant suspendu. DĂšs 8 ans Plus d'infosDANUBIA - MIROIR DES EAUX Manifestation culturelleStrasbourg 67000Le 24/11/2021AprĂšs avoir construit de multiples cabanes et des chĂąteaux de cartons ces derniĂšres annĂ©es, la performeuse Ramona Poenaru et le comĂ©dien GaĂ«l Chaillat nous convient Ă  un voyage gĂ©o-poĂ©tique le long du Danube. 2 888 km depuis les hauts plateaux de la ForĂȘt Noire jusqu’à la Mer Noire dans une traversĂ©e de l’Europe, des ĂȘtres et des choses, du passage du temps comme du vivant. Ce lieu de rencontre, sauvage et mystĂ©rieux se dĂ©couvre les pieds dans l’eau, dans un dispositif immersif en miroir inversĂ©, nĂ© d’une rĂ©sidence flottante sur l’un des fleuves les plus longs du continent. L’écosystĂšme de Danubia rĂ©unit un acteur, un musicien et une vidĂ©aste crĂ©ant en direct jeux sonores et mapping vidĂ©o dirigĂ© vers le sol, visible lĂ  oĂč l’eau trouve son chemin. Le public est amenĂ© Ă  prendre part Ă  cette immersion dans les remous de notre histoire commune, Ă  se faire volute d’un pays imaginaire, le temps d’un instant suspendu. DĂšs 8 ans Plus d'infosSentier biodiversitĂ© Nature - Environnement, RandonnĂ©e et balade, Vin - Oenologie, Vin - Oenologie, Vin - Oenologie, Pour enfants, Visites et circuitsSaint-Michel-de-Montaigne 24230Le 18/08/2021AccompagnĂ© de GaĂ«lle la viticultrice, dĂ©couvrez la biodiversitĂ© sur un sentier de 1,5 km destinĂ© aux petits et aux grands. Munis d'une loupe et d'un kit de dĂ©couverte, vous pourrez observer la faune et la flore du d'Ă©criture de HaĂŻku et mini-concert Atelier, Concert, Musique, Lecture - Conte - PoĂ©sieRoyaucourt-et-Chailvet 02000Le 29/08/2021AprĂšs les concerts de juillet, "les Amis de l'Ă©glise St-Julien de Royaucourt" accueille les Ateliers Plumes qui vous invitent Ă  "jouer avec les mots, partager des Ă©critures, ouvrir une parenthĂšse pour Soi... dans un esprit ludique et bienveillant". Marjorie vous fera dĂ©couvrir le haĂŻku, la plus petite forme de poĂ©sie au monde, d’origine japonaise. Atelier ouvert Ă  tous, Ă  partir de 7 ans. Sur inscription. Et Ă  1600 mini-concert poĂ©tique Ă  l'issue de l’atelier se jouera un concert poĂ©tique ouvert Ă  tous il n'est pas nĂ©cessaire d'avoir participĂ© Ă  l'atelier pour prĂ©senter quelques unes des crĂ©ations Ă©crites mĂȘlĂ©es aux compositions Au calme des nuĂ©es» Concert de 16h00 Ă  16h30 environ, avec Barbara Meurant, Camille Geoffroy, Marjorie Femmes Ă  l'oeuvre Manifestation culturelle, Manifestation culturelle, ExpositionMourenx 64150Du 18/09/2021 au 06/11/2021Par le FRAC Nouvelle Aquitaine Cette exposition est l’occasion de prĂ©senter des oeuvres de femmes artistes et de s’attacher aux regards qu’elles portent sur notre sociĂ©tĂ©. Oeuvres de Bertille Bak, Pia Camil, GaĂ«lle Choisne, Larissa Fassler, Anne Garde, Suzanne Husky, Marine JuliĂ©, Karen Knorr, GĂ©raldine Kosiak, Jo contĂ© 'Blanche Neige rĂšgle ses contes' Spectacle, Repas - DĂ©gustationVAL D'ISSOIRE 87330Le 24/09/2021Dans le cadre du festival "Au bout du conte". Spectacle par Anne-GaĂ«lle Duvochel d Du haut de ses 191 cm Anne GaĂ«lle subvertit les histoires par ses calembours perfides. AprĂšs avoir mis en garde contre une pollution par les mots et recommandĂ© de se munir d'un plan B dans un style digne de Devos, elle s'attaque, en Blanche Neige personnifiĂ©e, au sexisme dans les contes de fĂ©es. Non sans avoir d'abord rĂ©clamĂ© d'ĂȘtre reconnue en tant que conteuse AOC» grĂące Ă  l'adoption de tous les tics et les trucs de la profession de conteuse. Du conte ? Du clown ? Du sketch ? Une performance, c'est sĂ»r ! A 18h30 Ă  la mĂ©diathĂšque Paule Lavergne. Public Ă  partir de 9 ans. Gratuit. Sur rĂ©servation. RĂ©seau de Lecture du Haut Limousin en Marche 05 55 60 69 33 / mediathautlimousin europĂ©ennes du patrimoine - Quatuor de violons par l'Orchestre RĂ©gional de Normandie Visites et circuitsMONDEVILLE 14120Le 19/09/2021Dans le cadre des JournĂ©es europĂ©ennes du patrimoine, l'Orchestre RĂ©gional de Normandie vous propose un concert gratuit Quatuor de violonsGeorg Philip TELEMANN 1681-1767 Concerto pour 4 violons extraitIgnaz LACHNER 1807-1895 Quatuor pour 4 violons op. 107Grazyna BACEWICZ 1909-1969 Quatuor pour 4 violonsCharles DANCLA 1817-1907 Variations sur un thĂšme de Mozart Ah ! vous dirais-je, maman » op. 161avec Anne FAUCHER, GaĂ«lle ISRAELIEVITCH, Karen LESCOP et Jean-Daniel RIST, violons de l’Orchestre RĂ©gional de NormandieInformations75 places maximum, dans la limite des places et atelier ludique Atelier, Manifestation culturelle, ConfĂ©rence - DĂ©bat, Nature - Environnement, Pour enfantsSAINT-VALERY-EN-CAUX 76460Le 23/09/2021ConfĂ©rence et atelier ludique "Comment la mĂ©tĂ©o influence-t-elle la qualitĂ© de l'air et les odeurs ?" AnimĂ© par SĂ©bastien Le Meur, d'ATMO Normandie. Suivie du verre de l'amitiĂ©. 18h30 Ă  la MĂ©diathĂšque Christiane Doutart. EntrĂ©e libreAu bout du conte Anne GaĂ«lle Duvochel Festival gĂ©nĂ©raliste, Lecture - Conte - PoĂ©siePANAZOL 87350Le 29/09/2021Anne- GaĂ«lle nous fait dĂ©couvrir des OCNI, Objets ContĂ©s Non IdentifiĂ©s. Du haut de ses 191cm elle subvertit les histoires par ses calembours perfides. AprĂšs avoir mis en garde contre une pollution par les mots et recommandĂ© de se munir d’un plan B dans un style digne de Devos, elle s’attaque, en Blanche Neige personnifiĂ©e, au sexisme dans les contes de fĂ©es. Non sans avoir d’abord rĂ©clamĂ© d’ĂȘtre reconnue en tant que conteuse AOCA » grĂące Ă  l’adoption de tous les tics et les trucs de la profession de conteuse. Du conte ? Du clown ? Du sketch ? Une performance, c’est sĂ»r ! A 19h. A la MĂ©diathĂšque. EntrĂ©e libreConcert de GaĂ«l Faye Concert, MusiqueCoutances 50200Le 06/11/2021Concert de GaĂ«l Jazz et Garonne 11 Manifestation culturelle, Musique, Jazz - Blues, Concert, Festival gĂ©nĂ©ralisteMarmande 47200Du 01/10/2021 au 10/10/2021Ce festival est devenu un rendez-vous majeur de notre territoire. Sa programmation accueille des crĂ©ations artistiques ouvertes sur le monde grĂące aux 221 artistes de 14 nationalitĂ©s diffĂ©rentes, applaudis par plus 5000 festivaliers. C’est ainsi que pour cette Ă©dition 2021, le festival retrouve une programmation toujours plus riche, avec 8 concerts, des spectacles pour sensibiliser le jeune public, ainsi que des Ă©vĂšnements culturels dans la ville de Marmande. Nous vous convions pour un voyage aux couleurs du jazz, du flamenco et des musiques du monde avec -GaĂ«l Horellou Septet le 1er octobre. -Daniel Zimmermann Quartet et Franck Tortiller le 8 octobre. -CĂ©lia Kameni, Alfio Origlio et Juan Carmona Quartet le 9 octobre. -Lionel Suarez et Airelle Besson le 10 octobre. Billetterie en ligne ou Ă  l'Office de Tourisme du Val de Garonne Ă  Marmande, 11 rue MarchĂ© de la crĂ©ation Autour du livre et du papier »Cuisery 71290Le 12/09/2021Artistes et artisans prĂ©sents - Virginie Symaniec, Le Ver Ă  Soie » Ă©ditrice ; poĂšmes Ă  planter - FrĂ©dĂ©ric et Laurence Bernardi calligraphie et enluminure ; dĂ©monstrations et ateliers Mon 1er livre » - Papy Art » sĂ©rigraphie ; dĂ©monstrations et ateliers - Agathe Robinson-Deroo Illustrations et cartes postales autour de la botanique et du voyage, vente de tirages signĂ©s, boĂźtes de cartes, etc - Lisa Mazoyer crĂ©ations Ă  partir de supports papiers ayant dĂ©jĂ  vĂ©cu - GaĂ«lle Trontin dessins - Laurence Malval dessins, collages - Janick Ferrari peinture - Vincent Cros bijoux et crĂ©ations artistiques - Alice Calm pour Les Accords du Lion d’Or » crĂ©ation de bouteilles Ă  messages ; prĂ©sentation de l’association et de ses Ă©vĂšnements autour de la correspondance - Sylvie et GĂŒnter HĂŒbner Un p’tit bout d’bonheur » utilisation de papier Ă  recycler pour crĂ©ation de bijoux - Mignonneries deux sƓurs » bijoux en papier et origami - Christophe Cassier livres sculptĂ©s et cartes pop-up - JĂ©rĂŽme Dupasquier Couleurs de Bresse » crayons de couleurs en osier ; dĂ©monstrations - Claude Fortier, Stylaubois » objets d’écriture en bois tournĂ© et galalithe[...]Concert SuavitĂ©s automnales » Musique, ConcertPont-Aven 29930Le 02/10/2021Formation Anne-GaĂ«lle Cuif – Soliste, harpes et voix PrĂ©sentation Au son des harpes anciennes et de sa voix, la soliste internationale Anne-GaĂ«lle Cuif nous accompagne dans une profonde contemplation Ă  travers le temps et l’espace, au cƓur de l’intime encore ineffable et de nos Ă©motions les plus secrĂštes. Le concert suavitĂ©s automnales » constitue une sĂ©lection spĂ©ciale des suaves voyages » initiĂ©s en l’annĂ©e 2020, au terme de sa thĂšse en littĂ©rature italienne mĂ©diĂ©vale, qui traite de la douceur dans l’Ɠuvre de Dante Alighieri. Ce moment de mĂ©ditation et de cheminement intĂ©rieur, suspendu sur notre corde sensible », nous emmĂšne Ă  la dĂ©couverte de diffĂ©rents rĂ©pertoires, depuis les laudes du XIIĂšme siĂšcle jusqu’aux compositions lyriques originales, en passant par la tradition celtique et le jazz, dans une vĂ©ritable fusion des mondes musicaux classiques et traditionnels. Au plaisir des mots, des sons et des mĂ©taphores infinies. Biographie Originaire de Reims, Anne-GaĂ«lle Cuif est compositrice, harpiste et vocaliste, docteure en Lettres et Histoire italiennes mĂ©diĂ©vales avec une thĂšse intitulĂ©e La suavitĂ© comme douceur et mĂ©decine de l’ñme dans l’Ɠuvre de Dante[...]JournĂ©es EuropĂ©ennes du Patrimoine - Visite libre et atelier "Apprendre Ă  dessiner sa ville" Ă  la mĂ©diathĂšque Emile Zola Visites et circuits, Patrimoine - CultureSEES 61500Le 18/09/2021En 2021, les JournĂ©es EuropĂ©ennes du Patrimoine cĂ©lĂšbrent le patrimoine inclusif et diversifiĂ©, Ă  travers le thĂšme commun du "Patrimoine pour tous". Atelier Apprendre Ă  dessiner sa ville » animĂ© par GaĂ«lle Calvet pour des adultes et des enfants Ă  partir de 13 ans. Au programme le matin - apprentissage des bases de la perspective afin d’apprendre Ă  dessiner l’architecture intĂ©rieure et extĂ©rieure d’une ville et de ses monuments. L’aprĂšs-midi – Mise en pratique, dessins et croquis en extĂ©rieur si le temps le Concert, MusiqueNilvange 57240Le 04/12/2021Afro, Folk, Groove / AprĂšs Earthquake, un premier album en duo, et une collaboration remarquĂ©e avec GaĂ«l Faye, Kolinga change de dimension et confirme son statut de rĂ©vĂ©lation trĂšs prometteuse de la scĂšne française mĂ©tissĂ©e. DĂ©laissant les loopers pour devenir sextet, le groupe offre un concert de sonoritĂ©s entre subtilitĂ© et profondeur sur lequel la chanteuse Rebecca M’Boungou, qui croise français, anglais et langue congolaise lingala pose son dernier single Mama, de façon intense et gĂ©nĂ©reuse. Puisant toujours dans les racines de la black music, Kolinga allie groove et transe ancestrale, toujours animĂ©s par leur envie de partage... tout ce qui donne envie de faire un bout de voyage avec eux. Si vous aimez Papa Wemba, Stevie WonderRessources supplĂ©mentairesAtelierChorale - ChantCinĂ©maConcertConfĂ©rence - DĂ©batCulte et religionDanse - Bal - CabaretExpositionFestival gĂ©nĂ©ralisteFeu d'artificeFĂȘteJazz - BluesLecture - Conte - PoĂ©sieManifestation culturelleMusiqueMusique classiqueNature - EnvironnementNeige - GlissePatrimoine - CulturePhotographie - VidĂ©oPour enfantsRandonnĂ©e et baladeRepas - DĂ©gustationSpectacleThéùtreVie associativeVin - OenologieVisites et circuitsAisneAubeAudeAveyronBas-RhinBouches-du-RhĂŽneCalvadosCĂŽtes dÂŽarmorDordogneDrĂŽmeFinistĂšreGirondeHaute-LoireHaute-VienneIsĂšreLoir-et-CherLot-et-GaronneMancheMoselleOiseOrnePyrĂ©nĂ©es-AtlantiquesSaĂŽne-et-LoireSeine-Maritime Neige neige blanche Tombe sur mes manches Et sur mon tout petit nez Qui est tout gelĂ©. Neige, neige blanche Tombe sur ma tĂȘte Et sur mes gros souliers Qui sont tout mouillĂ©s. Neige, neige blanche Viens que je te mange Pose-toi tout doucement Comme un p'tit fondant. (Tradition) Ecouter la mĂ©lodie : Un grand merci Ă  Jean-Baptiste pour la partition 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID F7n_Zz-tzOEro85g8cG-0lyOEiDFbFQXZRclrIOHvszLX4Kxk2RBw== chaussuresblanches sont, et maintenant le spectacle est le plus populaire, et mĂȘme la puissance de puissance Ă©galement l'usure chaussures blanches chaussures de course ont augmentĂ© Ă©lĂšve Ă  moins de 3 modĂšles d'explosion ligne fĂ©minine Sen dentelle Confortable Ă  pied marnage des enfants, pas Ă  la mode cher, agrĂ©able Ă  porter, antidĂ©rapante, lĂ©ger, le tourisme du shopping ne

-33% Le deal Ă  ne pas rater Jumbee Roundnet – Jeu de plein air Ă  29,99€ € € Voir le deal Freesby Archives du dormeur 2 participantsAuteurMessageL'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Mar 30 Juin - 233 [Suite de Si tout Ă©tait Ă  refaire... Le ferais-tu ?]La neige... Cette douce poudre blanche et froide qui tombait sur les Montagnes de l'EternitĂ©... Ces montagnes Ă©taient un lieu calme, agrĂ©able, propice pour une pĂ©riode de repos... Etait-ce pour ça que le mercenaire avait choisit de donner un rendez-vous ici ? Peut-ĂȘtre... Ou pas. Qui sait ? LĂ  oĂč il se trouvait ? Un petit chalet - abandonnĂ©, tranquille et calme du moins avant que les deux compagnons y arrivent - se trouvant juste au dessus d'un petit village isolĂ© dans les montages. D'extĂ©rieur trĂšs modeste, Ă  l'intĂ©rieur, il s'averait plutĂŽt confortable... Un homme d'une quarantaine d'annĂ©e se trouvait dans la piĂšce principale du chalet, la salle Ă  manger. LĂ , trĂŽnait une cheminĂ©e oĂč brĂ»lait un agrĂ©able feu qui rĂ©chauffait le corps engourdit de cet homme qui Ă©tait confortablement assis dans un fauteil. PiĂšce classique pourvue d'une lĂ©gĂšre couche de rouge qui donnait un aspect rĂ©chauffant en plus du feu, c'Ă©tait vraiment un endroit agrĂ©able... Le vrai problĂšme Ă©tait le manque de chambres, qui Ă©tait censĂ© poser un problĂšme... Oui, puisqu'il n'y avait que deux chambres. Enfin, je dis bien Ă©tait censĂ©... Le mercenaire revoyait encore sa discution avec la Neko, lorsqu'ils s'Ă©taient arrĂȘtĂ© non loin du chalet... Un sourire se dessina sur son visage alors qu'il repensait Ă  ses paroles, et Ă  la rĂ©action de la Neko."- Je connais bien un endroit sympa, mais y a que deux chambres... On va devoir chercher ailleurs. - Je dors avec lui normalement... Je pourrais pas continuer ?" Sur le coup, le mercenaire avait bel et bien Ă©tait surpris... Mais bon, qu'est ce qu'il y pouvait aprĂšs tout, hein ? Etirant ses jambes, il passa ses bras derriĂšre sa tĂȘte, fermant ses yeux. Trois jours... Ca ne faisait que trois jours qu'ils Ă©tait ici... Enfin, l'autre gamin pouvait encore arriver n'importe quand, et heureusement. Jouer la nounou... Pas son truc. Ressortant lentement de son fauteil, il finit par se retourner, et attrapa son arsenal en laissant le feu rĂ©chauffant crĂ©piter dans la cheminĂ©e. Partant en direction de la chambre de l'Ă©tage supĂ©rieur, il entrouvrit la porte, constatant avec plaisir que rien n'avait bougĂ©. Pas un chalet abandonnĂ© pour rien me direz vous... Il envoya donc ses armes valser sur le lit, ainsi que les quelques tenues qu'il avait en plus. Allant vers une armoire dĂ©jĂ  toute prĂȘte pour accueillir vĂȘtment et arme dans un double fond cachĂ©, le mercenaire prit son temps pour ranger le tout, en profitant pour ressortir un fusil Ă  lunette ancien derriĂšre une planche sur le cĂŽtĂ© de l'armoire. Se positionnant avec l'arme, il vĂ©rifia la nettement de la lunette et la prĂ©sence de munitions, avant de ranger le tout. Puis, attrapant des vĂȘtements, il se glissa dans la salle de bain se trouvant Ă  l'Ă©tage supĂ©rieur. Le chalet avait Ă©tait amĂ©nagĂ© comme si la partie supĂ©rieur et la infĂ©rieur n'Ă©taitent pas ensemble, permettant ainsi plus de libertĂ©. Se glissant dans un bain d'eau chaude, le mercenaire profitait de la chaleur de l'eau dans ces contrĂ©es froides. Plus qu'a attendre, ensuite il pourrait faire son boulot... Soupirant, il rejeta sa tĂȘte en arriĂšre, laissant l'eau couler dans son cou. Encore une semaine et demie, onzes jours... Rah... Il avait dĂ©jĂ  envi de foncer sous sa couette et de pioncer jusqu'Ă  ĂȘtre dĂ©barassĂ©... - Hmm... Comment il peut faire ses contrats avec cette gamine trop innocente sur le dos... Soupirant, il repensait au coup qu'elle lui avait fait pour avoir son manteau... Il avait refusĂ© de lui en acheter, prĂ©textant qu'elle devrait choisir ses vĂȘtements et que l'autre lui ramenerait des vĂȘtements... Cependant, elle n'Ă©tait pas stupide. Elle avait trouvĂ© le moyen de prendre la cape du mercenaire, refusant de lui la rendre, puis avait mĂȘme feind le sommeil jusqu'Ă  ce qu'Hisoka cĂšde dans un souprie exaspĂ©rĂ©... La vie avec elle allait pas ĂȘtre facile... Sortant de la salle de bain alors que la vapeur d'eau s'en Ă©chappait encore, il en avait profitĂ© pour boire un peu, et maintenant changĂ© dans des vĂȘtements plus... AdaptĂ©, a ce milieu, il se contenta de descendre Ă  l'Ă©tage d'en dessous, cherchant la Neko. - Alvinyyyy' ? Tu veux pas descendre au village, acheter de la nourriture, la gazette et des clopes pour moi s'te plait ? Tu serais un ange si tu faisais ça... Enfin, nan. Si tu faisais ça sans faire de connerie, sans faire peur a un marchand, sans acheter un autre manteau, sans te perdre, sans te faire enlever, sans revenir traumatiser ou autre... Tant que tu reviens juste avec ce que je t'ai demandĂ©, rapidement, et saine et sauve, sans avoir eu de problĂšme. Merci ~ Posant lentement son regard sur une fenĂȘtre, le mercenaire regarda longuement la neige tomber... Ces flocons blancs qui teintaient le sol de leur couleur pure... Soupirant, un lĂ©ger soupire s'Ă©chappa de ses lĂšvres, suivit d'un murmure inodible... - La neige... Si pure... Pourquoi le sang la tache-t-il si souvent ?,_________________✖My only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Mer 1 Juil - 1223 La neige, blanche, limpide... Pur. Alvinykiosa Ă©tait lĂ , le nez collĂ© contre une vitre, ses coudes posĂ© sur le rebord de la fenĂȘtre et dans ses mains, son visage. Elle regardait les flocons tombĂ©s doucement sur le sol dĂ©jĂ  recouvert d'une Ă©paisse couche de neige. La jeune NĂ©kos, pendant ses trois jours de vie avec le pote de son gardien, avait apprit Ă  la rapide Ă  cuisiner, mĂȘme si la plupart de ses plats finissaient cramĂ© - entiĂšrement ou non - ellle avait du aussi supportĂ© l'horrible odeur de tabac qu'Ă©manait les cigarettes de l'autre homme avec qui son gardien l'avait laissĂ©. Dans un lĂ©ger soupire, elle se redressa, sa queue faisant d'ample mouvement nerveux. Trois jours... Aucun signe de vie de son gardien. -Ani... Souffla-t-elle, regardant toujours l'Ă©paisse neige, puis les escaliers recouvert de neige et de glace qui menait Ă  un petit chemin passant par une forĂȘt pas bien Ă©paisse et dĂ©boulant sur un petit village de montagne. Le chalet Ă©tait agrĂ©able, confortable et une agrĂ©able odeur de feu de bois rĂ©gnait. La NĂ©kos laissa son regard tombĂ© sur la croix noir pendant Ă  son cou... Un soupire passa de nouveau ses lĂšvres tandis qu'elle fut prise d'un sursaut en entendant son fĂ©nĂ©ant collocataire lui demander, pour l'Ă©niĂšme fois d'aller au village faire les courses, prendre la gazette et des clopes. La jeune NĂ©kos en avait marre, rabbattant les oreilles de colĂšre avant de grogner quelques mots Ă  l'adresse de l' peut y aller pour une fois !! Je suis pas Ă  tes ordres et j'aime pas aller aux villages, les gens y sont bizarres avec leurs grandes ailes blanches et parfois noir ! Ils me regardent toujours bizarrements ! Alvinykiosa soupira un long moment avant de arrĂȘte de fumer ! J'aime pas l'odeur ! C'est mauvais pour toi et ça te fera Ă©conomiser de l'argent ! La nĂ©kos fixait son interlocuteur sur l'Ă©tage, avant de tourner le dos, grognant quelques mots entre ses dents. De toute maniĂšre, elle avait envie de sortir... Mais pour ses clopes, il pouvait rĂȘver, elle n'acheterait pas de tabac alors qu'il ne faisait aucun effort. Nombreuses fois oĂč il lui a soufflĂ© sa fumĂ©e au visage, fumĂ© Ă  l'intĂ©rieur. Nombreuses fois oĂč il se foutait de sa gueule Ă©perdumment et elle se souvient d'un Ă©pisode avec un marchand de couteau. Alvinykiosa, rejetant les souvenirs du voyages balança sa tĂȘte en arriĂšre avant de fixer mĂ©chamment son collocataire du T'auras pas de clopes je te prĂ©viens. Bref, tu l'as mis oĂč ton porte-monnaie ? S'avançant vers le porte-manteau Ă  l'entrĂ©e, elle enfila le sien. Rien que pour l'avoir elle avait du piquĂ© la cape de l'homme, s'enrouler dedans, se mettre dans un coin et mimer le sommeil pour qu'il daigne lui acheter un manteau chaud pour les montagnes. Si elle n'avait pas fait ça, elle Ă©tait sĂ»re que l'homme l'aurait laissĂ© greloter de froid voir mourir de froid. Enroulant aussi une Ă©charpe qu'elle avait trouvĂ© sur le lit de la chambre qu'elle occupait, la jeune NĂ©kos balaya le comptoire de la cuisine pour tomber sur le porte-monnaie de l'homme. L'attrapant rapidement et le fourrant dans une poche du manteau, elle ouvrit la porte, refermant un peu plus le col contre son vais. Finit-elle par dire avant de refmer la porte derriĂšre elle et de prendre le chemin du village. Pendant qu'elle marchait dans la neige craquant sous ses pieds, elle se souvenait quand les deux compaires s'Ă©taient arrĂȘtĂ© dans un village. La jeune femme avait littĂ©ralement flashĂ© sur un couteau de bouchĂ© dans une vitrine, l'homme cĂ©dant Ă  son 'caprice' voulant bien payĂ© le couteau. Alvinykiosa eut la malchance de cĂ©der Ă  sa part de sadisme en regardant le marchand d'une voie et d'un regard qui ne disait rien de bon et de dire "Je pourrais l'essayer ? *w*" le marchand ayant prit peur dans la demi-seconde qui suit, et, quelques part, c'Ă©tait normal. La jeune femme arriva au village, passant dans plusieurs magasins pour prendre de la viande Ă  griller, du poisson, des lĂ©gumes, du pains, de la charcuterie en tout genre. Elle finit dans une petite boutique de tabac pour prendre un paquet de cigarettes. Alvinykiosa Ă©tait trop gentille et ce fut dans un soupire qu'elle revient les bras chargĂ©s de sac comportant ses achats, dans la poche de son manteau le porte-monnaie ainsi que le paquet de clope que l'homme ne verrait suremet pas de si tĂŽt. Alvinykiosa poussa la porte, tapant ses chaussures, secouant la tĂȘte pour enlever la neige et les flocons avant d'enlever manteau et Ă©charpe ainsi que chaussure, dĂ©posant ses sacs sur le comptoire. -Je suis de retour ! Dit-elle, passant dans la cuisine pour ranger les provisions et la nourriture, elle mit de cĂŽtĂ© ce qu'elle allait cuisiner pour le dĂźner. Alvinykiosa restait pensive, jetant de temps Ă  autres quelques regards aux fenĂȘtres, espĂ©rant voir la forme de son gardien qui lui manquait atrocement en ce moment. Pourquoi ? Ca, elle ne le savait pas vraiment... Gardien ? Plus ? Statut indĂ©finis pour un Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Mer 1 Juil - 2146 - Ehh beh, t'es pas rapide...Toujours affalĂ© dans son fauteuil, Hisoka soupira avant de se lever pour aller rĂ©cupĂ©rer la gazette, puis retourna s'assoire prĂȘt de la cheminĂ©e... Le feu doux rĂ©chauffait les lieux, le tout dans une agrĂ©able fond d'odeur de bois brĂ»lĂ©, qui Ă©tait accompagnĂ©e de la douce odeur de la nourriture qui chauffe... Enfin, pour l'instant douce, car le mercenaire Ă©tait dĂ©jĂ  convaincu que le repas allait finir brĂ»lĂ©. La sensation de chaleur au travers de ces vĂȘtements... Le froid ne l'atteignait pas. Le contact du papier frais dans ses mains... Il frĂ©mit. Puis, lĂąchant un soupire, il regarda lentement Ă  l'extĂ©rieur... La neige tombait encore. Douce, lĂ©gĂšre, libre, froide... Flocons par flacon, c'est ainsi que cette Ă©tendue blanche perdurait. Refermant ses yeux un instant, il songea Ă  l'extĂ©rieur, au petit village... Il ne put rĂ©primer un sourire en s'imaginant la Neko grelottant, appeurĂ©e par les anges Ă  l'extĂ©rieur. Sadisme ? Un peu. Pas seulement. Pourquoi ne sortait-il pas acheter ses cigarettes ? Pourquoi n'allait-il pas se procurer des munitions, des armes, des contrats, des info ou autre ? La rĂ©ponse Ă©tait simple... Dans des petites contrĂ©es comme celle ci, un peu coupĂ©e du monde dans le froid de la montagne, sa tĂȘte Ă©tait encore connu... Il avait fait beaucoup de bruit ici, commettant crime comme contrat, meurtre comme massacre... Mais surtout, il avait Ă©tĂ© prit dans un grand combat oĂč il avait faillit perdre la vie, et qui avait parcourut toute la montagne en peu de temps... Ce faire attraper ? Reconnaitre ? Risquer les problĂšmes Ă  lui et la Neko, alors que c'Ă©tait sa seule garantie pour rĂ©cupĂ©rer son Ă©pĂ©e indĂšme ? Jamais de la vie. Bon, il devait bien avouer que sa lui Ă©vitait de se trainer dehors par ce froid, mais ! Il avait une excuse. Reprenant un sourire amusĂ© qui lui permit de dissimuler son air prĂ©occupĂ©, il se retourna vers la gazette, parcourant les titres d'article un Ă  un, du gros titre ou plus petit. Mais... Rien. Aucune nouvelle concernant un jeune homme masquĂ©, un assassin, ou un utilisateur d'ombre, encore moins d'un homme mystĂ©rieux portant une Ă©pĂ©e et utilisant deux flingues... Mit appart un avi de recherche provenant du pays des Neko. Si l'avi Ă©tait encore lĂ , il n'Ă©tait pas mort... Bonne nouvelle. Se tournant vers la cuisine, il rĂ©flĂ©chit un instant... Jusqu'Ă  ce qu'un grand sourire se peine sur son visage. Pourquoi la rassurer alors qu'elle trĂ©pignait d'impatience et tremblait d'effroie Ă  l'idĂ©e qu'il soit mort ? Non, il allait bien Ă©videment garder tout cela pour lui... Refermant la gazette avant de l'envoyer sur la table, le mercenaire se releva lentement, faisant craquer sa nuque briĂšvement. Puis, partant en direction de la cuisine, il observa un long moment les mouvements de la jeune femme, visant surtout Ă  la dĂ©concentrer et la mettre mal Ă  l'aise, pour se moquer encore une fois d'elle... Bon, ok, il pouvait rien manger aprĂšs, mais, c'Ă©tait marrant de lui faire remarquer sa cuisine dĂ©plorable... Puis, plus sĂ©rieusement - ou pas -, il s'avança vers elle, la regardant d'un doux regard innocent, en Ă©tant presque crĂ©dible dans son rĂŽle d'homme pur et saint, si on en oubliait ses maniĂšres et son caractĂšre... Ainsi que ses paroles. - Mes cloooopes... =3Et oui, les clopes avant tout... Reprenant sa position habituel, il regarda la Neko de haut, un sourire aux coins des lĂšvres. - Puisque j'aurais rien de mangeable se soir, j'voudrais au moins un truc agrĂ©able a consommer ~_________________✖My only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Mer 1 Juil - 2344 Rabbattant ses oreilles vers l'arriĂšre brutalement en entendant la remarque de l'homme quand elle venait de rentrer, Alvinykiosa grogna quelques mots entre ses crocs avant de s'inquiĂ©ter plutĂŽt de sa cuisine plutĂŽt que des remarques qu'on lui faisait. Elle sortit deux assiettes comme Ă  son habitude et mit la table pendant qu'elle laissait la poĂȘle pour cuire la viande chauffer avec une noisette de beurre. Elle finit de mettre la table et retourna dans sa cuisine quand son exĂ©crable collocataire arriva, la regardant faire toujours avec insistance ce qui avait le don de la mettre mal Ă  l'aise et de lui faire foirer sa cuisine. Alvinykiosa ferma quelques instants les yeux, essayant de ce concentrer pour ne pas penser Ă  cet homme qui s'avançant pour demander ses clopes, ses yeux se tournĂšrent vers l'homme avant de lui faire face, s'appuyant prĂ©s de la cuisiniĂšre et des plaques qui chauffaient doucement. -Je te l'ai dit non ? Je n'en n'ai pas achetĂ©. Elle mentait mal, fallait l'avouer, mais elle ne voulait pas qu'il fume Ă  l'intĂ©rieur et que l'odeur du tabac empeste tout le rez de chaussĂ©, jetant un oeil Ă  la viande et entendant la seconde remarque, elle Ă©teignit les plaques dans un soupire, sortit de la charcuterie, du pain et passa Ă  cĂŽtĂ© de l'homme, montant quelques marches de l'escalier grinçant menant Ă  l' t'es pas content... Bref, j'ai pas envie de manger, je suis fatiguĂ©e... Je vais me coucher. Montant les autres marches dans un lĂ©ger silence, Alvinykiosa soupira, ouvrit la porte de la chambre avant de laisser sa voie ferme rĂ©sonner. VĂ©xĂ©e ? Oui, un peu. Elle faisait des efforts pour essayer de s'amĂ©liorer et quoiqu'elle faisait, elle se prenait les mĂȘmes rĂ©flexions chaque fois qu'elle s'approchait de la cuisine. Elle en avait marre... Qu'il cuisine si il n'aimait pas ce qu'elle faisait ! Qu'il fasse pour qu'on rigole. -Bonne nuit. Finit-elle en fermant la porte, se laissant tomber sur le lit dans un soupire. Sur le dos, elle passa un bra ssous sa tĂȘte pour lui servir d'oreiller et de son autre main, elle prit doucement la croix noir Ă  son cou et la portĂ© Ă  ses yeux. Alvinykiosa la regarda tristement avant de murmurer le surnom qu'elle avait donnĂ© Ă  son gardien. AprĂšs quelques minutes, elle se mit sur le cĂŽtĂ©, regardant le rĂ©veil affichant l'heure et l'interrupteur. D'une main, elle Ă©teignir la lumiĂšre, de l'autre, elle enleva ses vĂȘtements et se glissa sous les draps. Ses yeux ouverts toute la nuit fixant le rĂ©veil, elle ne rĂ©ussit pas Ă  dormir de la nuit, comme les nuits prĂ©cĂ©dentes, regardant les heures dĂ©filĂ©es, Ă©coutant les bruits du chalets et espĂ©rant entendre la porte s'ouvrir signalant le retour de son gardien. MĂȘme en petite tenue, elle serait sortit en furie de la chambre, lui sautant au cou. Il lui manquait... Fallait l'avouer. Mais oĂč Ă©tait-il ? Avec qui ? Que faisait-il ? Quand allait-il rentrer ? L'avait-il oubliĂ© ? Ses trois questions torturaient son petit esprit toute la nuit, comme les prĂ©cĂ©dentes. Vers 6h du matin, elle rĂ©ussit Ă  s'endormir pour se rĂ©veiller Ă  7h ou 8h. Ses rĂȘves tourmenter par l'image de son gardien, ses paroles et des chimĂšres crĂ©er de toutes piĂšces. Des fantasmes si on peut dire ceci... Mais je ne rentrerais pas dans les dĂ©tails, laissant ce qui est Ă  Alvinykiosa Ă  Alvinykiosa. _________________ Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Jeu 2 Juil - 025 Bingo, en plein dans le mile... Attrapant ce que le Neko avait eu la 'bontĂ©' de lui laisser, il se servit charcuterie et pain, ce contentant de manger avec un sourire satisfait aux lĂšvres... La pauvre, s'il lui en fallait si peu... Attrapant un verre d'eau, il laissa le liquide gelĂ© couler dans sa gorge, lui remettant les idĂ©es en place. Attrapant un autre bout de pain, il se contenta de le grignotter en prenant son temps, profitant de ce repas seul, au calme... Terminant son bref repas, il rangea tout ce qu'il restait, avant de monter Ă  son tour les premiĂšres marches de l'escalier, laissant le feu brĂ»ler dans la cheminĂ©e. Cet endroit Ă©tait calme... C'Ă©tait agrĂ©able, revigorant pour la pauvre carcasse de ce mercenaire solitaire malmenĂ© par la vie. S'arrĂȘtant doucement, il fit demi-tour, retournant au rez de chaussĂ©. Un bref regard vers la porte. Un doux soupire. Il s'avança, dĂ©posa sa main sur la poignĂ©e... Sentant dĂ©jĂ  le froid l'envahir, il ne put que frissonner en sentant cette caresse glacĂ©e parcourire son Ă©chine, et ouvrit sans bruit la porte. Le froid. La solitude. Le noir. Les TĂ©nĂšbres. Le milieu de vie classique du mercenaire... Glissant sa main dans sa poche, il attrapa son bandeau qu'il avait retirĂ© aprĂšs son premier jour de voyage avec la Neko. Nouant le tissu noir autour de ses yeux rouges sang, il inspira longuement l'air froid de cette nuit gelĂ©e. Le fait d'avoir sĂ©journĂ© ici ne lui avait pas fait que des ennemis... Sans bruit, il laissa le froid le prendre au corps, son souffle devenant une buĂ©e glacĂ©e. Se dirigeant vers la ville, il emprunta un petit chemin passant non loin de celle ci, arrivant dans un grand bĂątiment perdu dans la montagne... Un sourire. Le lieu propice pour exercer sa seconde nature... Il rentra sans une seule hĂ©sitation, poussant les grandes portes, sentant la chaleur des lieux l'enivrer... Il sentait dĂ©jĂ  l'appelle de cette passion qu'il avait pour ça... Les parfums des femmes semblaient fade, leur rire Ă©tait dĂ©pourvu de toute mĂ©lodie... Une seule chose attirait vraiment le mercenaire ici. Le bruit des des dĂ©s, les voix qui fusent, les mises qui haussent... Le battement des cartes, les voix calmes et posĂ©es qui pariraient leur vie sur le poker. Le tintement des piĂšces perdues, de celle lancĂ©es dans un dernier espoir, un dernier pari... La douceur des jeux de hasard. Laissant Ă©chapper un rire mauvais caractĂ©ristique, le mercenaire fila s'assoire Ă  une table de poker, se retrouvant avec des vieilles connaissances... Tous des pourris. Un sourire sur son visage. Il attrapa ces cartes, sans pouvoir les voir... VoilĂ  ce qu'Ă©tait le hasard. Il avait un don pour ça... Une fois quelques parties jouĂ©es - la plupart gagnĂ©e - il s'avança vers les lancĂ©s de dĂ©s... Il y resta la plus grosse partie de la nuit. Puis, ressortant dans ce froid infernal, il retourna simplement vers le petit chalet, son porte-feuille plus remplit... Montant cette fois ci rĂ©ellement Ă  l'Ă©tage aprĂšs s'ĂȘtre dĂ©barassĂ© de la neige sur son corps, il se contenta d'aller nettoyer ses armes, changer les munitions, charger ses flingues, et tout le blabla habituel... Au final, il ne ferma pas l'oeil, comme il avait prit l'habitude de faire. Au petit matin, lorsque la Neko se leva, il Ă©tait en train de bailler bruyament au rez de chaussĂ©. Osant lui accorder un regard - il avait retirĂ© son bandeau - il ne put retenir un Ă©clat de rire, avant de lui faire glisser sur la table de quoi prendre son petit dĂ©jeunĂ©, puis sortir de la cusine, s'installant face Ă  elle Ă  table. - Eh bah, t'a l'air d'avoir bien dormie... T'es su-blime se matin. L'autre serait ravi de te voir dans cet Ă©tat tiens, il part quelques jours pour te sauver, il se retrouve avec un zombie pour l'accueillir... Charmant. Soupirant longuement, il lança un regard Ă  la Neko, avant de refermer ses yeux de sang. - Mange, t'en as besoin. Soit au moins en forme quand il only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Jeu 2 Juil - 050 Comme prĂ©vu, la nuit avait Ă©tĂ© longue et son heure de sommeil bien courte pour regĂ©nĂ©rer les batteries de la NĂ©kos. Sortant du lit tel un zombie, les yeux cernĂ©s, elle attrapa rapidement quelques fringues qui traĂźnaient, les mettant de maniĂšre nĂ©gligĂ©. AprĂšs un rapide passage dans la salle de bain, une bonne douche froide et un coiffage de cheveux rapidement. Alvinykiosa traĂźna des pieds dans les escaliers, baillant bruyamment et s'Ă©tirant dans un gĂ©missement de douleur et d'inconfort. La jeune NĂ©kos s'asseya brutalement sur une chaise, entendant d'une oreille une voie d'homme rire... Se moquant de son Ă©tat sans aucun doute. Alvinykiosa, pas d'humeur Ă  le supporter vu son Ă©tat, grinça des dents et rabbata ses oreilles sur son crĂąne immĂ©diatement, grognant lĂ©gĂšrement avant de fusiller de son regard de zombie l'homme qui s'en fichait royalement. A croire qu'il adorait l'emmerder... La jeune nĂ©kos posa son menton sur la table, laissant ses bras pendre pitoyablement en-dessous. La femme regarda son interlocuteur qui lui mit sous le nez de la nourriture, rien qu'a l'odeur, son estomac se tordit brutalemment et elle se redressa vivement, repoussant l' zombie, j'aimerais t'y voir toi... Je dors plus depuis trois jours... Le mal de crĂąne, une migraine indescriptible prit aussitĂŽt la tĂȘte d'Alvinykiosa qui se leva de table, allant s'affaler brutalement sur le canapĂ©, se tournant vers le dossier de celui-ci, sa queue bougeant nerveusement de colĂšre et d'attente ainsi d'inquiĂ©tude. Comment elle pouvait dormir de toute façon ? Elle savait mĂȘme pas si il Ă©tait encore en vie... La jeune femme grogna de nouveau, passant une main sur son front lĂ©gĂšrement fiĂšvreux... Dans un lĂ©ger soupire, elle se releva en grognant, allant chercher un verre de lait bien frais. Elle se traĂźna jusque dans la cuisine, d'un pas lent et las, elle tatonna pour trouver la poignet du frigo, l'ouvrit un peu difficilement, ses forces manquait faute de sommeil et de nourriture. Son ventre arriver tout de mĂȘme Ă  grogner malgrĂ© la force avec lequel il s'Ă©tait contractĂ© Ă  la moindre odeur de nourriture. Alvinykiosa chercha des yeux la bouteille de lait qu'elle avait achetĂ© hier, l'enlevant du frigo, elle l'ouvrit, dĂ©tacha la petite capsule emprisonnant ce dĂ©licieux breuvage laiteux pour boire la bouteille en une gorgĂ©e. Le chaton jeta la bouteille, ferma le frigo d'un lĂ©ger coup de talon et se traĂźnant jusqu'au canapĂ©, se laissa tomber dessus. Alvinykiosa Ă©mit un grognement, se tournant vers l'homme avant de soupirer. Elle ne voulait n'y entendre une rĂ©flexion sur son comportement, ni sur son physique, ni mĂȘme sur la couleur de ses pelotte de laine. Elle voulait juste essayer de se reposer, essayer d'ĂȘtre au calme et de ne plus entendre la moindre rĂ©flexion sortant de la bouche de cet a des clopes dans mon manteau, va fumer dehors et laisse-moi tranquille, ca me fera des vacances. Reposant sa tĂȘte contre le canapĂ©, elle se stoppa, se demandant, un peu en retard je vous l'accorde, comment s'appellait l'homme. Alvinykiosa releva de nouveau sa tĂȘte, cherchant de son regard fatiguĂ© son Tu t'appelles comment ? Nan pas que j'y tienne de l'importance Ă  savoir ton nom, d'ailleurs ça m'arrange, je prĂ©fĂšre te donner un autre comme GĂ©raldine ou Bernadette. Ouais c'est bien GĂ©raldine !... Mais... Tu connais mon prĂ©nom alors que je connais pas le tiens, c'est bizarre, rhaaa saletĂ© de mal de crĂąne ! Bref... Je dois te donner un surnom ou je vais savoir ton nom ? La jeune NĂ©kos avait remit sa tĂȘte sur le divan, ne cherchant mĂȘme plus Ă  voir le visage ou mĂȘme la forme de son interlocuteur, elle Ă©tait d'humeur massacrante et exĂ©crable. Son gardien ne revenait pas, elle avait pas dormit depuis son dĂ©part et elle avait un sombre crĂ©tin pour lui faire remarquer qu'elle ne savait pas cuisiner et qu'elle ne servait Ă  rien d'autres que coursiĂšre pour faire les courses et lui chercher ses clopes. Son mal de crĂąne l'a fit de nouveau grogner et grimacĂ©, et, espĂ©rant un peu de gentillesse, elle tourna la tĂȘte vers l' curiositĂ©, mĂȘme si je connais la rĂ©ponse, t'aurais rien contre le mal de crĂąne ou un somnifĂšre ? Autant croire aux miracles dans ce cas prĂ©sent... Alvinykiosa se promettait que si il lui donnait un mĂ©dicament quelconque qui pourrait lui servir dans son Ă©tat, elle essaye de faire un repas comestible et encaisse toutes ses rĂ©flexions pendant les deux jours Ă  venir sans broncher. Remettant sa tĂȘte contre le dossier du canapĂ© et fermant ses paupiĂšres pour tenter de s'endormir, peine perdu, sa migraine ne la quittait Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Jeu 2 Juil - 1411 Des pas dans la neige. Le bruissement de cette douce couche de flocon blanc qui craque Ă  chaque pas. Silhouette noire sur un fond blanc. Silencieuse. Pas un bruit. Juste le son des flocons qui tombe sur cette couche de neige, et les battements du coeur de cette personne... Une tenue noire, ressemblant Ă  une camisole recouverte de sangle attachĂ©e. Un visage fin, pĂąle, portant encore quelques lĂ©gĂšres traces de blessure, nottament une estafilade sur la joue droite. Regard sombre, cernĂ©, un oeil bleu pĂąle, l'autre masquĂ© par un cache oeil. Des cheveux noirs corbeau, courts, retombant sur le front de cet individu. Une Ă©pĂ©e dans le dos, large, effrayante. Un dĂ©tail qui rendait cette silhouette encore plus repoussante. Marchant entre les anges, cette personnes ne parlait pas, ne les regardaient mĂȘme pas, malgrĂ© quelque uns de ces ĂȘtres ailĂ©s qui le dĂ©visageait... ... Un soupire. Le mercenaire partit chercher une petite boite sur la table. Fouillant rapidement, il en sortir un simple cachet, et attrapa un verre d'eau. S'approchant de la jeune Neko avant de lui faire gober le tout sans lui demander son avi, il haussa les Ă©paules, et se dirigea vers le manteau de la jeune femme. Glissant sa main dans la poche du vĂȘtement, il attrapa le paquet de clope, et l'ouvrit lentement. Tirant deux cigarettes, il en glissa une entre ces lĂšvres, l'autre dans sa poche. - Un truc contre les maux de tĂȘte. Je prend pas de somnifĂšre, mais j'ai quelques trucs pour les douleurs, mal de crĂąne ou autre. S'avançant vers la porte, il dĂ©posa sa main sur la poignĂ©e, avant de briĂšvement se retourner vers la Neko. - Hisoka. Ouvrant la porte pour ensuite s'engouffrer dehors, il s'adossa aussitĂŽt Ă  un mur du petit chalet, tirant un briquet de sa poche. Allumant sa clope, il tirant une grande bouffĂ©e de cette fumĂ©e revigorante, laissant ce goĂ»t amer et ocre envahir sa bouche. Un soupire de soulagement s'Ă©chappa de ses lĂšvres. Immobile, silencieux, il laissa la fumĂ©e s'Ă©chapper de ces lĂšvres, montant lentement vers le ciel gris de cette journĂ©e froide, comme les autres. Les montagnes de l'Ă©ternitĂ©... Lieu de souvenir et de souffrance pour ce mercenaire ĂągĂ© et fatiguĂ© de la vie. Ecrasant le mĂ©got de sa cigarette qu'il avait grillĂ© en un temps record dans la neige, il se redressa ensuite, tirant la deuxiĂšme de sa poche, l'enchaĂźnant aussitĂŽt. Il pouvait tenir avec une part jour, mais Ă  cause de la Neko, il n'avait pas fumĂ© depuis un moment dĂ©jĂ ... Haussant les Ă©paules, il releva la tĂȘte vers le ciel, perdant son regard de sang dans les nuages gris. Une fois sa seconde clope grillĂ©e elle aussi, il retourna Ă  l'intĂ©rieur, allant jeter ces mĂ©gots dans la poubelle. Relevant le nez, il en profita pour attraper un morceau de pain qu'il mangea rapidement, avant d'aller s'enfoncer dans le fauteuil le plus proche, sa joue droite dans sa main, le regard perdu dans le vide. ...Il avait quittĂ© le petit village. Toujours aucun bruit, ce silence parfait. Des battements de coeur lent, interminable... Une solitude bien trop lourde pour ce jeune homme. S'arrĂȘtant pour s'assoire sur un petit rocher couvert de neige, il ne prettait mĂȘme plus attention au froid. Une main sur le visage, son regard triste perdu dans la neige blanche, trop pure pour lui. Il resta longuement ici, perdu face Ă  sa solitude glacĂ©e, bien plus que cette neige dans laquelle il errait sans fin. Puis, dans un effort, il finit par reprendre sa route... En appercevant un petit chalet, il fermant lentement son oeil, s'approchant de la porte. Un soupire. Devait-il vraiment rentrer ? Sa main se perdit sur la poignĂ©e froide... Il hĂ©sitait. Peut-ĂȘtre que oui, peut-ĂȘtre que non, qui sait... Lachant un soupire, sans rouvrire son oeil, il se contenta d'attendre sans bruit, d'ĂȘtre prĂȘt Ă  choisir. _________________✖My only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Ven 3 Juil - 1931 Alvinykiosa se recrovillait doucement, ayant avalĂ© le mĂ©dicament, dans un dernier ronronnement de soulagement, elle ferma ses paupiĂšres. S'apprĂȘtant Ă  dormir lorsqu'une Ă©trange impression traversa son esprit, rapidement, la jeune femme leva la tĂȘte, fronçant les sourcils. Une aura... Imperceptible, les oreilles de la Neko dresser vers la porte. Dans un mouvement, elle sauta sur ses pieds, courrant Ă  moitier vers la porte. La jeune neko soupira quelques instants, faisant signe Ă  l'autre de ne pas faire de bruit. Est-ce une impression ? Non... Les narines de la jeune femme humĂšrent l'air en silence, cet odeur, non, pas de doutes, c'est lui. Elle posa sa main sur la poignets, l'ouvrant brutalement, dans un Ă©norme sourire qui dĂ©forma son visage, la neko sauta sur l'homme, enserrant son cou dans ses bras, laissant la tĂȘte de l'homme se loger contre elle. Alvinykiosa laissa ses yeux se fermer, son corps se collant contre celui de son gardien enfin revenu. Son odeur, sa prĂ©sence... Un bruit sourd, et les deux personnes tombĂšrent dans la neige, Alvinykiosa se mettant Ă  ronronner bruyamment, laissant sa queue battre et fendre l'air de gaiĂ©tĂ©. Elle avait enfouis sa tĂȘte dans la nuque de l'homme, laissant sa respiration chaude et rĂ©guliĂšre se perdre contre cette peau, qu'elle avait, subitement, envie de mordre Ă  pleine dent. Ce qu'elle se retint de faire. Humant l'odeur suave de l'homme, ses ronrons semblant ĂȘtre une douce berceuse. Alvinykiosa sentit, dans ce paysage froid et blanc, un feu de bois devenu brasier, se rallumant au creux d'elle, une douce chaleur la prenant tandis qu'elle ressera ses bras contre le cou de l'homme, passant une main dans ses cheveux corbeau pour jouer avec quelques mĂšches. Laissant entrevoir quelques mots, entendre quelques syllabes et son souffle chaud lĂ©cher la peau tiĂšde de l' ~ La neige, le froid, mĂȘme dans ce moment tiĂšde d'un Ă©trange sentiment et chaud de retrouvaille, la jeune NĂ©kos frissonna brutalement. Ses ronrons cessant dans un miaulement de froid. Alvinykiosa se releva, restant Ă  quatre patte au-dessus de son gardien. Ses yeux de feux se perdant dans son oeil. La jeune femme avait montĂ© qu'il lui avait manquĂ©, Ă©normĂ©ment mĂȘme. Lentement, elle embrassa le front de son gardien, heureuse de le revoir en un morceau, mĂȘme si la neige froide avait fondu dans son dos et que l'eau glacĂ© coulait doucement le long de sa colonne vertĂ©brale, lui arrachant un frisson horriblement dĂ©sagrĂ©able qu'elle encaissa sans rien laisser paraĂźtre. La jeune femme Ă©tait heureuse de le revoir, restant ainsi un petit moment avant de se relever, glissant Ă  l'oreille, juste avant de se remettre sur pied, quelques mots qu'elle avaient hĂąte de lui dire. Depuis qu'Hisoka Ă©tait entrĂ© dans sa vie, elle voulait le hurler pour qu'il comprenne de ne plus jamais la laisser avec ce t'aime Ani ! Je t'aime...Le second avait Ă©tĂ© murmurer, pourquoi le rĂ©pĂ©ter ? C'Ă©tait un mystĂšre, mĂȘme pour elle. Lentement, la jeune femme quitta le corps de son gardien, se relevant, Ă©pousstant rapidement la neige de ses vĂȘtements. Puis le froid la prit au corps, brutalemment, ses pieds, dans la neige, lui rappella rapidement qu'elle dĂ©testait celle-ci. Alvinykiosa sauta sur un coin sans neige, sur le paillason du chalet, essuyant maladroitement ses pieds gĂȘler. La jeune neko tourna la tĂȘte vers l'intĂ©rieur du chalet, cherchant Hisoka des yeux pour lui annoncer la bonne Ă©tait vivant, il Ă©tait de retour. Il Ă©tait lĂ . Croisant les bras, Alvinykiosa avait envie de se coller contre son gardien et de plus le lĂącher. La jeune femme le regarda se relever, un sourire indĂ©lĂ©bile prĂ©sent sur ses lĂšvres. Elle ne pouvait pas l'enlever, mĂȘme avec tout ses efforts, elle Ă©tait heureuse de le revoir. L'invitant Ă  venir Ă  l'intĂ©rieur chauffer du chalet. Alvinykiosa attrapa un pull qui traĂźnait pour se rĂ©chauffer, filant dans la cuisine pour prĂ©parer quelques choses de chaud pour le petit groupe. Ensuite, elle sauterait de nouveau sur son gardien pour ne plus le lĂącher, non mais ! Il Ă©tait partit, il allait devoir supporter son cĂŽtĂ© chaton en manque de cĂąlin et tendresse pendant deux ou trois semaines. Les yeux de feux de la jeune femme regardait un placard, celle-ci en Ă©quilibre sur un tabouret bancal qu'elle avait rapidement trouvĂ©. Elle prit un sachet de cafĂ©, de thĂ© et Ă  cĂŽtĂ© des plaques chauffantes, il y avait dĂ©jĂ  la boĂźte de chocolat en poudre et le lait. FidĂšle Ă  elle mĂȘme, sa boisson chaude prĂ©fĂ©rer Ă©tait le chocolat chaud accompagnĂ©, gĂ©nĂ©ralement, de chantilly et de fruit frais qu'elle dĂ©vorait au coin du feu. Alvinykiosa fit chauffer de l'eau, prĂ©para une tasse de thĂ©, une autre de cafĂ© et sa tasse de chocolat Chaud avec, imprimer en couleur pĂ©tante, un chaton. La jeune femme prit le plateau avec elle, allant rejoindre son gardien et Hisoka dans le salon, posant ce qu'elle tenait dans les mains sur la petite tables avant de sauter sur son gardien. Se mettant sur ses genoux, face Ă  lui. Ses genoux encadrant les jambes de l'homme, elle le regarda avant de lui sourire. Allant lover sa tĂȘte contre l'Ă©paule de l'homme, ronronnant, laissant sa queue de chat faire des mouvments ? CĂąlin powa ! Et il n'aurait pas d'autres choix de toute la tĂȘte, faisant face Ă  son gardien, elle prit une mine boudeuse et sĂ©rieuse quelques secondes, aprĂšs avoir montrĂ© d'un coup de tĂȘte les diffĂ©rentes tasses posĂ© sur le plateau Ă  portĂ© de main. Reposant son regard de feu sur l'homme, elle soupira avant de dĂ©clarer d'une voie me laisse plus avec LUI ! Il a Ă©tĂ© mĂ©chant, horrible ! Il voulait me laisser mourir de froid dehors ! J'ai du lui attrapĂ© sa cape pour qu'il daigne m'acheter un manteau T___T Il pue la cigarette ! Il arrĂȘte pas de fumer ! Il est missant et critique toujours ma cuisine... MĂȘme si je fais tout cramer, c'est pas gentiiiiiiiiiiiiiil T___T Me laisse plus avec lui T_T_________________ Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Sam 4 Juil - 2024 Alors que la jeune fille Ă©tait encore dans la cuisine, les deux hommes en profitait pour parler, le jeune assassin prenant son temps pour retirer correctement de son dos l'Ă©pĂ©e de son compaire...- Tch, t'as Ă©tĂ© long. - Ah ? J'ai hĂ©sitĂ© Ă  te laisser jouer la nounou plus longtemps pourtant... - Tsss ! S'pĂšce d'enflure, t'aurais bien aimĂ© hein ! - Bingo, mais j'ai Ă©tĂ© obligĂ© de revenir plus tĂŽt que prĂ©vu. Ah, au faite, reprend ça. - Yeaaaah ! Mon Ă©pĂ©e d'amooooooooooooooour <3- ... - Tu m'as manquĂ© tu sais ? x3 - Hem... Si j'te dĂ©range hein... - Haha, dĂ©solĂ© ~ - Elle est efficace. J'aime bien son poids et sa forme. - Et encore, j'connais un coin pas loin oĂč on peut trouver encore mieux ! Faudra que j't'y emmĂšne, tu feras pas long feu sans armes de ciconstance tu sais. - Peut-ĂȘtre...Lentement, l'assassin ferma ses yeux, sa joue calĂ©e dans sa main, coude sur la table. Pensif, il repensait briĂšvement Ă  son combat qui suivit le dĂ©part de la Neko et du mercenaire. Un long soupire... La libertĂ©... Celle ci serait bien ephĂ©mĂšre. Soupirant longuement, il rĂ©flĂ©chissait Ă  tout cela... Ouvrant les yeux en sentant la Neko venir dĂ©poser les boissons sur la table, une lĂ©gĂšre surprise le saisit lorsqu'il la sentit ce placer sur ces genoux. Il avait oubliĂ© tout ça, en si peu de temps... Aurait-il rĂ©ellement dĂ»t revenir comme ça ? Sa vie Ă©tait incompatible avec cette Neko trop innocente et gentille... Soupirant doucement, il se contenta de passer ses bras autour de la taille de la jeune femme. La chaleur de son corps, sa tĂȘte dans le cou de l'assassin... Il referma lentement son oeil bleu pĂąle. Puis, la jeune femme se dĂ©colla, avant de commencer Ă  se plaindre du comportement d'Hisoka... Bizzarement, ça ne surpris pas le jeune homme, qui regarda briĂšvement le mercenaire. Ce dernier ce contenta de rouler des yeux avec un sourire amusĂ©, avant d'attraper la tasse de thĂ© pour boire tranquillement. Un lĂ©ger sourire se dessina sur les lĂšvres de l'assassin, qui soupira - amusĂ© - avant de passer sa main dans les cheveux de la Neko, lui caressant la tĂȘte comme Ă  son habitude. - Ma pauvre, t'a dut passer de sacrĂ©es journĂ©es... Je te laisserais plus seule... Lui souriant, il attrapa sa tasse de cafĂ©, et laissant l'amertume agrĂ©able de la boisson couler dans sa gorge. C'Ă©tait agrĂ©able d'ĂȘtre rĂ©chauffĂ© ainsi par ce doux mĂ©lange, le tout dans un chalet accueillant, oĂč il retrouvait en plus sa protĂ©gĂ©e... Alvinykiosa... Une personne dont il ne pouvait plus se passer, bien qu'il hĂ©site Ă  prĂ©sent Ă  l'impliquer plus dans sa vie bien trop sombre pour cette Neko souriante. - Haha, au moins le cafĂ© est commestible ~- HĂ©hĂ©hĂ©hĂ© ! Tu vois, on est deux ! - Je plaisante, j'attendrais tout Ă  l'heure pour donner mon avis sur la cuisine, tu le sais bien... Resserant sa prise autour de la taille de la Neko, le jeune homme laissa son regard contempler le visage de la Neko, un lĂ©ger sourire aux coins des lĂšvres. Puis, refermant son oeil en se rejetant au fond de la chaise, il soupira, passant une main dans les cheveux de la jeune femme. - Tu m'as manquĂ© tu sais... - ... Je sors, pas envi de tenir la chandelle pendant votre moment Ă©motion -,- - Va rĂ©pĂ©rer ton endroit oĂč je pourrais m'acheter des armes si t'a le temps, savoir s'ils ont des trucs intĂ©ressant. - Okay, mais dĂ©brouille toi pour que se soit finit quand je reviens. Soit vous arrĂȘtez, soit vous allez dans la chambre, mais je veux pas vous voir comme ça toute la journĂ©e moi ! - Mon pauvre, tu manques d'affection, c'est ça ? - La ferme - - ... Et voilĂ , dĂ©barassĂ© de lui ♫ Alors, tu te remets de ton petit sĂ©jour avec lui ? [Rep pourriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie ♫]_________________✖My only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Dim 5 Juil - 1551 Ses yeux regardĂšrent Hisoka partir, un lĂ©ger sourire triomphant sur les lĂšvres, la jeune femme se tourna vers son gardien, passant ses bras autour de sa nuque, approchant son visage du sien, son regard se durcit quelques instants, avant qu'elle se mette Ă  sourire tendrement. Plus jamais, elle ne voulait plus jamais ĂȘtre sĂ©parer de lui, que ce soit Hisoka qui s'occupe d'elle en l'harcelant ou un autre, non, elle ne voulait plus... Doucement, elle se releva, se retirant des genoux de son gardien, s'affalant sur un fauteuil en face, attrapant sa tasse de chocolat chaud pour commença Ă  la siroter, la douce odeur du chocolat l'enivrait et celle du lait la rendait folle... La jeune neko bu en silence, laissant le crĂ©pitement des flammes de la cheminĂ© le briser. Puis, Alvinykiosa leva les yeux vers l'homme, reposant sa tasse sur la table, inquiĂšte pour toi... J'avais aucun signe de vie... Et mĂȘme si Hisoka en avait, il m'en parlait pas. A croire que cela l'amusait de savoir des choses que je ne savais pas alors que je voulais les savoir au plus vite... La neko fixait le fond de sa tasse avant de se lever, souriant faiblement, elle attrapa le plateau et se dirigea vers la cuisine. Il falait qu'elle en parle. Posant le plateau avec sa tasse, Alvinykiosa posa une mains sur son crĂąne. Il fallait qu'elle en parle, de ce miroir, du corbac, de sa mort... De l'accident mĂȘme. Hisoka n'avait donnĂ© que de vagues dĂ©tails sur ce qui c'Ă©tait passĂ©, elle, elle n'avait pas dit, ni Ă  lui, ni Ă  quelqu'un d'autres ce qu'elle avait vĂ©cu. Doucement, elle ferma ses yeux, revoyant ce théùtre, mais l'ambiance mĂ©lancolique qui y rĂ©gnait avait disparut, tout Ă©tait noir, des lumiĂšres bleutĂ©s menant Ă  la scĂšne sombre oĂč seul le miroir brisĂ© en haut Ă  droite semblait briller. Encore lĂ ... Pourquoi ? Alvinykiosa revient vers le salon, regardant la cheminĂ© puis son gardien, dans un lĂ©ger soupire, elle s'appprocha, se mettant dans son dos, glissant ses bras autour du cou de son gardien. Glissant ses lĂšvres prĂ©s de l'oreille de l'homme, sans avoie une envie particuliĂšre de le titiller... Bien qu'il fallait l'avouer, ça l'a l'accident... Le corbac et moi on a eut une petite discussion. Elle m'a demandĂ© d'abrĂ©ger ce qui restait de sa vie... Je l'ai fait. Il suffisait de briser un miroir dans lequel on se reflĂ©tait. Alvinykiosa passa une main sur l'oeil qui pouvait voir de l'homme, fermant les siens en mĂȘme temps. Projetant dans son esprit cette vision de ce théùtre plonger dans les tĂ©nĂšbres, ces lumiĂšres bleutĂ©s et ce chemin vers cette scĂšne dĂ©pourvus de leurs marrionettes. Le miroir brisĂ©, oĂč plus rien ne se reflĂšte que le nĂ©ant. A cĂŽtĂ©, la porte des trois arcanes dans l'ombre, bien sceller. La jeune femme laissa le temps Ă  son gardien de voir toute la piĂšce avant d'enlever ses doigts lentement. La neko resserra son emprise, un frisson glaciale lui parcourant l'Ă©chine de maniĂšre dĂ©sagrĂ©able. Alvinykiosa enfouis son visage dans le cou de l'homme. Doucement, elle respirait son odeur, lentement, elle se souvenait des mots du corbac lui demandant d'abrĂ©ger ce qui restait de son existence, lui laissant son corps et ses pouvoirs. Elle aurait voulu lui demander beaucoup de chose, mais elle avait fait ce qu'elle lui avait demandĂ©. Maintenant, et Ă  jamais, le corbac et elle Ă©tait devenu deux personnes distincte. La neko se redressa, desserrant son emprise avant de sourire, reprenant un peu du poil de la bĂȘte. D'un rapide coup d'oeil, elle regarda l'horloge accrocher Ă  un mur, il faudrait peut-ĂȘtre prĂ©parer Ă  manger... HĂ© voilĂ , ils allaient pouvoir se moquer tout les deux de ses dons culinaires inexistant. Une de ses mais se perdit dans les cheveux corbeau de son gardien, s'abaissant de nouveau au niveau de sa joue pour lui laisser un petit baiser. Se dirigeant vers la cuisine, elle laissa sa voie s' vais essayer de faire quelques choses de comestible... Sinon il va encore se foutre de moi. C'Ă©tait un calvaire ses jours avec lui T__T L'est vraiment missant ! Il m'envoyait faire les courses tout le temps, les personnes ailĂ©s du village arrĂȘtait pas de me mal voir ! T___T J'avais l'impression qu'il voulait me mangeeeeeeeeer T____T Et lui, il s'en foutait royal ! Il me riait au nez en disant que j'Ă©tais aussi, probablement, le seul chaton de tout le village. Alvinykiosa chouinait Ă  moitiĂ© dans son coin, se souvenant de chaque moment passĂ© avec Hisoka. Du rĂ©veil sur la moto et du sursaut plus qu'Ă©norme qu'elle avait eut... Jusqu'au moment oĂč Ani venait de revenir. La jeune neko secoua la tĂȘte avant d'ouvrir le frigo que disposait la cuisine, sortant de la viande Ă  faire griller. Personellement, elle n'avait pas envie de manger de la viande et elle sortit des pattes Ă  faire cuir. PrĂ©parant la poĂȘle et l'eau pour faire cuire les pattes. Doucement, elle s'adossa contre un rebord de la cuisine, regardant les plaques chauffer doucement. Dans un lĂ©ger rire elle se remit Ă  s'adresser Ă  son est vraiment trop mĂ©chant ! Il a pas arrĂȘtĂ© de m'en faire baver ! T_T C'est la premiĂšre fois que je cuisine et il se plaignait juste de la qualitĂ© mĂ©diocre ou que je faisais tout brĂ»lĂ©. Il a jamais essayĂ© de prendre ma place... T_________T C'est pas ma faute si je n'ai jamais cuisinĂ© avant ! Mon crĂ©ateur m'a juste appris Ă  parler de toute maniĂšre... Elle Ă©touffa un miaulement de rĂ©signation... Alvinykiosa passa une main sur son visage, puis dans ses cheveux, tournant la tĂȘte pour regarder son gardien. Un sourire sur ses m'as manquĂ© toi !_________________ Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Mar 7 Juil - 1752 * Les ĂȘtes ne faisant que tuer comme nous finisse par mourrire d'une maniĂšre ou d'une autre... Le Corbac n'Ă©chappait pas Ă  la rĂ©gle... * Il regarda longuement la silhouette de la jeune femme dans la cuisine, alors qu'elle se plaignait encore d'Hisoka et du temps passĂ© avec lui... Si elle savait ce que c'Ă©tait de souffrire de la solitude, elle ne l'aurait surement pas prit aussi mal... Enfin, elle Ă©tait encore jeune et innocente aprĂšs tout... Quelque part, il l'enviait... Oui, malgrĂ© certain problĂšme, il l'enviait de pouvoir sourire et d'ĂȘtre capable d'executer ses dĂ©sirs sans hĂ©siter... * Un sacrifice... Finalement, elle a eu raison... ComdamnĂ© Ă  mourire, autant le faire en offrant ce qui nous reste de vie Ă  cette innocence enfantine... * Fermant les yeux pour rejeter sa tĂȘte en arriĂšre, il soupira longuement, visualisant de maniĂšre brĂšve ce fameux miroire, avant de regarder sa main, paume ouverte.. Fermant lentement son poing dans un soupire, il ouvrit lentement son oeil bleu pĂąle, le posant sur la S'il n'a pas essayĂ©, c'est juste car il ne sait pas cuisiner. Lui comme moi, on a Ă©tĂ© formĂ© pour tuer depuis qu'on est gamin, alors la cuisine... Mit appart mettre le feu au chalet, on ira pas loin tu sais. Plaçant sa main devant ces lĂšvres pour Ă©touffer un baillement, il s'enfonça un moment dans le fauteuil oĂč il se trouvait, profitant d'un peu de confort pour son corps brisĂ© aprĂšs son voyage. Un peu de repos ici... Ca ne lui ferait pas de mal. Enfin, seulement accompagnĂ© d'entraĂźnements, comme il l'avait prĂ©vu. RĂ©cupĂ©rer un arsenal, s'entraĂźner avec Hisoka, laisser le temps Ă  la Neko de s'habituer Ă  la vie... Puis il verrait en fonction des mouvements des Datenshi. En gros, c'Ă©tait son plan pour leur sĂ©jour ici. - Toi aussi tu m'as manquĂ©... J'arrivais plus Ă  dormir sans mon p'tit chaton blottit contre moi tu sais ?Ironie ? Ou pas, qui sait ? Toujours est-il qu'un sourire amusĂ© se dessina aux coins des lĂšvres du jeune homme, qui se releva en s'Ă©tirant. Il Ă©tait dĂ©jĂ  un peu plus Ă  l'aise ici... Et le faite qu'il ne se balade plus avec un masque bizzare le soulageait un peu. MĂȘme s'il devrait le remettre plus ou moins souvent. Passant une main dans ces cheveux, il descendit celle ci jusqu'Ă  sa nuque, la massant doucement... Puis, doucement, il s'avança vers la cuisine, se glissant sans bruit derriĂšre la jeune femme. Elan d'affection... Il enlaça ces Ă©paules douces de ses bras, tirant la Neko contre lui, laissant sa tĂȘte venir contre celle pouvue d'oreilles de chat de la jeune fille. - Ca va brĂ»ler... DĂ©posant une petite pichnette sur le front de la Neko dĂšs qu'elle tourna la tĂȘte vers les plaques, il lui tira la langue. Moquerie, puisqu'elle venait Ă  peine de commencer Ă  lancer ses plats, mais il se doutait qu'elle stressait assez pour se laisser avoir. Soupirant doucement, il laissa ses bras relacher ce doux corps qu'il aurait aimĂ© avoir contre lui indĂ©finiment. S'adossant Ă  un rebord tournĂ© en direction des plaques, il ferma doucement son oeil, lĂąchant un nouveau mais bref soupire. Puis, rouvrant son oeil, il passa sa main dans les cheveux de la jeune Neko, puis sur sa joue, de maniĂšre brĂšve, avant de lui accorder un lĂ©ger sourire. Passer un peu de temps avec elle... Ca lui avait manquĂ©, quoiqu'il dise. - Au moins, le temps est passĂ© plus vite que si tu t'Ă©tais ennuyĂ©e non ? Et puis, c'Ă©tait pas si long, je me suis dĂ©pĂȘchĂ©...Se dĂ©collant doucement du rebord, il dĂ©posa doucement sa main sur l'Ă©paule de la Neko, puis la remonta jusqu'au cheveux de la demoiselle, caressant sa tĂȘte comme il avait l'habitude de le faire. Souriant lĂ©gĂšrement, il s'Ă©loigna, se tournant vers elle le temps de lui adresser quelques mots. - Je vais me laver, j'en ai pas pour longtemps... Tes affaires que t'avais laissĂ© son dans mon sac. Si t'es d'accord, on pourrait marcher un peu aprĂšs, non ? Je viens de revenir, j'ai pas envi de me lancer dans des entraĂźnements infernaux avec Hisoka ou d'aller acheter des armes, ça attendra demain. Sans attendre de rĂ©ponse, la silhouette sombre du jeune homme se glissa dans la salle de bain. Il soupira pour la Ă©niĂšme fois, pouvant enfin se laisser aller Ă  la fatigue du voyage... A peine sortit de son combat qu'il avait enfourchĂ© sa moto, honnĂȘtement, c'Ă©tait pas dans le genre reposant... Laissant son dos tomber contre la porte, il dĂ©posa les vĂȘtements qu'il avait prit pour la suite dans un coin, avant de commencer Ă  retirer ce qu'il portait. DĂ©faisant sangle par sangle cette espĂšce de camisole renforcĂ©e qu'il portait et qui lui donnait un parfait air de malade mental tout droit sortit de l'asile, il laissa enfin la tenue tomber sur le sol, puis la dĂ©posa dans un coin, et partit faire couler l'eau de son bain - non pas douche Ă  cause d'une envie de se dĂ©tendre un peu - et entreprit de terminer d'enlever ses vĂȘtements pour ce glisser dans l'eau chaude, qui pourrait avec un peu de chance le soulager de la fatigue et de la douleur de son corps jusqu'Ă  ce soir. _________________✖My only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Jeu 9 Juil - 145 L'eau chaude avait crĂ©er une lĂ©gĂšre brume qui s'Ă©tait dĂ©versĂ© dans toute la piĂšce crĂ©ant un Ă©cran opaque de brume d'eau. La porte de la salle de bain s'ouvrit lentement, sans bruit, tandis qu'Alvinykiosa s'y glissait sans bruit, laissant ses yeux experts et son ouĂŻe fine entendre le corps de son gardien entrer dans l'eau. ImmĂ©diatement ensuite, elle enleva ses propres vĂȘtements avec prĂ©cautions, les laissant en tas avec ceux de celui qu'elle appellait, ou plutĂŽt, surnommait Ani. La jeune Neko sentit un frisson froid et dĂ©sagrĂ©able la traverser, la chaleur de la salle de bain faisant chauffer un peu ses joues leurs donnant une jolie couleur rouge pĂąle. Ce fut Ă  pas de velour, qu'elle s'approcha de la baignoire, jetant un oeil sur l'homme, ce fut quand il ferma ses yeux quelques instants pour soupirer qu'elle se glissa dans l'eau brĂ»lante, soupirant de plaisir et se recrovillant en face d'Ani, se plaçant entre les jambes allongĂ©s de celui-ci, laissant sa queue s'enrouler autour de ses genoux. L'eau chaude contre sa peau tiĂšde lui fit un bien fou, ses muscles se dĂ©tendant un Ă  un. Dans un mouvement de rotation, elle fit craquer sa nuque involontairement, soupirant avant de regarder son reflet dans l'eau, as eut une super idĂ©e pour le bain... Ca fait un bien fou ! Alvinykiosa soupira, remontant son regards vers l'homme qui avait virĂ© de sa couleur pĂąle de peau lĂ©gĂšrement rĂ©chauffer par la chaleur pour un pivoine bien prononcer. BĂ©gĂ©yant quelques mots et ne pouvant pas parler sous le choc d'avoir la jeune femme dans son bain sans aucune gĂȘne. Non, elle ne savait pas ce que cela signifiait, elle Ă©tait simplement dans le bain avec une personne qu'elle aimait, pour elle, c'Ă©tait normal. Arquant un sourcil, Alvinykiosa plissa des yeux pour regarder son gardien qui semblait Ă©touffer de chaleur ou alors pas en forme. Doucement, elle se leva, se penchant sur un cĂŽtĂ© de la baignoire pour attraper un petit canard jaune fluo avec le bec orange. Elle le mit Ă  l'eau, le laissant flotter sur l'eau chaude gaiement, balançant et tanguant au grĂ©s du faible courant de l'eau dans lequel baignait Alvinykiosa regardant, d'un air joueur son petit canard toute contente et toute fiĂšre de l'avoir acheter. Remontant ses yeux vers l'homme, elle dĂ©signa le petit canard d'un te prĂ©sente coin-coin ! Je l'ai achetĂ© dans un petit magasin... Il y avait aussi des tortues roses et bleu et des grand lĂ©zards orange. La jeune femme regarda en plissant ses yeux son gardien avant de soupirer, se dĂ©tendant un peu plus dans l'eau. Quelques questions Ă©mergĂšrent dans son esprit, mais elle n'osa pas les poser, se demandant si ce n'Ă©tait pas indiscret... Pourquoi Ă©tait-il rouge ? Elle ne faisait que prendre un bain avec lui... Rien de mal... Etait-il malade ? Pas bien ? Avait-il trop chaud ? C'Ă©tait vrai que l'eau Ă©tait bouillante, mais il avait les robinets juste Ă  cĂŽtĂ©, il aurait bien pu rajoutĂ© de l'eau froide dans ce cas-lĂ . Alvinykiosa lĂącha un lĂ©ger soupire, laissant sa queue sortir de l'eau doucement, faisant mine d'ĂȘtre la tĂȘte d'un animal allant retrouver coin-coin qui voguait sur l' es tout rouge Ani... Tu as mal quelques parts ? Trop chaud peut-ĂȘtre ? Elle baissa lĂ©gĂšrement les oreilles, espĂ©rant qu'il allait bien. Jamais, l'idĂ©e que prendre un bain avec un homme quand on est une femme est malsain ne lui traversa l'esprit. AprĂšs tout, elle n'en savait rien de tout ça ! Rien du sexe ou autre pratique douteuse, elle n'Ă©tait que puretĂ©... Pour l'instant, je Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Sam 11 Juil - 1719 - T... Tu... Qu... Rouge, complĂštement rouge. Sans aucune gĂȘne, elle Ă©tait venu dans l'eau avec lui, dans son innocence bien trop grande. Incapable de bouger, incapable de dire quoique se soit, il osa Ă  peine accorder un regard au visage de la Neko, et dĂ©tourna attivement le regard, encore et toujours pivoine... Lui dont les contacts actuel c'Ă©tait limitĂ© Ă  des calins et quelques bisoux Ă©changĂ©s avec la Neko, se retrouver avec elle, nue Ă  nue dans une baignoire Ă©troite... N'Ă©tait pas quelque chose qui l'enchantait Ă  vrai dire. Il Ă©tait plus que mal Ă  l'aise, mais n'osait mĂȘme pas bouger, de peur d'agraver sa situation ou autre. Il ne dit rien, il ne laissa rien ressentir, il garda juste son regard fuyant tourner sur le cĂŽtĂ©. DĂ©posant ses bras sur le rebord de la baignoire, il les croisa, et glissa doucement sa tĂȘte entre eux. LĂąchant un long soupire, il ferma les yeux, dĂ©jĂ  complĂštement dĂ©passĂ© par tout cela. Quand mĂȘme, tout aussi innocente qu'elle soit, elle qui avait dĂ©jĂ  eu des problĂšmes aux Pays des Neko sur ce point, venir comme ça, sans aucune gĂȘne dans le bain du jeune homme Ă©tait... DĂ©placĂ© ? Enfin... Il n'y pouvait malheureusement rien, et soupira longuement, lĂ©gĂšrement dĂ©sĂ©pĂ©rĂ©, sans non plus le montrer de maniĂšre forte, pour que la Neko ne s'imagine pas des choses complĂštement Ca va, ça va, ne t'inquiĂšte pas... Je vais qui Ă©tait vrai, sans l'ĂȘtre au fond... Oui, dans la forme, il allait bien. Mais dans le fond, non il se retrouvait avec une Neko nue dans son bain, alors qu'il Ă©tait tout juste capable d'offrire des calins, et elle n'avait aucune gĂȘne Ă  le faire. Autant cela aurait juste Ă©tait pour le provoquer ou autre, il aurait pu la renvoyer dehors, mais lĂ ... Elle Ă©tait trop pure et innocente pour qu'il puisse le faire... Être ainsi, c'Ă©tait vraiment humiliant, et vraiment gĂȘnant... Il venait tout juste de revenir en plus... Comment il Ă©tait censĂ© rĂ©ussir Ă  refaire des cĂąlins Ă  la jeune Neko qui jouait avec son canard aprĂšs ça, hein ? Tch... Lentement, il passa une main sur son visage, puis la glissa devant ses lĂšvres, Ă©touffant un long baillement. ComprĂ©hensible, puisqu'il n'avait pas dormit depuis un bon moment dĂ©jĂ . Enfin, rien d'important... Refermant doucement ses yeux, pour le moment, il voulait surtout oublier la situation dans laquelle il Ă©tait. Mais comment oublier sa au fond, hein ? LĂąchant un Ă©nimĂšre soupire - surement pas le dernier - il s'enfonça dans l'eau, tĂȘte y comprit pour se raffraichir les idĂ©es un instant. Puis, rejetant les cheveux qui tombait devant son oeil capable de voir, il se massa distraitement la nuque, avant de repdnre sa position inutiale. Un nouveau soupire. Pourquoi devait-il vraiment se retrouver dans ce genre de situation...? Mais surtout, ce qui l'inquiĂštait le plus comment pourrait-il ĂȘtre Ă  l'aise aprĂšs que la Neko lui ai fait ce coup ? HonnĂȘtement, dormir dans le mĂȘme lit qu'elle aprĂšs ça... Ca devenait plus que gĂȘnant. Enfin... LĂąchant encore un long soupire, il ferma son oeil, laissant sa tĂȘte se recroqueviller dans ses bras. _________________✖My only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Dim 19 Juil - 2302 La jeune NĂ©kos jouait paisiblement dans son bain qu'elle partageait sans gĂȘnes avec l'homme. A vrai dire, elle ne savait pas ce que cela signifiait, ni ce que cela avait d'important. Depuis ses premiers jours, et ses premiers bains, elle les avaient passĂ© sous les yeux de son crĂ©ateurs consencieux, toujours Ă  l'affut du moindres dĂ©faults. Voyeurisme ? PerversitĂ© ? Ou simple devoir professionel ? Nul ne le sait et nul ne le saura un jour. Mais ses concepts corrompus par l'esprit de l'Homme n'atteingnait et n'avait pas encore sa place dans celui d'Alvinykiosa qui incarnait l'insouciance et la puretĂ© de l'innocence. De ce fait, de sa simple innocence, elle n'Ă©tait ni Homme ni bĂȘte, simplement un chaton Ă©garĂ© dans un monde noir et sombre oĂč, avant, elle avait une place de prĂ©dateur et se retrouvait dĂ©sormais au milieu de cette chasse, ne sachant ni sa place, ni ce qu'elle reprĂ©sentait rĂ©ellement. Doucement, son petit canard jaune au bec orange glissa le long de l'eau vers l'homme, cogna son petit bec contre la peau pĂąle du dit Ani avant que la queue tremper de la jeune femme vienne l'enlacer et l'emmener sous l'eau sous ses paroles d'une voie qu'elle avait dĂ©formĂ© exagĂ©rement et tremble misĂ©rable devant le terrible monstre de la baignoire !Une bulle d'air s'Ă©chappa du petit canard tandis que le "monstre" reprĂ©senter par la queue de la nĂ©kos emmenait jusqu'au fond de la baignoire le pauvre et misĂ©rable canard de bain. AprĂšs quelques minutes, le "monstre" dessera sa prise et coin-coin - ainsi Ă©tait le nom du canard - ressurgit Ă  la surface de l'eau, reprennant sa balade au grĂ©s du faible courrant de la baignoire. Les yeux de chats de la femme s'Ă©taient posĂ© sur l'homme, tandis qu'elle dĂ©taillait sa posture et essayant de comprendre Ă  ce qu'il pensait. AprĂšs un lĂ©ger soupire, son regard avait glisser sur son reflet dans l'eau. A cette simple vue, elle porta une main juste en-dessous de son reflet, regardant cette main qui, jadis, ne lui avait pas appartenue. Simple copie ? Ou rĂ©elle personne ? C'Ă©tait une question qui torturait son esprit par moment et auquel personne ne semblait apte ou prĂȘt Ă  y brouilla son reflet quelques instants, relevant les yeux vers 'Ani'. Elle lĂącha un bref soupire, et tandis qu'il regardait ailleur, elle sortit de l'eau lentement attrapa une bouteille de savon qui traĂźnait. Sentant comme une gĂȘne dans l'air, elle prĂ©fĂ©ra se laver dans la cabine de douche dont la parois en verre Ă©taient lĂ©gĂšrement opaque, n'offrant qu'une vue floue sur la personne Ă  l'intĂ©rieur. Ouvrant les robinets, l'eau froide raffrachis les idĂ©es du jeune chaton tandis qu'il se lavait minutieusement, n'oubliant ni oreilles, ni queues, ni cheveux. AprĂšs quelques minutes, elle ressortit dĂ©goulinante d'eau les yeux fermĂ©s, cherchant Ă  tatons une serviette. Alvinykiosa lĂąchait un miaulement d'inconfort en sentant le savon lui piquer les yeux et une fois qu'il fut enlever, elle cligna quelques instants, retrouvant cette vue floutĂ© par la vapeur d'eau rĂ©pendu dans la salle de bain. Ses prunelles noisettes regardĂšrent 'Ani', elle lui dĂ©cocha un de ses magnifiques sourire dont elle avait le secret, se glissant en face de lui, s'accroupissant Ă  sa hauteur. D'une main, elle Ă©carta quelques mĂšches humides du front de son gardien, dĂ©posant un lĂ©ger baiser sur celui-ci avant de sourire, Ă©touffant un bĂȘte vais te laisser te laver tranquille et prĂ©parer Ă  cheveux corbeaux de l'homme relever par Alvinykiosa retombĂšrent se plaquer contre son front, la femme se relevant et dans des bruits d'eau elle sortit de la salle de bain, laissant ses vĂȘtements en tas ave ceux d' petit pas pressĂ©, Alvinykiosa parcourus le couloir reliant la salle de bain et les chambres, passant par la mezanine qui donnait sur le reste du chalet et le rez-de-chaussĂ©e. Jetant un oeil pour voir Hisoka, le chaton se stoppa, laissant sa queue faire de bref et rapide mouvement pour s'essorer. Quelques minutes passĂšrent tandis que son regard, retrouvant sa couleur de feu, traĂźnassait encore dans les piĂšces qu'elle surplombait. Un frisson glacial lui parcourut l'Ă©chine, lui indiquant que c'Ă©tait le moment d'aller enfiler de nouveaux vĂȘtements. Chose qu'elle fit, en commençant par se rendre dans la chambre qu'elle allait partager, dĂ©sormais, avec son gardien. Alvinykiosa ferma la porte de la chambre, laissant la serviette enrouler autour de son buste tomber lentement sur le sol aprĂšs avoir parcourus et survoler ses formes. La jeune neko se dirigea vers un miroir accrocher sur la porte d'un placard refermant les quelques vĂȘtements qu'elle avait pus achetĂ© avec l'argent d'Hisoka, Ă  son insu, bien entendu. Ses yeux parcourus sont corps, elle regardait ses quelques cicatrices au niveau de ses membres, plus prĂ©cisement juste derriĂšre les Ă©paules un peu au-dessus des homoplates et, en bas, juste au-dessus des cuisses tournĂ© vers l'extĂ©rieur de celles-ci. La jeune femme passa une main sur son ventre avant de se tourner, attrapant ses longs cheveux pour dĂ©gager son dos; immadiatement, ses prunelles de feux se stoppĂšrent sur son tatouage la marque d'AshVritt. Elle la regarda longuement, en silence. Un soupire brisa ses quelques minutes, Alvinykiosa jetta un oeil sur la porte, pui revient sur son dos Ă  nu dans le miroir. La jeune neko soupira de nouveau, laissant ses cheveux lui barrer les yeux. D'un lĂ©ger mouvement de tĂȘte, elle dĂ©gagea son regard et ouvrit le ne fallut pas plus d'une vingtaine de minute pour qu'elle ressorte de la chambre, ses cheveux coupĂ©s maladroitement. Un T-shirt, un pantalon avec des bretelles rouges accrochĂ©s dessus, ses pieds nus comme Ă  son habitude et, au bout de sa queue, un des bracelets qu'elle avait piquĂ© Ă  Hisoka, adorant son style cuir noir et pique. Autour de son cou, elle finissait d'accrocher un Ă©norme collier ou pendouillait une clochette, assez grosse il fallait l'avouer. AprĂšs un rapide coup d'oeil, pour voir ou Ă©tais Hisoka, elle se dirigea vers la cuisine et s'attela, comme elle l'avait dit, au dĂźner. Sifflotant de maniĂšre plutĂŽt gaie et aussi concentrer qu'a chaque fois ou elle cuisinait... Pour en faire des plats cramĂ©s, certe, mais la volontĂ© de bien faire Ă©tait au moins lĂ . Spoiler________________________________________Au mĂȘme moment, dans une autre contrĂ©e, sur le pont reliant deux montagnes de l'Ă©ternitĂ©, une jeune elfe Ă©tait lĂ , un sourire dĂ©mentiel sur le visage, marchant sur le pont d'un pas mi-dansant, mi-trottant. Lentement, doucement, elle souriait, ricanait, prise de folie et on le savait rien qu'a son regard sans cesse agitĂ©. TantĂŽt attirer par une crĂ©ature imaginaire tantĂŽt par un oiseau qui venait de pousser son cri strident ou tantĂŽt, par de la poussiĂšre qu'elle chassait vainement d'un mouvement de main. La jeune elfe, ses oreilles sortant de sa chevelure rouge mĂ©chĂ© de noir et ses yeux vĂ©rons, couleur fauves, s'arrĂȘta brutalement. A sa ceinture, deux lames, sur ses vĂȘtements, 5 Ă  6 mĂštres de chaĂźnes entourait et ornait ses habits. L'elfette, changeant brutalement d'humeur, persiffla au vent, ses yeux colĂ©reux posĂ© sur une personne dont la cape voletait au grĂ© des vent glaciales des que vous me voulez ? Le temps tourne et je dois y aller !L'homme, endrapĂ© dans sa lourde cape brune sourit doucement, ne bougeant pas et ne cillant pas devant ce regard destructeur que lui lançait cette temps, toujours le temps... Tu es une vĂ©ritable pendule sur pattes !L'elfe pencha la tĂȘte sur le cĂŽtĂ©, son regard colĂ©rique virant vers sa folie habituel, son expression crispĂ© dans la colĂšre se dĂ©forma pour de l'intĂ©rĂȘt et du exact ! Et je dois rejoindre mes aiguilles qui m'attendent...Elle montra, d'un doigt, un versant de montagne, un petit village qui ressemblait Ă  une tache noir de lĂ  oĂč se trouvait les deux personnes. L'homme, aprĂšs un rapide regard sur le village, reposa ses yeux sur la femme qui s'Ă©tait dangeureusement approchĂ© de quelques grandes tu me dĂ©ranges moucheron ? Ce n'est ni ton heure, ni ton endroit, ni moi qui toi te tuer ! Tic... Tac... Je suis une pendule qui ne doit pas ĂȘtre en retard, veuillez bien m' se glissa vers le cĂŽtĂ©, son regard dĂ©mentiel pris d'une lueur de sadisme. L'homme se retourna lentement, la stoppant dans son Ă©lan de reprendre sa quelqu'un pour voie avait Ă©tĂ© ferme, et ses quelques mots suffit Ă  arrĂȘter l'elfette qui se retourna lentement, son regard froid et noir se posant sur l'homme. Puis, quelques secondes plus tard, il se dĂ©forma de nouveau pour de la folie et de l' donc ? Une tours ? Un fou ? Un roi ? Hoho ! Voudrais-tu que je fasse tomber les reines ? Mais non, mais non, je n'ai pas le droit de faire ça...Elle prit une voie triste d'enfant vexĂ© et déçue. L'homme sourit Ă  voir la femme lunatique changer aussi rapidement d' un homme, un dressa les oreilles, souriant de son sourire sadique et dĂ©mentiel, son regard intĂ©resser scrutant le visage de l' ? Qui ? ArrĂȘte de me faire patienter ! Le temps coule et j'aimerais pas le rater !L'homme, aprĂšs avoir rĂ©primer un ricanement moqueur, fouilla dans une poche de sa lourde et Ă©paisse cape, sortant un avis de recherche venant des terres NĂ©kossienne visiblement. Il le dĂ©plia devant les yeux brillant et pĂ©tillant de l'elfe qui trĂ©pignait d'impatience, battant des mains, oui ! Oh oui ! J'irais le tuer !Elle Ă©tait heureuse, elle fit volte-face, et prit son chemin de son pas mi-dansant, mi-trottant, chantant Ă  tue-tĂȘte sa contine funĂȘbre. LĂąchant, de temps en temps, des ricanements d'enthousiasme et parlant Ă  allons de nouveau tuer Sarrios ! Tic, tac, tic, tac... Le temps s'accĂ©lĂšre pour cet ĂȘtre sa fin est proche...Elle marqua une pause, s'arrĂȘtant... HĂ©sitant, elle tourna la tĂȘte en arriĂšre, l'homme encapuchonner avait disparut, elle sourit de plus pas !Spoiler_________________ Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Mer 22 Juil - 1647 Sortant de l'eau aprĂšs ses 'mĂ©saventures' assez gĂȘnantes avec la jeune Neko, notre Ombre avait prit le temps de se laver, et attrapa distraitement une serviette. SĂ©chant son corps, il enfila rapidement ses affaires, composĂ©e d'un pantalon simple et lĂ©ger, et d'un T-shirt noir Ă  manches longues. Cette tenue lui suffisant tant qu'il Ă©tait Ă  l'intĂ©rieur, reprit sa serviette, entreprenant de finir de sĂšcher ses cheveux dĂ©goulinants d'eau. La serviette encore sur le visage, il stoppa un instant ses moments, repensant Ă  la Neko qui Ă©tait venue partager son bain... Une rougeur apparaissant sur son visage, il chassa rapidement ces pensĂ©es de son esprit, terminant de sĂ©cher ses cheveux. Entrouvrant la fenĂȘtre de la salle de bain pour Ă©vacuer la vapeur, il resta un instant dans cette piĂšce, adossĂ© Ă  un mur, bras croisĂ©s, regard perdu sur le sol. Il Ă©tait censĂ© avoir Ă©tĂ© conditionnĂ© pour ne pas ĂȘtre affectĂ© par tout ce qui concernĂ© le sexe opposĂ© et ses charmes, et tout ce qui Ă©tait sentiment liĂ© Ă  un attachement plus ou moins fort... Alors pourquoi c'Ă©tait-il retrouvĂ© aussi gĂȘnĂ© ? Pourquoi son coeur c'Ă©tait-il emballĂ© ainsi...? Serait-il en faite un echec ? Mais, surtout... Il rĂ©alisait seulement maintenant qu'il ressentait quelque chose de bien trop fort envers la Neko pour ĂȘtre une simple relation de gardien / protĂ©gĂ©e... Soupirant, il passa une main sur son visage, rejetant sa tĂȘte en arriĂšre. Il savait qu'il c'Ă©tait beaucoup attachĂ©e Ă  elle - surement trop - mais... Il n'avait jamais Ă©tait honnĂȘte avec lui mĂȘme jusqu'au bout. Fermant son oeil, il laissa sa main retomber le long de son corps, pour glisser sur le surface lisse du mur derriĂšre lui. Le faite d'aimer n'allait-il pas l'empĂȘcher de bien la protĂ©ger ? Il ne savait pas. Il ne savait plus. Il se posait trop de questions, sans doute... La vapeur ayant quittĂ© la piĂšce, il resta encore un moment, jusqu'Ă  ce que son corps finisse par frissoner Ă  cause de l'air extĂ©rieur glacial qui c'Ă©tait infiltrĂ© par la fenĂȘtre. Se dĂ©collant enfin du mur, il s'approcha de la fenĂȘtre qu'il referma lentement, puis se dirigea vers la porte, sortant de la piĂšce sans bruit, refermant silencieusement la porte aprĂšs son passage. Passant une main sur son visage, et relevant une mĂšche de cheveux du mĂȘme mouvement, le jeune homme s'avança dans la salle, jetant un oeil en direction de la cuisine, pour ensuite marcher en direction de la fenĂȘtre. DĂ©posant doucement sa main sur la vitre, il laissant son regard se perdre dans cette Ă©tendue blanche, observant les quelques flocons de neige prĂ©sents tomber doucement sur le sol... Se retournant sans prĂ©venir, il repartit en direction de la cuisine, s'approchant sans un bruit de sa belle protĂ©gĂ©e... L'observant un instant, il ferma ses yeux avec un lĂ©ger sourire ironique sur les lĂšvres, puis glissa sa tĂȘte dans le cou de la jeune femme, y dĂ©posant un baiser. - Je sors, profite d'ĂȘtre seule pour te concentrer sur la cuisine. Je suis sur que tu vas faire un plat super. A tout de suite L'enlaçant au niveau de la taille, le jeune homme lui rendit son baiser sur le front de tout Ă  l'heure, essayant surtout de ne pas repenser Ă  la scĂšne... Puis, se dĂ©collant Ă  contrecoeur de cette douce chaleur que dĂ©gageait le corps de cette belle Neko dont il c'Ă©tait secretement Ă©prit, il lui adressa un bref signe de la main, avant d'attraper une veste assez Ă©paisse trainant sur une chaise, pour se glisser Oh ? Pas dans le lit ? Bizzare... Elle t'a pas comblĂ© hein ? =/ - Toujours avec ton humeur douteux... Alors, t'a repĂ©rĂ© des trucs intĂ©ressant ? - Ah ça ! T'imagine mĂȘme pas ! Les anges de ce coin ont un de ces tours de poitrines ! Et un dĂ©hanchĂ© sublime ! Vraiment superbes, j'regrette pas d'ĂȘtre venu moi ! - ... Je te parlais des armes... - ... Oh... Ah, ouais aussi. Une paire de flingue, qui ressemble Ă  Ebony et Ivory. T'en aura besoin, puisque Ebony et Ivory ne sont pas dans leurs vraies forme. - Hmm...? - Quand l'utilisateur peut contenir, elles changent de formes et deviennent plus puissantes. Mais tu verras quand t'en sera lĂ . Pour l'instant, faut dĂ©jĂ  revoir tout ton style de combat. - Demain. On commencera demain. - Hmm... Comme tu veux. Viens, j'voudrais te montrer un endroit. Une zone non-frĂ©quentĂ©e oĂč on pourra surement s' mettant en marche, les deux hommes discutaient briĂšvement, rĂ©ussissant Ă  avoir une discution Ă  peu prĂȘt sĂ©rieux entre deux remarques stupides d'Hisoka, qui ne s'en lassait pas. Montant assez haut dans les montagnes, les deux hommes arrivĂšrent ainsi sur un petit plateau, non loin d'une forĂȘt de sapin couvert de neige. Lieu agrĂ©able et bien Ă©loignĂ©, il semblait parfaitement appropriĂ© pour un entraĂźnement assez violent malgrĂ© tout. Se mettant d'accord pour utiliser ce lieu, les deux hommes redescendirent donc la montagne, et ne tardĂšrent pas Ă  arriver au chalet. Retirant la neige sur sa veste et ces chaussures, notre Ombre leva le nez en voyant Hisoka rentrer comme tel, commençant dĂ©jĂ  avec ses remarques... Un lĂ©ger sourire se dessina sur ses lĂšvres, alors qu'il entra Ă  son tour, retirant sa veste pour la dĂ©poser sur le dossier d'une chaise trainant non loin. - Whaaa t'a pas fait cramer le chalet, bravo ! On mange quoi ? - La politesse, tu connais ? - M'en fou, la politesse ça se mange pas. _________________✖My only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] MĂȘme la neige a son ombre... [Pv Alvinykiosa Miss Corbac] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Marche sur le sang. Pv Miss Corbac» Miss Corbac et ses trois facettes Le corbeau, le chaton, la folie.» Si tout Ă©tait Ă  refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre]» Corbac» Dracos Maniak - Le CorbacPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumFreesby Archives du dormeurSauter vers

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