Chapitre 1 Le pouvoir politique et les autres pouvoirs La cité est une communauté. Toute communauté se constitue pour atteindre un bien. La plus finie et la plus puissante recherche le souverain bien le bonheur, c’est la cité, la communauté politique. Le pouvoir ne diffère pas en vertu de facteurs purement numériques. Il existe différentes formes de pouvoir. Chapitre 2 Genèse de la cité Les êtres doivent nécessairement s’unir entre eux, l’enjeu est vital. Il se forme naturellement des couples l’homme et la femme, le commandant et le commandé. Il y a un étalon naturel du pouvoir. Ce sont des facultés naturelles qui déterminent les hommes devant commander ou devant être commandés. Le pouvoir appartient à ceux qui instinctivement peuvent anticiper les choses par la pensée. => Faculté mentale Ceux qui ont les capacités physiques à exécuter les ordres des premiers sont par nature destinés à être commandés. => Faculté physique Communauté naturelle constituée en vue de la vie de tous les jours la famille. Communauté première constituée en vue de relations, qui va au-delà de la vie du quotidien le village. Naturalité et antériorité de la cité Communauté achevée et autarcique constituée de plusieurs villages pour pouvoir vivre = la cité. Lorsqu’elle existe la cité permet un épanouissement total, le bonheur. La cité n’est pas un artifice mais une communauté naturelle puisque elle-même constituée de communautés naturelles. La cité est la fin de ces communautés premières à deux niveau la nature est fin = résultat obtenu une fois la genèse aboutie, l’essence de la chose fin comme but = autarcie, une fin excellente. De fait l’homme est par nature un animal politique et celui qui vit hors de la cité par nature est soit un être dégradé, soit un être surhumain. Cet homme est donc naturellement passionné de guerre. L’homme est le seul animal qui peut parler, il peut donc manifester le bien et le mal, le juste et l’injuste…Ce sont ces notions qui font la famille et la cité. La cité est antérieure à la famille et à l’individu. Car le tout est antérieur à la partie. La main détachée du corps n’est rien. L’individu seul, séparé de la cité n’est pas autonome. Par nature, l’homme tend donc vers la communauté. L’homme accompli est le meilleur des animaux, de même aussi quand il a rompu avec loi et justice est-il le pire de tous. L’homme sans vertu est le pire des animaux. La vertu de justice est politique, elle ordonne la communauté politique. Chapitre 3 Etude de la famille l’esclavage Toute cité est composée de familles. Dans une famille achevée, il y a des esclaves et des hommes libres. Il existe au sein de la famille trois types de relations un maître et un esclave = relation de maîtrise, un époux et une épouse = relation maritale, un père et ses enfants = relation parentale. A ces relations s’ajoute l’administration familiale = acquisition des biens. Le maître et l’esclave par nature, il n’y a pas de différence entre le maître et l’esclave. L’esclavage n’est donc pas légitime car il repose sur la force. Chapitre 4 nature et fonction de l’esclave construction du concept d’esclave La propriété fait partie de la famille, l’acquisition fait partie de l’administration familiale. Il faut acquérir les instruments pour réaliser l’œuvre familiale instruments animés et inanimés. Un bien acquis est un instrument pour vivre . Le plus antérieur de tous les instruments est l’exécutant. L’esclave est bien acquis qui agit, un exécutant. Un bien acquis est une partie au sens où il est partie de la famille mais aussi au sens où il appartient à quelqu’un. L’esclave est donc partie du maître au deux sens du terme alors que le maître l’est à l’esclave seulement au premier sens. L’esclave a donc une nature et une fonction. Celui qui par nature ne s’appartient pas est esclave, celui qui est un bien acquis et un homme est un instrument qui doit subir l’action. Chapitre 5 Des hommes correspondent à ce concept Commander et être commandé est nécessaire et avantageux. La production est une entité commune. Le vivant conforme à la nature a une âme commandant et un corps commandé. C’est donc chez le vivant que peut exister le pouvoir politique. L’âme exerce un pouvoir politique et royal sur le désir . Le corps doit donc être commandé par l’âme, la raison. Le même rapport existe entre les hommes et les animaux . Il est meilleur pour les animaux d’être commandés par l’homme. L’homme est l’âme l’animal le corps. A l’échelle humaine, il y en a certain chez qui le corps domine, pour d’autre c’est l’esprit. Pour les premiers, il est meilleur d’être esclaves, pour les seconds, il est meilleur de commander. Les esclaves ne perçoivent que la raison des maîtres alors que les maîtres la possèdent. Les esclaves ont un corps naturellement libres, pour les maîtres, c’est l’esprit. La condition d’esclave est donc juste et avantageuse pour ces derniers. Chapitre 6 Le débat sur la légitimité de l’esclavage Il y a une différence entre le fait d’être esclave et l’esclave. On est esclave selon la loi du plus fort. La force ne va pas sans l’excellence, il est donc naturel que l’excellent commande. L’exercice naturel du pouvoir de l’un sur l’autre doit être fait comme il faut sinon il est néfaste aux deux, puisque l’esclave est une partie du maître. Les deux ont intérêt à une amitié réciproque. Chapitre 7 Spécificité du pouvoir magistral et science du maître Pouvoir du maître s’exerce par nature sur esclaves ≠pouvoir politique s’exerce par nature sur hommes libres. De même, le pouvoir du chef de famille est une monarchie car c’est l’exercice du pouvoir d’un seul sur tous alors que le pouvoir politique, alors que l’égalité règne en ce qui concerne le pouvoir politique. Il y a néanmoins une science de l’esclave et une science du maître. La science de l’esclave consiste à apprendre la tâche de l’esclave et la hiérarchie. La science du maître apprend à employer les esclaves. Cette science consiste pour l’esclave à savoir ce qu’il doit faire, et pour le maître à savoir à lui ordonner. Lorsqu'elle existe la cité permet un épanouissement total, le bonheur. La cité n'est pas un artifice mais une communauté naturelle puisque elle-même constituée de communautés naturelles. La cité est la fin de ces communautés premières à deux niveau la nature est fin = résultat obtenu une fois la genèse aboutie, l'essence de la chose fin comme but = autarcie, une fin excellente. De fait l'homme est par nature un animal politique » et celui qui vit hors de la cité par nature est soit un être dégradé, soit un être surhumain. Cet homme est donc naturellement passionné de guerre. L'homme est le seul animal qui peut parler, il peut donc manifester le bien et le mal, le juste et l'injuste...Ce sont ces notions qui font la famille et la cité. La cité est antérieure à la famille et à l'individu. Car le tout est antérieur à la partie. La main détachée du corps n'est rien. L'individu seul, séparé de la cité n'est pas autonome. Par nature, l'homme tend donc vers la communauté. L'homme accompli est le meilleur des animaux, de même aussi quand il a rompu avec loi et justice est-il le pire de tous. » L'homme sans vertu est le pire des animaux. La vertu de justice est politique, elle ordonne la communauté politique. Chapitre 3 Etude de la famille l'esclavage Toute cité est composée de familles. Dans une famille achevée, il y a des esclaves et des hommes libres. Il existe au sein de la famille trois types de relations un maître et un esclave = relation de maîtrise, un époux et une épouse = relation maritale, un père et ses enfants = relation parentale. A ces relations s'ajoute l'administration familiale = acquisition des biens. . »Résuméchapitre par chapitre du roman Des souris et des hommes de John Steinbeck. Monologuant sur son devenir si George apprenait « la bêtise », il cherche à dissimuler le petit corps flasque. En mal de compagnie, la femme de Curley vient le rejoindre à ce moment et découvre le petit cadavre. Apprenant qu’il a un faible pour ce qui est doux au toucher, elle Gromovar, dont c'est l'idée, Julien et moi avons décidé de vous faire un résumé de ce monument, au sens propre comme au figuré, que sont Les Mystères de Paris. Vous trouverez, au fil des jours, le résumé d'un nouveau chapitre. Sauf en cas d'empêchement, bien entendu. Tome I Première partie Chapitre 1 Le tapis-franc Paris, décembre 1838. Dans le quartier mal famé du palais de justice sic, un repris de justice, le Chourineur le Poignardeur, s'en prend physiquement à une femme dans la rue, la Goualeuse la Chanteuse. Un inconnu s'interpose et finit par prendre le dessus sur le bandit. Beau joueur, le Chourineur reconnait sa défaite et propose aux deux autres d'aller souper dans un tapis-franc, autrement dit, un estaminet de bas étage. Un charbonnier, qui suit discrètement le trio, murmure en anglais à l'inconnu Monseigneur, prenez garde ! Chapitre 2 L'ogresse Le Chourineur, la Goualeuse et l'inconnu arrivent au Lapin-Blanc. Outre l'ogresse, c'est à dire la patronne de la taverne, une grande et robuste femme d'une quarantaine d'années qui répond au nom de la mère Ponisse, on découvre dans l'établissement quelques clients sortant de l'ordinaire. Deux hommes d'aspect sinistre et un adolescent sirotant de l'eau de vie. Les trois nouveaux arrivants s'installent à une table et commencent à se présenter. Le Chourineur dit s'appeler L'Albinos et être débardeur de bois. L'inconnu, lui, prétend s'appeler Rodolphe et être peintre en éventails. Chapitre 3 Histoire de la Goualeuse C'est au tour de la Goualeuse de raconter sa vie. Elle a à peine plus de 16 ans et a été surnommée Fleur de Marie, en référence à sa virginité, réelle ou supposée. C'est une orpheline recueillie vers l'âge de sept ans par une femme borgne qu'on appelle la Chouette. Mais cette dernière ne l'a pas fait par bonté d'âme. Si Fleur de Marie ne lui rapporte pas assez d'argent à la fin de la journée, elle est battue et se couche sans manger. L'horrible femme va même jusqu'à arracher une dent de la petite. Celle-ci, fuyant la mégère est bientôt accusée de vol et finit en prison où elle passe huit ans. Lorsqu'elle en sort, elle a amassé un petit pécule qui fond bien vite, par insouciance ou trop grande générosité. Battre un enfant, bon… mais le martyriser, c’est trop fort ! Le Chourineur Chapitre 4 Histoire du Chourineur C'est le Chourineur qui raconte à son tour son histoire. Orphelin, comme Fleur-de-Marie, il n'a en revanche jamais été recueilli comme elle. Il a dû apprendre très tôt à se débrouiller seul. Il travaille tout d'abord dans les abattoirs où il égorge les chevaux. C'est de là que lui vient son goût pour le poignard. Il s'engage ensuite dans l'armée, mais victime d'un coup de sang, il tue un serpent à coups de couteau et blesse deux autres soldats. Il n'échappe à la guillotine que pour ses actes d'héroïsme que son avocat utilise pour sauver sa tête. Il fait 15 ans de bagne où il rencontre le Maître d'école, un forçat dont on parle depuis le début du roman et qui était le seul, jusqu'alors, à avoir dominé le Chourineur au combat. Malgré tout, il met un point d'honneur à n'avoir jamais volé et il il a un emploi qui lui permet de vivre. Non, je n’ai pas volé parce que… parce que… enfin parce que ce n’est pas dans mon idée de voler. Le Chourineur Chapitre 5 L'arrestation La police pénètre dans l'auberge et arrête les deux personnages décrits au chapitre deux. Puis arrive, enfin, le Maître d'école accompagné d'une femme qui n'est autre que la Chouette, la tortionnaire de Fleur-de-Marie. Le Maître d'école demande à la jeune fille de le suivre. Elle refuse et Rodolphe doit s'interposer. La Chouette reconnaît alors la jeune fille et lui affirme qu'elle connait ses parents et qu'ils seraient riches. Elle prend plaisir à ne rien lui révéler d'autre. Pendant ce temps, les deux adversaires sont près d'en venir aux chiffonier entre alors dans l'établissement et murmure en anglais à Rodolphe – Monsieur, Tom et Sarah… ils sont au bout de la rue. Rodolphe s'enfuit aussitôt non s'en avoir décoché deux coups de poing au Maître d'école. Deux hommes parlant anglais entrent à leur tour dans la taverne. ...vous savez que je ne casse guère la tête qu’à ceux qui me le demandent.le Chourineur Chapitre 6 Thomas Seyton et la comtesse Sarah Les deux arrivants s'avèrent être en fait un homme et une femme déguisée en homme,Tom et Sarah. Ils cherchent Rodolphe. Ils prennent à boire et questionnent l'ogresse. Elle leur apprend que Rodolphe vient de partir et qu'il a mangé avec le Chourineur. Ils offrent à boire au Chourineur et l'interrogent sur son commensal. L'ancien forçat les met sur la piste de Bras-Rouge, le contrebandier qui habite près de l'endroit où Rodolphe et lui se sont battus. Il ne cache pas l'admiration qu'il a pour son adversaire, ce qui ne semble pas plaire à la femme. Pendant ce temps, le Maître d'école et la Chouette préparent un guet-apens contre Tom et Sarah pour les détrousser et comptent bien remettre la main sur Fleur-de-Marie qui avait profité de la confusion pour fuir loin de sa tortionnaire. Chapitre 7 La bourse ou la vie Lorsque Tom et Sarah sortent, ils sont suivis par le Maître d'école et la Chouette, bien décidés à les dépouiller, avec violence si nécessaire. Parvenus à un endroit propice, le bandit saute sur Tom et l'immobilise. Il réclame de l'argent. Prise d'une inspiration, Sarah propose un marché aux brigands une forte somme d'argent contre leur aide pour retrouver Rodolphe. Convaincus par l'appât du gain, les deux voleurs acceptent. Le Chourineur, caché là , à l'abri de la pluie, a tout entendu. Il décide de faire tout son possible pour prévenir Rodolphe, même s'il n'a aucune idée de la façon de le retrouver. En attendant, il suit Tom et Sarah et repère le lieu où ils résident. Chapitre 8 Promenade En dépit du risque de rencontrer ceux qui le recherchent, Rodolphe vient chercher Fleur-de-Marie au Lapin Blanc pour l'emmener à la campagne. Il en profite pour racheter la dette de la jeune fille auprès de l'ogresse qui ne lui fait grâce d'aucun sou. La Goualeuse se réjouit à l'avance de revoir les champs et le soleil dont elle est privée à longueur de temps. Elle et Rodolphe prennent un fiacre pour Saint Denis. Fleur-de-Marie raconte à son compagnon combien la solitude et le manque d'air pur lui pèsent. Elle lui avoue, presque gênée, son amour pour les fleurs dans lesquelles elle voit la compagnie à laquelle elle aspire tant. Ils arrivent enfin à la campagne et la jeune fille peut s'en donner à coeur joie, oubliant un instant sa triste condition. Se laisser rançonner par toi, c’est voler les pauvres qui ont droit à des aumônes. Rodolphe à l'ogresse. Chapitre 9 La surprise Alors que Fleur-de-Marie et Rodolphe conversent, Le Chourineur apparaît soudain de derrière un tronc d'arbre. Il rapporte à son nouveau maître toutes les conversations qu'il a pu surprendre depuis la veille. Rodolphe dévoile à son tour au Chourineur les raisons pour lesquelles Tom et Sarah sont à sa poursuite. Il explique qu'il est là , au lieu du rendez-vous de La Chouette et de Tom, pour surprendre leur conversation au profit de Rodolphe et pour, ensuite, tomber sur la borgnesse et lui faire avouer le nom des parents de la petite. Mais Rodolphe a un plan bien plus sophistiqué qu'il expose à son nouveau compagnon. L'essentiel en étant un piège dans lequel il compte attirer le Maître d'école et sa comparse. Nous passerons pudiquement sur le hasard improbable qui fait que Rodolphe et sa compagne se retrouve précisément au lieu du rendez-vous ou Le Chourineur est caché. 2808.2015 Kiffe kiffe demain de Faiza Guène Résumée Introduction « Kiffe kiffe demain » est un roman des hauts et des bas de la vie. Il traite d’une fille qui habite avec sa mère en France. Son père est retourné au Maroc, d’où vient la famille. Au début Doria et sa mère ont des problèmes avec l’intégration mais progressivement toutes les deux mènent une vie meilleure et
Chapitre 11 Mots clés Cousine;Discussion;Retrouvailles Résumé Perceval passant par le bois, tomba sur une fille qui pleurait et qui se lamentait sur le cadavre d'un chevalier qui avait la tête tranchée. Grace à la rencontre de cette fille il découvrit l'histoire du roi Pêcheur. Quelque moments après, Perceval découvre que cette fille même est sa cousine. Image J'ai choisi cette image car elle ressemble très fortement à la discussion de Perceval et sa cousine. Posts les plus consultés de ce blog Chapitre 15 Mots clés Fin;Religieux;Chapelle Résumé Perceval, toujours en quête d'aventure se promenait dans quand un homme lui parla du Vendredi Saint, il suivit donc les conseils de l'homme et se dirigea vers l'ermitage, afin de célébrer le Vendredi Saint, Perceval était en pleurs, le saint homme voulu aborder la discussion avec notre protagoniste. Perceval raconta tout ses péchés et fut pardonné, le saint homme lui donna des conseils religieux, et c'est comme ça que le récit se termine. Image Cette image illustre pour moi Perceval voulant rentrer à l'église, même si il est accompagné d'une autre qui a la même volonté que lui. Chapitre 6 Mots clés Éducation;Maniement;Adoubement Résumé Perceval partit à un châtelet où il rencontrera un gentilhomme prénommé Gornemant De Gort, ils discutèrent tout deux, Perceval voulut se faire héberger par le gentilhomme, il accepta mais sous une seule condition, qu'il croit aux conseils de sa mère et de Gornement De Gort. Après quelques jours, Perceval se fit adoubé, pendant cette cérémonie, le gentilhomme lui donna des conseils. Image Cette image m'a fait pensé du moment où Perceval se fait adouber. Chapitre 7 Mots clés Rencontre;Hébergement;Quête Résumé Perceval était très impatient à l'idée de partir voir sa mère, il chevaucha, quand il vît un château, il se hâta à la porte pour y entrer. Il rencontra alors une femme, il en profita pour demander l'hospitalité de celle-ci. Elle accepta, mais l'avertit qu'il n'y a pas beaucoup de vivres mais qu'elle essayera de l'héberger du mieux qu'elle peut. La nuit, la jeune femme pleurait, elle partit à la chambre de notre protagoniste, elle le réveilla avec ses pleurs. Quand il fût réveillé, elle s'excusa et lui donna le motif de ses pleurs, il lui promit de la venger. Image Même si l'image n'illustre pas la scène, mais on pourrait dire que c'est Perceval entrain de parler à la femme.
Ilss'inquiètent pour lui : Livesey et Hunter partent à sa recherche. Ils trouvent un fortin et une source d'eau douce. Ils entendent le cri d'un homme qu'on tue : Livesey pense que c'est Jim. Il revient au bateau chercher du renfort. Résumé du chapitre 17 : Le dernier voyage du petit canot. Un canot est mis à l'eau avec des armes et des Fiche de lecture sur Si c'est un homme de Primo Levi. Notre analyse de Si c'est un homme comprend un résumé, une analyse des personnages et une analyse... Lire la suite 9,99 € Neuf Ebook Téléchargement immédiat 3,99 € Expédié sous 2 à 4 semaines Livré chez vous entre le 13 septembre et le 27 septembre Fiche de lecture sur Si c'est un homme de Primo Levi. Notre analyse de Si c'est un homme comprend un résumé, une analyse des personnages et une analyse des axes de lecture. Cette fiche de lecture sur Si c'est un homme a été rédigée par un professeur de français. A PROPOS DE LA COLLECTION La série offre des contenus éducatifs aux étudiants et aux professeurs tels que des résumés, des analyses littéraires, des questionnaires et des commentaires sur la littérature moderne et classique. Nos documents sont prévus comme des compléments à la lecture des oeuvres originales et aide les étudiants à comprendre la littérature. Fondé en 2001, notre site s'est développé très rapidement et propose désormais plus de 2500 documents directement téléchargeables en ligne, devenant ainsi le premier site d'analyses littéraires en ligne de langue française. FichesdeLecture est partenaire du Ministère de l'Education du Luxembourg depuis 2009. Date de parution 10/12/2014 Editeur ISBN 978-2-511-02779-0 EAN 9782511027790 Présentation Broché Nb. de pages 24 pages Poids Kg Dimensions 12,7 cm × 20,3 cm × 0,1 cm27145mots | 109 pages. Épître dédicatoire, par Thomas Hobbes, 9 mai 1640. CHAPITRE I Nature de l’homme, composée des facultés du corps et de celles de l’esprit. CHAPITRE II 1. Des conceptions. 2. Définition du sentiment. 3. D’où vient la différence des conceptions.
Le texte Alors, pour la première fois, nous nous apercevons que notre langue manque de mots pour exprimer cette insulte la démolition d’un homme. En un instant, dans une intuition quasi prophétique, la réalité nous apparaît nous avons touché le fond. Il est impossible d’aller plus bas il n’existe pas, il n’est pas possible de concevoir condition humaine plus misérable que la nôtre. Plus rien ne nous appartient ils nous ont pris nos vêtements, nos chaussures, et même nos cheveux ; si nous parlons, ils ne nous écouteront pas, et même s’ils nous écoutaient, ils ne nous comprendraient pas. Ils nous enlèveront jusqu’à notre nom et si nous voulons le conserver, nous devrons trouver en nous la force nécessaire pour que derrière ce nom, quelque chose de nous, de ce que nous étions, subsiste. Nous savons, en disant cela, que nous serons difficilement compris, et il est bon qu’il en soit ainsi. Mais que chacun considère en soi-même toute la valeur, toute la signification qui s’attache à la plus anodine de nos habitudes quotidiennes, aux mille petites choses qui nous appartiennent et que même le plus humble des mendiants possède un mouchoir, une vieille lettre, la photographie d’un être cher. Ces choses-là font partie de nous presque autant que les membres de notre corps, et il n’est pas concevable en ce monde d’en être privé, qu’aussitôt nous ne trouvions à les remplacer par d’autres objets, d’autres parties de nous-mêmes qui veillent sur nos souvenirs et les font revivre. Qu’on imagine maintenant un homme privé non seulement des êtres qu’il aime, mais de sa maison, de ses habitudes, de ses vêtements, de tout enfin, littéralement de tout ce qu’il possède ce sera un homme vide, réduit à la souffrance et au besoin, dénué de tout discernement, oublieux de toute dignité car il n’est pas rare, quand on a tout perdu, de se perdre soi-même ; ce sera un homme dont on pourra décider de la vie ou de la mort le cœur léger, sans aucune considération d’ordre humain, si ce n’est, tout au plus, le critère d’utilité. On comprendra alors le double sens du terme camp d’extermination » et ce que nous entendons par l’expression toucher le fond ». Besoin de soutient scolaire ? 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Le chimiste et écrivain italien y raconte son expérience de la déportation. Notre extrait se situe peu après l’arrivée des déportés à Auschwitz. Plan Pour répondre à cette question, nous étudierons, dans une première partie, le récit de cette expérience inhumaine qui aboutit sur un constat d’échec. Ce constat sera étudié dans un deuxième temps. Une expérience inhumaine Une expérience personnelle et un témoignage collectif. c’est une autobiographie l’auteur raconte sa propre histoire, sa déportation et sa vie dans les camps de concentration. Ici, c’est le résumé de ce qui est infligé aux détenus, c’est une réflexion. témoignage direct emploi du pronom personnel nous » l. 1 et 2 nous nous apercevons… » ; plus rien ne nous appartient… ». Avec ce pronom pluriel, il cherche à témoigner pour ses compagnons, et à impliquer le lecteur la démolition d’un homme. »Il s’agit donc du récit d’une démolition » annihilation totale et systématique systématique », c’est-à -dire qui se fait de manière méthodique et organisée. Dépersonnalisation quand on a tout perdu, de se perdre soi même ; se sera un homme dont on pourra décider de la vie ou de la mort le cœur léger, sans aucune considération d’ordre humain » ; on leur retire ce qui fait leur originalité nom, cheveux.. pour ne plus les reconnaître. ils nous enlèveront jusqu’à nos noms » ; on leur retire leurs objets vêtements, chaussures, etc. ils nous ont pris nos vêtements, nos chaussures et même nos cheveux » ; par les objets, on leur retire aussi leurs souvenirs un mouchoir, une vieille lettre, la photographie d’un être cher. » on les isole de leur famille un homme privé non seulement des êtres qu’il aime ». L’humain est réifié[réifier signifie rendre comme une chose », chosifier »] c’est le processus qui suit la déshumanisation. c’est le critère d’utilité » qui décide de la vie ou de la mort d’un individu. Ce critère d’utilité renvoie au travail. on sait, par ailleurs, qu’ils sont identifiés par des numéros ils nous enlèveront jusqu’à nos noms ». [transition] Primo Levi cherche donc à communiquer son expérience, mais on se rend compte qu’elle est tellement extrême, qu’elle est tellement inhumaine qu’il ne peut y arriver. Un constat d’échecCet échec de la communication se fonde sur le problème du langage comment dire l’indicible ?. Description des personnages ambivalence sur ceux qui parlent et ceux à qui le narrateur s’adresse. le nous », c’est parfois juste les déportés, c’est parfois l’ensemble des humains les déportés et nous les lecteurs. s’il s’adresse au lecteur, on ne sait pas trop quel rôle a celui-ci juré et juge des nazis, ou simple interlocuteur compatissante. le nous » semble parfois s’adresser directement aux nazis eux-mêmes. Ce flou sur l’interlocuteur est un signe que personne ne peut vraiment comprendre Nous savons, en disant cela, que nous serons difficilement compris » Au bord du silence Primo Levi veut se faire comprendre mais il sait que pour vraiment comprendre, il faut avoir vécu l’expérience de la déportation. la présence du conditionnel marque cette potentialité + appel à l’imagination imaginez », qu’on imagine ». Il expérimente lui-même les limites du langage. L’intuition comme seule possibilitéÀ cause de cette incommunicabilité, de cet indicible, le lecteur ne peut comprendre l’expérience du déporté que par une intuition quasi prophétique ». Le mot prophétique » renvoie à la religion Primo Levi est juif, et on sait l’importance de la cabale ésotérique chez les Juifs et à cette capacité de transmettre par-delà les mots. s’il y a possibilité de communiquer, ce n’est que par-delà les mots et leurs définitions, mais par le sentiment. Comment bénéficier de soutien scolaire en ligne ? Conclusion Primo Levi est un homme qui a vécu dans le camp d’extermination d’Auschwitz et qui essaie de faire ressentir au lecteur le mal-être qui est enfoui chez lui. Mais en même temps, il insiste sur le fait que cette expérience est incompréhensible pour celui qui ne l’a pas vécu… Véritable tragédie, au sens fort du terme. La bande dessinée de Art Spiegelman, Maus, racontera à sa manière la même expérience, en alliant justement l’image au mot. Cette incapacité, cette frustration, ont mené Primo Levi, comme beaucoup d’anciens déportés, alors qu’ils ont survécu à l’enfer même, à se suicider…JulesVerne, Le Tour du Monde en quatre-vingts jours : résumé chapitre par chapitre Chapitre I : Dans lequel Phileas Fogg et Passepartout s’acceptent réciproquement, l’un comme maître, l’autre comme domestique. Phileas Fogg, membre du Reform-Club (cercle politique londonien) est peu communicatif, routinier et cultivé. Cet homme